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    Game of Thrones
    Critiques spectateurs
    Critiques presse
    Note moyenne
    4,1
    7 titres de presse
    • Entertainment weekly
    • The Hollywood Reporter
    • Variety
    • Hitfix
    • Pittsburg Post-Gazette
    • TV Squad
    • Wall Street Journal

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    7 critiques presse

    Entertainment weekly

    L'incroyable défi d'adapter cette saga épique en une série télévisée d'une telle ampleur n'a pu être relevé que grâce au courage de ses faiseurs. Et par courage, je veux dire que les scénaristes / producteurs David Benioff et D.B. Weiss ont pris à bras le corps le vaste travail de George R.R. Martin et l'ont adapté fidèlement pour les nombreux fans. A l'inverse, la difficulté pour HBO était d'en faire une série s'adressant à un public encore plus vaste. Est-ce que les téléspectateurs qui n'ont pas lu les niombreux volumes vont se plonger dans cette intrigue multiple, peuplée de très nombreux personnages, le tout situé dans un vaste monde imaginaire ? (...) Game of Thrones a fait le buzz très en amont grâce à sa réputation de série pleine de sexe et de violence - et je ne veux surtout pas gâcher le plaisir à ceux qui vont découvrir la série. Mais ce que je peux affirmer c'est que le sexe et la violence sont mieux ancrés dans l'intrigue et les motivations des personnages que dans d'autres séries récentes comme The Borgias et Spartacus - c'est dans ces cas-là que l'on s'aperçoit qu'avoir un matériau original de qualité aide beaucoup

    The Hollywood Reporter

    Après seulement quelques minutes de la saga épique de la chaîne HBO Game of Thrones, il devient clair que le buzz était justifié et que l'attente en valait le coup (...) Il est compliqué d'isoler l'élément le plus réussi de la série. Son ambition est immense, le monde fantastique exceptionnellement bien dépeint, l'écriture comme le jeu achèvent de l'élever bien au-dessus de shows similaires comme The Borgias ou Camelot, et le rendu visuel continue de surprendre épisode après épisode. Ce que nous avons ici c'est un assemblage parfaitement réussi entre une saga littéraire reconnue et une série télévisée qui illumine et transcende les mots couchés sur le papier. Est-ce que l'attente en valait la peine ? Absolument. Et même si vous ne connaissez rien de cet univers, vous devriez de toute façon être embarqués dès le début dans ce conte fantastique de George R.R. Martin.

    Variety

    Game of Thrones excelle à de multiples niveaux - la splendide distribution (capable de délivrer même les répliques les plus tarabiscotées), ses intrigues de palais complexes, son humour subtil et sa tension constante. La production est magnifique, montrant à voir des environnements variés (le tournage s'est déroulé en Irlande du Nord et à Malte), les décors et les cotumes se rapprochant du soin apporté aux plus gros blockbusters. Et justement, en ce qui concerne l'ambition visuelle et l'ambiance, la série fait la nique à l'industrie du cinéma, et en particulier aux films estivaux, tout en gardant sa précision dans la narration épisodique qui permet d'entrelacer les histoires et de les dévoiler selon un rythme qu'aucun film ne peut se permettre. Et su ce rythme se montre parfois inégal dans les épisodes ultérieurs, l'addiction sera alors tellement forte à cet instant que le public passera outre en échange du plaisir constant procuré par les cordes du thème musical composé par Ramin Djawadi."

    Hitfix

    Il est encore trop tôt pour dire si Game of Thrones appartiendra au panthéon des séries de HBO, mais elle a définitivement quelque chose en commun avec ces glorieuses séries. Comme tous ces shows, elle est plus qu'une simple histoire enfermée dans un genre précis. La série est comme un cours d'histoire alternative, une réflexion sur l'attirance et le danger du pouvoir, sur les inévitables tensions entre l'économie et l'armée et sur la confrontation éternelle entre l'idéalisme et le pragmatisme.

    Pittsburg Post-Gazette

    par Rob Owen

    Un grand soap opera aux proportions épiques, qui se trouve être un peu trop bavard dans certains épisodes, mais qui accroche le spectacteur par des personnages complexes, bien dessinés, et une multitude d'intrigues dont la plupart des tournants sont inattendus

    La critique complète est disponible sur le site Pittsburg Post-Gazette

    TV Squad

    Game of Thrones a souvent de l'allure, elle peut même être simplement magnifique. Ce conte rempli de chevaliers, de rois et de fantômes est, de manière générale, bien campé par une distribution solide et, une fois que cette histoire pleine d'intrigues de cour et d'ambiguité morale commence à tourner à plein régime, vers la mi-saison, tout ce qui était réussi dans les livres fonctionne dans la série. Pourtant, à certains moments, la série manque de cette hardiesse qui était l'apanage du travail de Martin (...) Aujourd'hui, Game of Thrones n'est pas complètement ce qu'elle pourrait être. Et si d'autres saisons voient le jour, les producteurs devront se montrer plus culottés s'ils ne veulent pas que leur adaptation de la saga interminable de Martin devienne sans saveur. Mais il y a bien des choses à recommander en ce qui concerne cette saga de HBO, et plus particulièrement la distribution et la signature visuelle.

    Wall Street Journal

    [Avec Game of Thrones] on retombe dans des clichés familiers du genre: la série a son lot de giclées de sang et de gore, d'enfants bâtards, de créatures démoniaues, de nymphes blondes, de dialogues grossiers entre hommes à propos de leur entrejambe, d'inceste, de sexe violent et de seins entrevus ici et là; autant que dans n'importe quel autre show d'action destiné aux adolescents. On a aussi droit à une orgie impliquant Peter Dinklage et quatre écervelées, dont au moins une porte un string en cuir. Vous pouvez dire ce que vous voulez à propos de la créativité artistique dans cette génération de sagas, dans n'importe quel cas, on en revient toujours au string.

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