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    Twin Peaks - The Return (Mystères à Twin Peaks)
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    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 11 juin 2017
    Une série à part entière..un univers déroutant et fascinant, un peu kitsch mais complètement trépané, on retrouve des touches "lynchiennes" qui parsèment toute la série (bémol sur quelques épisodes de la saison deux qui traînent un peu en longueur).
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 30 mars 2008
    Jamais une série m'aura envoutée comme l'a fait Twin Peaks, attendant même avec impatience le soir pour pouvoir déguster 2 à 3 épisodes d'affilée. Un vrai régal.
    Bruno65
    Bruno65

    26 abonnés 799 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 31 décembre 2007
    Une expérience unique!Un stylisme et des images soignées,un mélange de perversité,de tragédie et d'humour noir.Un univers trouble,avec des personnages bizarres qui pourraient chacun être l'assassin de Laura Palmer et qui flotte dans une atmosphère fantasmagorique.On peut vraiment affirmer quelle a été à la base de bien des séries de X-Files à Carnivale en passant par Lost...Bref mélange classieux de soap-opéra,policier et fantastique.4 étoiles hypers mérités surtout pour la saison 1 et la saison 2 partie 1 car le reste(aprés la résolution du meurtre) est plus inégal,moins passionnant et convaincant.
    Skipper Mike
    Skipper Mike

    70 abonnés 650 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 9 septembre 2012
    "Twin Peaks" est-elle la meilleure série de tous les temps ? Étant plutôt néophyte en matière de télévision, je ne puis répondre à cette question. Cela dit, vu la densité des personnages, la maîtrise des réalisateurs (à commencer par David Lynch qui sublime chacun de ses épisodes) et le scénario mystérieux et intriguant, "Twin Peaks" dépasse nombre de films et je doute qu'il existe beaucoup de séries la surpassant. L'intrigue est captivante et on ne ressort pas indemne de ces trente épisodes fascinants qui mélangent polar, comédie et fantastique, tant les images sont marquantes et les excentriques personnages attachants. Le rire succède avec brio à la peur ou aux larmes - par ailleurs, les trente premières minutes du pilote, dans lequel Lynch parvient à faire pleurer le spectateur en continu alors qu'il ne connaît pas encore Laura Palmer est un vrai tour de force. La série parvient à conserver un excellent rythme tout le long et une qualité exceptionnelle. Chaque épisode contient au moins une scène culte ou magnifiquement orchestrée, mais elles foisonnent dans la plupart. Un chef-d’œuvre révolutionnaire...
    Mirobole Pancrate
    Mirobole Pancrate

    20 abonnés 213 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 1 août 2019
    Un pur bijou Lynchien où la profondeur des personnages atteint des sommets. Ni trop bizarres ni trop normaux, ceux ci ce débattent avec naturel au sein de leur "Amérique profonde", tandis que Lynch les plonge dans cet univers vaporeux et angoissant dont il a le secret. L'intrigue est aussi simple (au départ) que parfaite, la narration prend le temps de façonner une véritable atmosphère inédite que la bande sonore épouse volontiers, sans pour autant qu'aucune longueur ne se fasse ressentir une fois qu'on a les deux pieds dedans. Une leçon magistrale pour les séries d'hier et d'aujourd'hui qui souvent s'en inspirent mais jamais ne l'égalent.
    Kiwi98
    Kiwi98

    243 abonnés 238 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 5 septembre 2017
    « Qui a tué Laura Palmer ? », c’est la question que l’on pouvait lire sur toutes les lèvres des téléspectateurs des années 1990, face à cet amphithéâtre des murmures sorti tout droit des imaginaires de David Lynch et Mark Frost. La question se pose d’emblée : que disent les téléspectateurs de 2017 face à cette nouvelle saison totalement inclassable ? Car oui, cette année, le principal événement cinéphilique s’est regardé sur le petit écran. Déjà avortée au début des années 2000, la saison 3 de « Twin Peaks » s’invite enfin sous nos toits. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que David Lynch est bel et bien de retour, puisque les obsessions et les thèmes récurrents du bougre apparaissent dans quasiment tous les épisodes, qu’il a réalisé lui-même. Une fois la saison achevée, une autre question se pose : par quel bout prendre un spectacle aussi sidérant, jouissif, expérimental, absurde, baroque, grotesque, ridicule, surréaliste … ? Au-delà de la nostalgie indescriptible que l’on ressent en retrouvant cet univers, le principal sentiment que l’on éprouve, dès le premier épisode, c’est le vertige, tant la série nous plonge dans les abysses de nos propres ténèbres.

    En réalité, David Lynch sonde son propre style à travers chaque séquence, et se fait guide au sein de ce récit tortueux. On relève notamment la fin de l’épisode 3, dans lequel David Lynch, dans son personnage de l’agent spécial Gordon Cole, déclare « ne plus rien comprendre à cette situation ». Outre une mise en abime de la pensée du spectateur, cette réplique annonce le capharnaüm que sera la suite, que l’on pourrait presque classer dans l’art brut. Passé et présent finissent par se confondre, et Lynch développe une intrigue floutée par de nombreux rebondissements et des parenthèses toujours bienvenues, doublées par la lenteur du récit conduisant parfois à l’hilarité totale (la scène du casino dans l’épisode 3). L’aspect soap des deux premières saisons, assez impersonnelles à David Lynch, semble totalement abandonné, car quand l’œuvre initiale ainsi que le film se concentraient sur le vole de la beauté par les forces du mal, cette troisième saison a pour principal propos la propagation de ce mal. C’est quelque chose que l’on ressent de plein fouet dans le monumental et dantesque épisode 8, où l’on suit une silhouette fantomatique prenant le contrôle d’une station de radio et plongeant ses auditeurs dans un profond sommeil.
    Force est de constater que David Lynch ne fait absolument aucun cadeau à ses téléspectateurs. Si ils fait communiquer les dimensions et générations de différentes époques, le réalisateur de « Mulholland Drive » laisse planer le mystère autour de ses intentions. Ce qu’il montre, c’est que plus le temps passe, plus le monde perd son innocence et sa conscience pour gagner en noirceur. Le Mal n’est plus seulement sous les sycamores, il est partout, tout le temps. Et la beauté, dans cette troisième saison, elle est avant tout musicale. Si l’on retrouve la bande originale emblématique d’Angelo Badalamenti, Lynch prend rapidement l’habitude d’achever chaque épisode (sauf quelques exceptions) par un concert au Roadhouse, le bar de Twin Peaks. Y passent notamment The Chromatics dans l’épisode 2, ainsi que Nine Inch Nails dans l’épisode 8. Comme il le faisait jadis avec le cinéma, Lynch va à l’encontre de toutes les règles télévisuelles en imposant sa lenteur et l’ambiguïté quasi permanente du récit. Pas de cliffangher, pas d’intrigue racoleuse, seulement l’essentiel — et encore, c’est un bien grand mot.

    Nous sommes donc bien plus proche de « The Fire Walk With Me » que des deux premières saisons de la série. D’ailleurs, le fantôme de Phillip Jeffries hante fréquemment les dialogues, et plus simplement l’ensemble de certains épisodes. L’épisode 14 entre-autre, est dédié à David Bowie. Et plus la série avance, plus la tendresse semble revenir. Le soap reprend petit à petit sa place, notamment à l’aide du personnage de Dougie Jones, menant des aventures extraordinairement anodines dans un Las Vegas désenchanté, où il soigne sa côte de popularité avec une bienfaisance involontaire. Cependant, « soap » ne semble pas être un terme très bien approprié. On devrait plutôt parler de flottement comique. Et ce type de flottements — qu’ils soient horrifiques, comiques, ou tragiques — cette saison 3 en regorge. Spectre meurtrier, séquences oniriques (la scène à Paris avec Monica Bellucci), Dougie au travail, Dougie à la maison, Dougie au casino… Certains épisodes sont même totalement constitués de ce type de saynètes. Et si cela ne favorise pas le développement de l’intrigue, il se peut que ce soit au profit de la série, qui tire ainsi son empreinte singulière et métaphorique. En réalité, chaque personnage ne fait que ruminer vers la mort. Une mort mise en scène à travers les visages de nombreux fantômes. On pense alors à deux séquences similaires, une dans l’épisode 1, où Laura Palmer ouvre son visage duquel jaillit une éblouissante lumière. C’est un ange. Dans l’épisode 14, c’est Sarah Palmer, la mère de Laura, qui enlève son visage. Apparait alors un large sourire sur un fond noir. Pas de doute, c’est le visage de la mort.

    Nous déambulons dans un univers sibyllin, difficile à comprendre si l’on est pas familier au travaux de David Lynch. Comme nous l’avons vu plus tôt, l’ombre de « The Fire Walk With Me » ne cesse de revenir. L’apogée de la tragédie lynchéenne à lieue dans l’épisode 6, lorsque qu’un enfant se fait renverser par un camion fonçant à vive allure, tandis que son chauffeur, nouveau personnage nommé Richard Horne, est encore sous le choc de sa rencontre avec un magicien narco-trafiquant. Faites attention, et vous remarquerez qu’il s’agit du même passage piéton que dans « The Fire Walk With Me ». Outre la violence inouïe de la scène, on relève également une certaine poésie lorsque l’on voit une forme jaune s’échapper de l’enfant. Ce qu’il faut savoir, c’est que rien ici n’est gratuit. Dans « Twin Peaks », l’insouciance et l’innocence ont toujours flirté avec le chaos. Ici, le chaos surgit et frappe l’enfance, symbole de pureté, de plein fouet. Et la collision n’est pas que formelle, elle est aussi narrative, puisque l’on sait, à partir de cette scène, que la série sera sous la dominance des forces obscures. Dans ce cas, la question se pose d’emblée : d’où vient ce mal ? Il vient tout simplement de l’innocence. Encore une fois, on pense à la relation incestueuse de Laura et son père dans « The Fire Walk With Me ». Le Mal se dissimule dans l’innocence, et vice-versa, multipliant les niveaux de lecture. Résultat ? Difficile de mettre en lumière le réel propos de la série. On pourrait dire que les premiers épisodes sont liés à la propagation du mal. Les suivants montre le combat pour préserver l’innocence du mal qui la menace.

    Cette saison 3 de « Twin Peaks » est une peinture monstrueuse, une nébuleuse où s’embrouillent le temps, la réalité et l’espace. Le suspens d’autrefois se métamorphose en expérimentation, le soap est devenu une série au format télévisuel sans précédent. David Lynch et Mark Frost viennent de détruire leur œuvre pour mieux la réinventer. On peut facilement qualifier cette nouvelle saison de délire, et il parait difficile de ne pas rejeter cette nouvelle formule. Tous les sentiments y passent : on est bouleversé, perdu, indifférent, hypnotisé, galvanisé… Cette intrigue, finement tissée autour de doppelgänger et de conflit dimensionnel, s’avère cependant particulièrement solide. Car il y a bien là une progression, une suite de la saison 2. Elle est simplement reléguée au second plan. Forcément, ceux qui s’attendaient à visionner cette saison en sirotant leur tasse de café en dégustant leur tarte à la myrtille se sont retrouvés dans une position inconfortable face à cet impensable déraillement. D’ailleurs, on note le chiffre, particulièrement bas, des audiences de la série aux États-Unis, qui, in fine, n’a été suivi que par une poignée de fans courageux sur Showtime.

    Valse des vies brisées, scénario tentaculaire, vertige, onirisme, mystère… Voilà une œuvre dans laquelle on aime se perdre. À ce titre, l’épisode final relève parmi ce que David Lynch a fait de plus extraordinaire. La lumière créé l’ombre, et la vérité créé le mystère. On se souviendra longtemps de ce plan final dans lequel Laura Palmer souffle quelque chose à l’oreille de Dale Cooper. On ne saura probablement jamais ce quelle dit, car « Twin Peaks » n’est autre qu’un théâtre des pleures au sein duquel s’abîment les secrets et les chuchotements. Un final qui parle donc directement au début de la première saison, diffusée en 1990. Et cette saison 3, aussi frustrante soit-elle, repousse plus que jamais notre regard au-delà de notre empire intérieur. De quoi hanter notre mémoire de spectateur pour les deux décennies à venir. Quand sous la banalité se dissimulent l’insondable, l’innommable. Plus qu’un mystère, c’est un miracle.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 22 juillet 2008
    Au début des années 1990 david Lynch et Mark Forst( on a tristement tendance a l'oublié) ont montré a tous qu'une serie télévisée pouvait prétendre au statut d'oeuvre d'art au meme titre qu'un film de cinema. Twin Peaks c'est un mélange parfait entre l'ordinaire et l'extraordinaire, entre le naturel et le surnaturel ,entre le connu et l'inconnu, entre Les Soprano et Lost. Twin Peaks annonce magistralement ces deux grandes series qui, de mannières différentes, s'inspireront de leur model. Comme plus tard dans Les Soprano, Twin peaks décrit un groupe de personnes, une population, guété par l'ennui, noyé dans son quotidien et qui tente de caché son mal-être et sa tristesse. Derrière la jolie petite ville de province et ses amicales habitants commme derriere la famille, les affranchis et l'argent se cache une douleur, une grave crise existentiel, ou la violence des sentiments est nourrie de trahison et de folie. Ces deux series sont des peintures incroyables d'une réalité pourtant présente et inévitables, de deux face d'une Amerique malade.
    Comme plus tard Lost, Twin peaks déborde de mystères passionant, de coups de théatre retournants, d'instants inquiètants. En ville ou sur l'île la frontière entre le réel et le surnaturel et fine et les explications sont parfois impossibles. Deux series, deux voyages, deux cauchemars, deux monuments methaphoriques et phylpsophique.
    Réaliste et méthaphysique, plus de 15 ans après Twin Peaks a fait de magnifiques petits mais reste le chef d'oeuvre de la télévision. Indétronable,inoubliable,inusable.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 28 juillet 2008
    Une série magnifique, mystérieuse et secrète cachant une vérité insoupçonnable... Même après toutes ces années, Dale Cooper est toujours aussi hilarant.
    fritzlang1971
    fritzlang1971

    23 abonnés 421 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 22 juillet 2011
    On découvre le corps sans vie de Laura Palmer, 17 ans, à Twin Peaks (51201 habitants), petite ville proche de la frontière canadienne. Le FBI envoie sur place l'agent Cooper pour enquéter sur ce crime. Je viens de revoir sur plusieurs semaines les 30 épisodes de cette série diffusée à partir de 1991, j'avais 20 ans à l'époque, et cela m'a fait drôle de me replonger dans cette histoire. Climat oppressant, musique extraordinaire et appropriée d'Angelo Badalamenti, personnages fouillés et inquiétants, une réalisation soignée et une histoire avec beaucoup de rebondissements. Cultissime.
    Glouyie
    Glouyie

    14 abonnés 296 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 21 juillet 2016
    Raah que dire ?
    J'ai vraiment aimé le rythme du début, l'ambiance, les personnages tous plus étranges les uns que les autres, l'humour, et le suspens !
    Pourtant, au fur et à mesure des épisodes, le rythme se perd, on part en délire, on semble oublier le fil directeur alors que le spectateur lui veut savoir ! Il veut connaître le meurtrier de Laura Palmer ! [spoiler] et quelle tristesse de ne pas le connaître à la fin de cette première saison ! [spoiler]
    David Lynch voulait travailler sur l'esthétisme et creuser lentement dans les mystères et secrets des personnages. Mais ça en est devenu trop long ! Quel dommage je trouve !
    Je pense ne pas regarder la seconde saison qui continue en étrangeté apparemment... Mais qui ne fait pas vraiment avancer cette enquête qui m'a fait commencer et continuer le visionage de la première saison de Twin Peaks...
    Mais je serai curieuse de voir la saison prévue en 2016...
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 23 novembre 2007
    Trés Bonne Série!!!Bons Acteurs pour cette Série, surtout pour l'Agent Dale Cooper, Excellent dans ce Rôle!!!Bonne Musique, Trés trés Bonne Histoire, Bonne Réalisation, de l'Humour, de l'Action, de la Tension également, et de Trés Bons épisodes donc!!!4 étoiles pour cette Série, Bravo!!!
    Cthulhu Mantis
    Cthulhu Mantis

    18 abonnés 82 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 8 avril 2015
    Il est claire également que l'agent du FBI Cooper représente également la philosophie lui même du concepteur de cette série David Lynch sur le paranormal, le bouddhisme, la méditation et ce qui l'entoure.
    Pour revenir a la série qui a été précurseur dans les fictions télévisés, il est évident qu'elle a eu une influence incroyable beaucoup d'auteur et de scénariste se sont revendiquer de leurs influences comme l'auteur de SOPRANO.
    Le décor en lui même est sublime ressemblant beaucoup à son auteur David Lynch donc on y trouve beaucoup d'aspect et cette atmosphère peut être son monde idéal pour lui!?

    Que dire si les personnage sont attachants il y'en a tellement forcément Dale Cooper incarner par Kyle Maclahlan qui est une des égérie masculin de Lynch et qui fait désormais parti de mes acteurs favoris quel dommage qu'il n'a pas réussi en dehors des films de Lynch, mais il y'a aussi nadine la femme au bandeau, Ben Hornes,la dame à la bûche qui est exceptionnel quoi qu'elle me fait un peu peur,Laura Palmer bien sur étrange jeune femme alors qu'elle n’apparaît qu'au début morte dans la série et logiquement elle n'est qu'absente tout au long des épisodes et à la fois jamais un personnage n'a jamais été aussi présent ce qui pour ma part me fascine. Et puis il y'a aussi Annie Blackburn donc j'ai un gros coup de cœur.

    Et puis si ce n'est aussi la musique de la série qui ne renforce son identité visuel.
    donc en ce moment je me passe en boucle la fin de la série sur la loge noir qui comme beaucoup de fan nous a tous laissé sur notre faim et encore plus ceux qui ont eu la chance de regarder tout chaud cette O.V.N.I télévisuelle venue de l'autre coté de l'atlantique.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 24 juillet 2013
    Twin Peaks est une série tout simplement excellente, les personnages sont charismatiques et surtout énigmatiques, le scénario nous tiens en haleine. Les musique composées par Angelo Badalamenti sont brillantes. A la fin de chaque épisodes on a irrémédiablement envie de replonger dans l'univers de Twin Peaks qui est une nouvelle preuve du génie de David Lynch. La réalisation est impeccable. Une série à ne pas manquer.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 5 juillet 2010
    La 1ere saison est très bien: mélange de soap policer fantastique où tout le monde couche avec tout le monde, tout le monde est suspect; une vraie intrigue avec une musique de générique très envoutante ( la meilleure jamais crée à ce jour). La seconde partie à trop tendance sur la fin à partir en délire mais la fin est excellente et ratrappe cette saison. Duchonvy en travesti: vraiment hilarant. Une de des meilleurs séries actuellement.
    Legion666
    Legion666

    23 abonnés 350 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 17 février 2008
    Ma série préférée!!!En un mot:"culte".Je connaissant de réputation et j'ai foncer aveuglément acheter les DVD et maintenant je vénère cette série, qui est totalement envoutante, a tous les niveaux.On a parfois l'impression qu'il ne se passe rien mais on est hypnotisé par la musique,les images.Les personnages sont décallés voir farfelu mais on les adores et malgrée tous les malheurs qui s'y passent on aimerait vivre a "Twin peaks".Bravo et merci Mr Lynch!!!Pour ceux qui aime cette série,je conseille de regarder:"la caravane de l'étrange"ou "carnivale"en VO.C'est ce que j'ai trouvé de plus proche.
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