Avis Uncoupled

Huit épisode de 25 minutes, donc, pour cette comédie queer, dont le pitch ne fait que reprendre les balises des comédies hétéro en les transposant dans le milieu gay. Quelques bonnes répliques qui font mouche, l'originalité étant la tranche d'âge choisie alors que la plupart de ce genre de séries explorent les 18/30 ans.
A l'arrivée, rien de bien original et la série courte ne méritait pas d'avantage d'épisodes, tant le scénario est mince et linéaire, prévisible...

j'ai adoré cette série, elle se binge facilement avec ses épisodes de 30min. On a un grand plaisir à retrouver Neil Patrick Harris, dans un rôle qui lui convient parfaitement. On s'attache facilement à tous les personnages. vivement la saison 2!!!

Finie depuis 2h, et déjà un sentiment de manque/vide.
C'était vraiment génial. Et puis ça fait du bien de voir une série gay sur les quinqua (depuis quelques années on a surtout affaire à des séries pour les ados.... ^^).

Malgré quelque cliché.

Mais le reste tiens parfaitement la route. Grâce à une écriture bien plus fine qu'on pourrait le penser de prime abord. Elle réussit à être touchant, drôle et faire exister tous le perso secondaire (pas que Neil Patrick Harris vraiment bon).

Mais, pour moi j'ai que 2 regrets. La 1er, c'est pour le Brooks Ashmanskas (incroyable), véritable MVP du show. J'en suis même venu à me dire qu'il aurait été un BIEN meilleur perso en lead

Il est authentique, drôle, touchant et plein d'esprit. L'acteur (un grand de Broadway), mérite bien plus. Il a donc intérêt à être mis plus en avant pour la saison 2 (et au vu des retours je ne suis pas le seul à le penser).

Pour la 2éme chose, le format est de 30 min pour 8 épisodes... damn, ce n'est pas assez. Beaucoup trop court.

Vous l'aurez compris gros coup de coeur. Très excité pour la S2.

4,5/5

Honnêtement ce genre de série ce n'est ce que je regarde habituellement mais la présence de Neil Patrick Harris que j'ai plus qu'adoré dans How I Met Your Mother m'a donné envie de me lancer.
Je m'attendais à un genre de sitcom moderne mais pas du tout.
On voit Michael, un cinquantenaire venant d'être largué par son copain après une relation de 17 ans sans savoir pourquoi.
Alors pendant ces 8 épisodes de 30 minutes chacun où on observe NPH essaye de se débrouiller en tant que cinquantenaire célibataire gay dans un monde qui a bien changé.
L'histoire se déroule à New York où on a
l'impression que deux tiers de la population est gay.
Les personnages secondaires sont la vrai force de cette série avec une mention honorable au personnage de Suzanne qui porte un peu la série selon moi.
Le finale de la saison se conclut sur un cliffhanger assez prévisible.
3.6/5

Passé la surprise du premier épisode, on tombe vite dans le ridicule et le vulgaire avec des personnes qui passent leur temps à pleurer sur leur sort.
Tout est dit dans cette phrase.
Il est difficile de faire pire. L'humour attendu disparaît dès le second épisode. Le scénario est creux et sans intérêt
Passez votre chemin..

Une série qui se dévore tant les épisodes sont bien rythmés, l'intrigue sympa et les rebondissements bien dosés. Pour autant, elle n'est pas forcément pour un public qui ne serait pas coutumier des codes gays, et pourrait rendre incompréhensibles certains passages très spécifiques au monde de cette communauté. Les personnages sont attachants, touchants et drôles, j'ai adoré. Seul défaut : 8 épisodes de 30mn, c'est trop court ! A quand une saison 2 ?

Série sympa qui met en scène les déboires amoureux d'un gay de 50 ans.
La réalisation est propre et c'est bien joué. Mais j'ai trouvé les aventures du personnage principale assez classiques et manquant de surprise et de "folie". Je me suis plus éclaté avec You're the worst de Stephen Falk ou LOVE de Judd Apatow.

Une œuvre douce amer mais des personnages attachants et drôles. J'ai dévoré en un week-end les 8 épisodes.

Evoquer le célibat à la quarantaine dans ce clinquant N.Y est l'angle soit disant original de cette nouvelle série gay. Mais finalement, on retrouve les mêmes poncifs habituels : un ton et un décorum superficiels, des séquences assez banales, une interprétation surjouée. Les personnages d'une classe sociale privilégiée (qui ne travaille jamais...) ne sont pas intéressants, les situations sont répétitives, peu réalistes et l'ensemble n'est ni drôle, ni touchant. Le pompon : la pub facile pour des plates-formes en ligne, appli gay ou encore pour netflix elle-même, proposant la diffusion!

Sex in the city chez les gays,nous avait-on dit.On avait hâte.Grosse déception.Ce n'est ni drôle ni émouvant(sauf à la rigueur le personnage de Stanley).C'est assez répétitif.Pourtant concernant les gays et autres LGBT,sans même parler des grands classiques du cinéma,(la Cage aux folles,Priscilla folle du désert,Pédale douce,Gazon maudit,Philadelphia etc...)il y a eu des séries récentes merveilleuses qui nous ont fait rire et pleurer:on pense entre autres à It's the sin et Pose .On comprend cependant que certains adoreront Uncoupled .A voir pour que chacun se fasse son opinion.C'est très court.Et les fans auront sûrement une suite.

Quel coup de cœur ! Une série importante, nécessaire, les acteurs sont touchants, c'est punchy, enthousiasmant, new yorkais, riche et gay !

On a envie d'avoir 50 ans, d'être gay et d'habiter New York !

Chapeau !

Une série bourrée de clichés, parfois prévisible et gravitant autour de milieux très superficiels... heureusement le plaisir de revoir Neil Patrick Harris est bien là. On se surprend à être touché par ses déboires et à rire à certaines blagues avant de regarder l'épisode suivant.

Saison : 3,5/5
Super moment ! Une série toute simpliste mais avec tous les ingrédients pour passer un bon moment de détente et de délire !
De bons acteurs incarnant des personnages : drôles, attachants, au grand cœur. Des scènes de malaise et de gêne qui fonctionnent et qui m'ont bien fait rire. Une belle image, un bon rythme… Et quand une série a toutes ses qualités qu'est-ce qu'on fait ? On la dévore en plus de passer un agréable moment ! Merci Darren Star et Jeffrey Richman pour cette production qui m'a bien fait sourire. On se retrouve en juillet 2023 pour la saison 2 !

Hormis une accumulation de clichés sur le mode de vie gay, cette série n'apporte que quelques moments de sourire -surtout grâce aux seconds rôles- et cette bluette à happy end donne surtout à voir le "drame d'un couple" dans le milieu new-yorkais des petits appartements à 1 million de dollars, et des "partys" à 300 $ par tête. faire rêver ou envie, les scénaristes hésitent, et l'on s'ennuie avec eux

Produit par Darren Star (Sex and the City, Emily in Paris ou Melrose Place), on retrouve donc ce côté très superficiel dans un New-York fortuné et merveilleux.

Rien d'exceptionnel côté scénario, une histoire de cœur brisé suite à une rupture de ce couple gay après 25 ans de vie commune... ou comment plaire quand on a 50 ans dans le milieu gay (boîtes de nuit, réseaux sociaux etc...). Heureusement un épisode dure 28 minutes donc ça se laisse regarder mais... de loin.