The End Of The F***ing World : Critiques de la presse
The End Of The F***ing World
Critiques spectateurs
Critiques presse
Note moyenne
4,0
11 titres de presse
Elle
GQ
L'Obs
Critictoo
Ecran Large
Le Monde
Les Inrockuptibles
Ouest France
Première
Télérama
Metro
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Elle
par Khadija Moussou
Vous allez vouloir partir en virée folle avec James et Alyssa ! (…) un humour noir, rock, cynique et surtout : anglais. Un vrai coup de coeur !
La critique complète est disponible sur le site Elle
GQ
par Charles Audier
Même pour un novice, ça crève les yeux : les décors et la lumière, la photo en fait, sont incroyables. Des ralentis, des regards entre les acteurs, certains moments de contemplation rappellent - un peu - la manière de filmer The Revenant, sans pour autant malmener les héros entre les griffes d’un ours. Le rythme lancinant et palpitant ajoute à la magie. Tout simplement beau.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Obs
par Marie Campistron
Entre noirceur et poésie, la série estampillée Netflix dépeint avec charme le road-trip bancal d'un couple d'ados désabusés. Une réussite.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Critictoo
par Carole
La scénarisation de Charlie Covell trouve le parfait équilibre entre les éléments les plus absurdes, une sensibilité à fleur de peau et une noirceur qui ne nous quitte quasiment jamais. D’ailleurs, c’est bien dans la présentation du point de vue plutôt sinistre que The End of the F***ing World parvient à tirer ses meilleures notes d’humour. Cela et la dynamique générale de ces deux acteurs principaux (…) Une histoire de passage à l’âge adulte qui mérite le coup d’œil.
La critique complète est disponible sur le site Critictoo
Ecran Large
par Lino Cassinat
La série est tout ce que la bande annonce promet et même plus encore : une romance drôle mais très borderline entre deux ados niqués de la tête, mutant ensuite en road-trip assoiffé de liberté, une fuite en avant (auto-)destructrice à la recherche de soi.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Monde
par Pierre Sérisier
Le thème central est l’abandon de toute considération et préoccupation pour un monde qui n’en aurait aucun pour les individus qui le composent. (…) Cela colle parfaitement à l’adolescence ou du moins à une partie d’entre elle ou du moins à l’idée qu’on veut s’en faire ou du moins à la représentation qu’on en fait depuis longtemps. Dans tous les cas ça marche et c’est pour cette raison que la proposition est si engageante et qu’on adopte instantanément les deux personnages principaux. Finalement, on se dit qu’ils ont peut-être quelques raisons (bonnes ou mauvaises) de se lancer dans cette aventure.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Léo Moser
Un humour noir glaçant traverse le récit, sans que jamais la série ne tombe dans le piège du cynisme ricanant. Une attachante réussite.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Élise Henry
Il y avait Bonnie and Clyde. Il y avait Thelma et Louise. Désormais, grâce à Netflix, il y a James et Alyssa. (…) une fois cette première saison regardée, on a juste envie de dire : 'C’était f***ing good ! Vivement la saison 2 !'
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Première
par Charles Martin
Vous êtes ici en pleine comédie dramatique, sombre, noire, sordide même. Et s'il faut un peu de temps pour s'acclimater à son ambiance franchement dérangeante, la série finit inexorablement par nous conquérir. (…) Incontestablement, The End of the Fucking World est une vraie bonne surprise de ce début d'année.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par La rédaction
Ce petit bijou de comédie noire narre le road trip initiatique de deux ados, Alyssa et James (…) Cette virée irrésistible séduit aussi grâce à une bande originale signée Graham Coxon de Blur, et des chansons qui vont du punk des Buzzcocks à la douceur mélancolique de Françoise Hardy, en passant par la grâce de Mazzy Star. Une belle manière d’en finir avec le monde.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Metro
par Stéphane Morneau
La prémisse est très intéressante et les deux premiers épisodes sèment une intrigue que l’on veut découvrir. Mais tout ceci s’essouffle et on se retrouve devant une grande poignée de poudre aux yeux plutôt que devant une série de grande qualité.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Elle
Vous allez vouloir partir en virée folle avec James et Alyssa ! (…) un humour noir, rock, cynique et surtout : anglais. Un vrai coup de coeur !
GQ
Même pour un novice, ça crève les yeux : les décors et la lumière, la photo en fait, sont incroyables. Des ralentis, des regards entre les acteurs, certains moments de contemplation rappellent - un peu - la manière de filmer The Revenant, sans pour autant malmener les héros entre les griffes d’un ours. Le rythme lancinant et palpitant ajoute à la magie. Tout simplement beau.
L'Obs
Entre noirceur et poésie, la série estampillée Netflix dépeint avec charme le road-trip bancal d'un couple d'ados désabusés. Une réussite.
Critictoo
La scénarisation de Charlie Covell trouve le parfait équilibre entre les éléments les plus absurdes, une sensibilité à fleur de peau et une noirceur qui ne nous quitte quasiment jamais. D’ailleurs, c’est bien dans la présentation du point de vue plutôt sinistre que The End of the F***ing World parvient à tirer ses meilleures notes d’humour. Cela et la dynamique générale de ces deux acteurs principaux (…) Une histoire de passage à l’âge adulte qui mérite le coup d’œil.
Ecran Large
La série est tout ce que la bande annonce promet et même plus encore : une romance drôle mais très borderline entre deux ados niqués de la tête, mutant ensuite en road-trip assoiffé de liberté, une fuite en avant (auto-)destructrice à la recherche de soi.
Le Monde
Le thème central est l’abandon de toute considération et préoccupation pour un monde qui n’en aurait aucun pour les individus qui le composent. (…) Cela colle parfaitement à l’adolescence ou du moins à une partie d’entre elle ou du moins à l’idée qu’on veut s’en faire ou du moins à la représentation qu’on en fait depuis longtemps. Dans tous les cas ça marche et c’est pour cette raison que la proposition est si engageante et qu’on adopte instantanément les deux personnages principaux. Finalement, on se dit qu’ils ont peut-être quelques raisons (bonnes ou mauvaises) de se lancer dans cette aventure.
Les Inrockuptibles
Un humour noir glaçant traverse le récit, sans que jamais la série ne tombe dans le piège du cynisme ricanant. Une attachante réussite.
Ouest France
Il y avait Bonnie and Clyde. Il y avait Thelma et Louise. Désormais, grâce à Netflix, il y a James et Alyssa. (…) une fois cette première saison regardée, on a juste envie de dire : 'C’était f***ing good ! Vivement la saison 2 !'
Première
Vous êtes ici en pleine comédie dramatique, sombre, noire, sordide même. Et s'il faut un peu de temps pour s'acclimater à son ambiance franchement dérangeante, la série finit inexorablement par nous conquérir. (…) Incontestablement, The End of the Fucking World est une vraie bonne surprise de ce début d'année.
Télérama
Ce petit bijou de comédie noire narre le road trip initiatique de deux ados, Alyssa et James (…) Cette virée irrésistible séduit aussi grâce à une bande originale signée Graham Coxon de Blur, et des chansons qui vont du punk des Buzzcocks à la douceur mélancolique de Françoise Hardy, en passant par la grâce de Mazzy Star. Une belle manière d’en finir avec le monde.
Metro
La prémisse est très intéressante et les deux premiers épisodes sèment une intrigue que l’on veut découvrir. Mais tout ceci s’essouffle et on se retrouve devant une grande poignée de poudre aux yeux plutôt que devant une série de grande qualité.