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    Patria
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    Jose de la Peña
    Jose de la Peña

    5 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 2 octobre 2020
    J'ai lu le livre trois fois, j'ai lu le roman graphique qui s'en inspire et en général c'est un sujet qui m'a toujours beaucoup intéressé sur le plan historique (et pas tant que ça parce que malheureusement nous l'avons vécu jusqu'à il y a quatre jours), et j'attendais cette série comme l'eau de mai.

    Grâce à mon travail, j'ai eu le privilège de partager du temps avec d'autres anciens combattants qui ont vécu les années difficiles, les années de plomb, qui vous racontent comment c'était à l'époque, comment ils ont perdu des compagnons et des amis, et c'est un de ces compagnons qui m'a fortement recommandé de lire PATRIA. Ils sont tous d'accord sur la même chose, cela reflète très bien l'atmosphère qui existait à cette époque.

    Ayant vu les deux premiers épisodes, je peux dire que je pense qu'il s'agit d'une adaptation de SUBLIME, dans plusieurs scènes mon partenaire et moi avons anticipé la phrase du personnage de manière textuelle. Je ne dis pas que le littéralisme est synonyme de bonne adaptation, mais dans ce cas-ci, il l'est.

    Je ne lui donne pas un 10 parce que je n'ai vu que deux chapitres et je laisse ce point à la prudence, mais ça a l'air bien, très bien.

    Et s'il vous plaît, à tous ceux qui pensent qu'il s'agit d'une œuvre qui blanchit le terrorisme, ou qui met les victimes et les bourreaux sur le même plan, ne vous laissez pas obnubiler par les préjugés car cette histoire n'a rien à voir avec cela et si quelqu'un vous dit qu'il ne l'a pas lue ou pire, qu'il n'a rien compris. Si vous laissez faire, vous passerez à côté de quelque chose de très intéressant.
    elriad
    elriad

    387 abonnés 1 791 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 30 novembre 2020
    Amis sérivores, voici l'une des séries les plus intelligentes du moment. Tiré d'un succès incontestable de librairie, (plus de 700 000 exemplaires vendus) . Qualifié de "guerre et pays " du pays basque, "Patria" évoque la grande Histoire par le prisme d'une petite histoire bouleversante, celle de deux familles très amies, qui finiront par ne plus se parler quand l'une choisit de soutenir l'ETA. Cette guerre civile a déchiré tant de familles et l'exemple de ces personnages dignes d'une tragédie grecque est édifiant. Acteurs justes et en intériorité, scénario tout en pudeur et en non-dits, regards évocateurs, peur omniprésente, cette série en 8 épisodes est vraie réussite et vous poursuit bien après l'épisode final. Un immense coup de coeur. A ne pas manquer...
    Biertan64
    Biertan64

    43 abonnés 1 413 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 8 mai 2021
    Une série traitant d'ETA parlera en priorité aux espagnols ou aux habitants du Pays-Basque ayant une connaissance plus approfondie de la situation sociale et historique (et bien entendu à ceux qui veulent connaitre cette part d'histoire de la région).
    La preuve en est le peu de notes sur Allocine alors qu'il s'agit d'une série de grande qualité (pour son scénario, les acteurs et la réalisation) extrêmement prenante.
    En effet Patria dépasse très largement les contours de ce contexte local, et parle  de réconciliation et de pardon après des années de rancoeur.
    On s'attache très rapidement à ses personnages (Arantxa notamment, point de liaison entre les deux camps) car tous ont en eux deux faces, celle intransigeante de leurs convictions conduisant à leurs actes et celle humaine entrainant remords et regrets. Rien n'est tout blanc ou tout noir.
    Tout cela dans l'atmosphère correctement reproduite d'un petit village proche de San Sebastian , avec les déchirements entre familles pour raisons politiques.
    Une histoire bouleversante, à l'accent souvent dramatique et qui ne laisse pas indifférent, à voir en priorité en version originale (sous-titrée), l'utilisation du français faussant un peu le ton.
    alex c.
    alex c.

    7 abonnés 30 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 26 novembre 2020
    Cette série à une manière incroyable de vous montrer ce qu'on vécue deux familles basque pendant ses années terrible. C'est un véritable drame familial remarquablement bien raconté. C'est à la fois originale et prenant car on voit très peu de film ou série qui parle de l'ETA.
    Kubrock68
    Kubrock68

    34 abonnés 1 209 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 15 mars 2021
    L'histoire de 2 familles basques durant la période dure de l'ETA. ll s'agit clairement d'une étude approfondie des traditions et particularités basques. C'est très sensible et fin et les personnages parfaitement décrits nous deviennent familiers. Ne vous attendez pas à la casa de papel bis, il s'agit plutôt d'un drame psychologique de haute volée que certains jugeront lent. Un belle réussite
    Pierricdrai
    Pierricdrai

    5 abonnés 106 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    2,5
    Publiée le 17 mars 2023
    https://seriephiledudimanche.jimdofree.com/2023/03/15/patria/

    L’ETA et le sang versé

    Un homme sort de sa sieste et s’apprête à retourner au travail. Il boit une gorgée de café froid à même la cafetière, dit au revoir à sa femme et quitte l’appartement sous une pluie battante. Après un petit temps où la caméra se concentre sur la visage de cette dernière, des coups de feu retentissent. Elle se lève, paniquée, jette un coup d’œil furtif à la fenêtre et se précipite en geignant dans la rue déserte. Elle étreint son mari, gisant inanimé sur le pavé et hurle. Bienvenue dans la Pays Basque espagnol dans les années 90. Années où sévissait l’ETA (Euskadi ta Askatasuna), une cellule terroriste qui réclamait l’indépendance de leur province et exigeait de la population un soutien sans faille à leur cause quitte à supprimer les supposés opposants. Dans le cas de Txato, en tant que petit chef d’entreprise de transport, une absence de paiement de l’impôt dévolu à financer l’ETA, et c’est une vie qui s’envole, une famille entière plongée dans le deuil. Il suffit de se rendre sur Wikipédia pour prendre la mesure des malversations de cette organisation fondée en 1959 : À partir de 1968, (...) ETA a tué 829 personnes, fait des centaines de mutilés, commis des dizaines d’enlèvements et de nombreuses extorsions de fonds. Celle-ci a annoncé sa dissolution officielle le 2 mai 2018.


    Vivre le deuil

    « Patria » suit le parcours de deux familles : celle de la victime bien sûr mais aussi celle parmi laquelle figure un des assassins présumés de Txato, éternel optimiste qui jamais n’avait pu imaginer qu’un Basque puisse en tuer un autre sous prétexte qu’il aime son pays. Concernant la première, on nous expose deux manières distinctes de vivre le deuil : fuir la douleur en même temps que le lieu des événements ou se rendre en partie responsable de ce qui s’est passé et s’interdire toute forme de bonheur. La narration nous présente ce second positionnement plus comme une posture flagellatrice qu’une réelle nécessité. Ainsi, s’il ne nous est pas autorisé de juger des émotions que le deuil impose, le personnage en question se déleste de l’amour qu’on lui prodigue sous prétexte qu’il ne s’autorise plus à être heureux. A défaut de critiquer l’auteur de ces pensées, on en vient plus à reprocher aux scénaristes de l’avoir figé dans un état de contrition sans lui apporter la moindre nuance. Par ailleurs, pas sûr que son père, s’il pouvait encore parler, cautionne le choix de vie de son enfant, ce qui nous autorise à ne pas le faire non plus. En revanche, quand il s’agit de fuir, là, on ressent l’aspect viscéral d’une décision qui n’en est pas une. Alors, si les sourires et la vie semblent ici présentes, le mal enfoui resurgit au détour d’une rue, nouant le bide, insidieux, toxique. Et ça, en revanche, on y croit !


    Des personnages crédibles

    Du côté de la famille de Joxe Mari, le bourreau potentiel, les enfants sont unanimes : leur frère est un assassin mais il reste leur frère. Alors, s’il est possible pour l’un de fuir tant en prouvant que l’on peut mettre en avant la culture basque sans passer par la lutte armée, le handicap moteur de l’autre l’oblige à vivre chez ses parents. De fait, dans l’incapacité de parler, celle-ci observe impuissante sa mère Miren épouser le combat de son fils pour la simple et bonne raison qu’il est son fils tandis que son père Joxian ne prend pas le risque de s’élever contre les brimades humiliantes de sa femme. Par ailleurs, ce « lâche » comme il se décrit lui-même, tourne le dos au « traître » qui, encore hier, était son meilleur ami. Même si ce volte-face relationnel s’opère de manière trop brutale pour apparaître crédible, ce dernier est sans doute le personnage qui représente le mieux la population locale : il aime son pays, il considère les membres de l’ETA (y compris son fils) comme des assassins, mais il craint à juste titre que l’ETA s’en prenne à sa famille. Alors, il baisse la tête et se tait. Clairement, la force de la série tient à ses descriptions psychologiques subtiles et cohérentes. Et si un dénominateur commun devait en être retiré, ce serait d’être pris en étau entre l’amour qu’ils portent à leur famille et la position intenable dans laquelle la situation politique les confronte. Position qui ne permet pas la neutralité et fragmente les relations intra et inter-familiales.


    Un enjeu et des descriptions de qualité

    De manière plus globale,la narration de « Patria »oscille entre différentes époques qui vont de la montée des tensions jusqu’à ce que Bittori, la femme de Txato, retourne au village suite à l’arrêt officiel des attentats. Son but avoué est de reprendre contact avec la famille de Joxe Mari pour savoir si celui-ci est le meurtrier avéré de son mari. Et pour cela, elle est prête à affronter le regard haineux de Miren (qui a vu son fils se faire incarcérer pour ses meurtres) et celui, désapprobateur, du curé du village, accusé, lui ainsi que les instances de l’église catholique basque qu’il représente,d’avoir soutenu les agissements de l’ETA. On a beau lui reprocher de venir remuer la merde en ces instants de trêve, elle s’accroche et tient à connaître la vérité. L’enjeu narratif de la série, le voilà ! De fait, en plus du lien qui ne cessera de se rompre entre les deux familles jusque-là unies, on appréhende les exactions et les méthodes de fonctionnement de l’ETA mais aussi la violence commise par le gouvernement espagnol envers les Basques ainsi que la torture dont il a usé pour mater les prisonniers indépendantistes. Il n’y a pas de manichéisme dans la retranscription des faits, c’est une évidence, ce qui procure à « Patria » une visée pédagogique indéniable. Mais malgré toutes ces qualités, on en ressort plutôt frustré.


    Un moment sans fin

    Si déception il y a, elle se porte plus sur le forme que sur le fond. En effet, on comprend très vite que la narration va nous présenter dans le désordre plusieurs périodes de la vie des protagonistes. Le puzzle des événements va ainsi se reconstituer sous nos yeux. En soi, le procédé est plutôt astucieux. En nous faisant constater ce qu’il en est sans nous dévoiler la teneur du chemin emprunté, il couvre le récit d’une forme de mystère et éveille l’intérêt du spectateur. Or, (et on peut le comprendre), la série a choisi comme point névralgique de son histoire le meurtre de Txato. De fait, en multipliant les points de vue, on en vient à revivre encore et encore la scène de sa mise à mort, en y apportant à chaque fois un élément nous rapprochant de l’identité de l’assassin. Par conséquent, lors d’un final particulièrement décevant, les derniers instants de Txato nous sont resservis au travers de scènes déjà éprouvées antérieurement et ce, pendant une bonne dizaine de minutes. Difficile de savoir si ce procédé répétitif est intentionnel, mais il s’avère en tout cas particulièrement laborieux. A tel point qu’il apparaît comme la goutte de pluie qui fait déborder un parapluie déjà bien rempli par la lenteur extrême que "Patria" nous avait jusque là imposée.


    Mais il fait froid !

    Car il ne faut pas se le cacher : cette série est lente. Très lente ! Ainsi, pour illustrer la solitude qui habite le quotidien de Bittori depuis la mort de son mari, on l’accompagne dans le bus puis on la voit prendre possession de son ancien appartement. Ce parti-pris est intéressant. Mais quand ces situations tendent à se répéter, on en vient à vouloir prendre la poudre d’escampette pour se soustraire de la morosité que ces humains font naître en nous. La plupart d’entre eux dégagent une sorte d’accablement constant, certes compréhensible, mais qui ne les rend pas vraiment sympathiques, à commencer par les deux figures maternelles qui composent cette histoire. En les voyant, on espère que la violence dont elles font preuve envers leurs proches ne soit en rien représentative de l’ensemble des mères de cette région... Finalement, il est intéressant de constater que s’il y a une communication positive, celle-ci ne passe jamais par l’oral. Même le dernier geste, le plus beau de ces 6 épisodes, se fait dans un silence absolu. Pour le reste, seul l’écrit permet de faire du lien, qu’il se matérialise par un courrier ou par le logiciel de celle qui ne peut plus parler. Cette dernière est d’ailleurs incontestablement le personnage le plus émouvant et tendre de la série. Mais que la parole se libère et la voilà pervertie par le reproche, la culpabilité envers les autres et envers soi-même… Si l’amour est au cœur de « Patria », s’il est ce qui a régi les actions de chacun, le crime commis l’a rendu amer et aigri. Et c’est tout de même assez désespérant...


    Et il pleut en plus ?

    Tout cela est finalement d’une noirceur sans nom, d’autant plus que les auteurs ont eu l’idée de faire du Bays Basque une contrée où même le ciel ne peut s’arrêter de pleurer. Certes, cela permet de mettre en avant cette splendeur de parapluie rouge qui illumine avec classe le générique de la série. De même, il est indéniable que la vivacité évocatrice de sa teinte sanglante contraste magnifiquement avec le ciel gris dont le ciel ne parvient pas à se départir. Mais au bout du compte, ce temps désespérément pluvieux ne fait que renforcer le spleen mortifère qui nous habite et sur lequel les auteurs ne cessent d’appuyer. Mais à force de tant de désolation, les tragédies elles-mêmes perdent de leur force originelle. Qu’un drame ait lieu alors que tout semble coloré et joyeux et c’est un monde qui s’écroule. Qu’il intervienne dans une atmosphère aussi désolée, et on pense, fataliste, qu’il ne pouvait en être autrement. Bref, de tout cela, il ressort que « Patria » est incontestablement une œuvre qui fera date dans l’histoire des Basques. Mais il convient peut-être mieux de se pencher sur le livre de Fernando Aramburu ou sur la bande-dessinée de Toni Fejzula qui en est inspirée que sur cette nouvelle adaptation maussade et maladroite.

    Disponible sur MyCanal
    Francky B.
    Francky B.

    4 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,0
    Publiée le 12 décembre 2020
    L'histoire est d'une authenticité frisant l'excellence. Mais tout est gâché par la médiocrité des doublages et la lenteur du scénario. Je n'ai trouvé qu'un seul personnage attachant, tous les autres étant glaciaux. Cela manque clairement d'émotion alors qu'il y a la place pour en véhiculer. Dernier point. Pour être natif du Pays Basque, je souhaiterais préciser que la véritable météo de cette région magnifique est bien loin d'être intensément et inlassablement pluvieuse telle que donnée dans cette histoire.
    Cyrille B.
    Cyrille B.

    2 abonnés 23 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 13 décembre 2020
    Très bonne série sur cette période de la fin des années 80 début des années 90 au Pays basque espagnol.
    L’atmosphère de l’époque y est bien rendue. Le Pays basque espagnol n’est pas le français, c’était une terre désolée par la désindustrialisation, le climat y est atrocement pluvieux comme dans tout le nord de l’Espagne, et les esprits dérangés au plus au point par le poison politique.
    A regarder en version originale.
    LR7985
    LR7985

    4 abonnés 32 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 4 décembre 2020
    Ils expliques bien l'absurdité de L'ETA qui tue leurs propre menbres juste pour des impôts non payés et n'essaye pas de rencontres les personnes pour savoir pourquoi ils ne peuvent pas payé leur impôt à L'ETA.

    Au final, c'etais plus une grosse mafia qu'autre chose et endoctriner des jeunes pour tuer leur propre membre de L'ETA.

    Tu m'étonne qu'elle ces fini par s'écrouler leur organisation pour la lutte de l'indépendance du pays basque si eux même était pareil qu'une mafia diriger par quelque chef qui s'occupe juste à faire rentrer l'argent et s'en foutais du reste.

    Très bonne série pour apprendre les travers de l'organisation de ETA.
    Komodorr
    Komodorr

    132 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 13 décembre 2020
    Série espagnole avec évidemment beaucoup de basques au générique très réussie. Je l'ai même trouvée très émouvante du côté des deux familles, mention spéciale au personnage d'Arantxa. Les deux mamans sont extraordinaires, l'intrigue politique est intéressante, elle ne prend pas partie et nous permet de nous immerger pleinement dans l'ambiance espagnole de l'époque et de ce pueblo et de voir les réactions de chacun; ce qui est à la fois captivant et effrayant. L' l'intrigue principale, l'assassin, le pardon, on a des doutes puis on la devine assez rapidement, surtout avec les flash-back. Concernant la langue je ne comprends pas le basque mais je comprends l'espagnol, ne regardez surtout pas cette série en français ce serait criminel. Il y a vraiment d'excellentes séries espagnoles et celle-ci l'est, je ne me suis pas ennuyé une seconde.
    Lord G.
    Lord G.

    1 abonné 67 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 11 mars 2023
    des parcours de vie, parallèles, se croisant. des amitiés, des familles. déchirées par cette guerre civile. on est remis dans l'époque. mais ceux qui m'ont vraiment accroché à l'histoire sont les acteurs. ils sont tout à fait juste. sans exagération pour nous tirer une émotion factice. on ressent toutes les émotions qu'on dû vivre les protagonistes. leurs réactions me semblent si proche de la réalité. on y voit l'absurdité de certaines positions. un grand bravo !
    Tristan Villa
    Tristan Villa

    7 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 20 septembre 2021
    On suit 2 familles aux destins tragiques, il y a beaucoup de flashback certes mais ça plonge le décors.
    L’ambiance est pesante on est plongé dans cette sombre période et il n’y a plus que des bons et des mauvais, il n’y a plus que des victimes et c'est poignant...
    Et regardez le en VOST c'est nettement mieux!
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 26 janvier 2021
    Magnifique série, je suis tombée sous le charme des personnages et de cette saga que je n'avais pas lu auparavant. Les personnages de Nerea et Arantxa sont particulièrement touchants
    Ne vous arretez pas au premier épisode qui est un peu "lent" c'est une série incroyable
    Michelemarlet_79
    Michelemarlet_79

    3 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 20 février 2021
    J'ai suivi avec grand intérêt cette série, je suis allée au Pays Basque, j'ai donc aimé retrouver ses paysages, j'ai enfin mieux compris ce qui s'était passé avec l'ETA, tout cela était fort bien expliqué.
    L'atmosphère était bien rendue avec une fin émouvante malgré tout.

    Bravo aux dames toutes excellentes, ces messieurs aussi, mélange de douceur et de fureur et de regrets.

    Une vraiment bonne surprise qui laisse des traces et de la reflexion.
    Alphonse Y
    Alphonse Y

    1 critique Suivre son activité

    Critique de la série
    1,5
    Publiée le 18 janvier 2021
    Une honte. Rien de la culture basque. J'ai vu les quatre premiers épisodes. Pas un trikititxa, pas un un pelotari, pas un txistu, pas une danse basque, pas un chant basque. Rien. Rien des raisons qui fait fait qu'un peuple se considère comme tel et se soulève contre son oppresseur parce qu'il sait viscéralement ce qui fait de lui un peuple opprimé. Ne subsiste de la culture basque que celle du commérage et le fond traditionaliste minable de droite, petit-bourgeois, bien pensant. Glauque et froid comme un produit de consommation de masse. Efficace et sinistre à souhait.
    Je suis d'origine basque (Iparralde). Je n'ai jamais été pro ETA. A l'époque d'une adolescence que j'ai passé là-bas (j'ai bientôt 40 ans) j'étais pour l'autonomie, jamais pour l'indépendance. Contre la violence, cela ne m'a pas empêché de faire quelques manifestations pour les droits des prisonniers.
    Quelques points positifs : la volonté de reparler de ces évènements, d'infimes moments de tendresse et deux minuscules éclats de rire.
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