Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Variety
par Daniel D'Addario
Maniac est une montée en puissance dans l’exploration des genres. […] En essayant de proposer quelque chose de différent, elle réussit tout ce qu’elle entreprend et gagne ainsi sa place parmi les meilleures séries de l’année. Son envie de s’attaquer à des sujets peu communs fait d'elle un vrai bijou.
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Vulture
par Jen Chaney
Maniac est à la fois folle, audacieuse, addictive et balance tellement entre la réalité et le rêve que le public se demande ce qui est vrai et ce qui ne l’est pas. Cette ambitieuse série en dix épisodes, l’une des meilleures de cet automne, nous plonge dans les tribulations de ses personnages et passe d’un genre à un autre, sans jamais déraper dans le trop WTF.
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Le Parisien
par Ronan Tésorière
La série à découvrir sur Netflix, avec en vedette Emma Stone, est un véritable labyrinthe mental. (…) passé la stupeur de cet univers décalé, Maniac s’inscrit déjà parmi les meilleures réussites de l’année.
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Newsday
par Verne Gay
Maniac est souvent drôle – indépendamment d’elle – et parfois même très étrange. Plongez-vous dans la série, ne réfléchissez pas, et ne boudez pas votre plaisir.
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Première
par Charles Martin
C'est complètement fou et difficilement explicable. Annoncée comme l'événement de cette rentrée sur Netflix, la mini-série Maniac est effectivement une surprenante sensation, qui obsédera vos soirées télé pendant quelques temps...
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Vanity Fair
par Norine Raja
Maniac est un délice visuel, porté avec brio par Emma Stone. À consommer sans modération.
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Franceinfo Culture
par Michaël Naulin
En plus d’une intrigue alléchante, la série réalisée par Cary Joli Fukunaga, réalisateur du prochain James Bond, a un argument de choc : son casting. (…) Entre Inception et Black Mirror, sans révolutionner le genre, l’univers onirique de Maniac offre une grande possibilité de création avec une identité visuelle séduisante. S'il faut attendre le troisième épisode pour entrer réellement dans l'intrigue, et entrevoir le potentiel de la série, la suite s’annonce prometteuse.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Figaro Magazine
par Constance Jamet
Aussi acidulé que True Detective était crépusculaire, Maniac est une plongée au pays des merveilles.
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The A.V. Club
par Erik Adams
Maniac est l'une des séries les plus rafraîchissantes de l'année, une série qui semble toujours nous dire que "l’ordinateur le plus compliqué de tous est celui de l'esprit humain". Elle a ce quelque chose d’hypnotisant et même si elle ne répondra pas à toutes vos questions, elle comblera temporairement un vide dans votre âme.
La critique complète est disponible sur le site The A.V. Club
The Hollywood Reporter
par Tim Goodman
Maniac se permet de faire l'inverse de ce qu'on le voit traditionnellement la télévision et ne s'en cache pas : elle met plus en avant les talents du réalisateur Cary Joji Fukunaga (True Detective, Beasts of No Noation) que ceux du créateur et scénariste Patrick Somerville (The Leftovers), qui adapte ici une série norvégienne du même nom
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indieWIRE
par Ben Travers
Le passage entre les différents genres n’est pas toujours bien ficelé, mais cette série folle et ambitieuse est suffisamment brillante pour ne pas nous laisser indifférents.
La critique complète est disponible sur le site indieWIRE
Ecran Large
par Alexandre Janowiak
Avant de supposément proposer un élan de virtuosité technique et scénaristique, entre rêves et réalités, mensonges et vérités, fantasmes délirants et mornes banalités, Maniac décide de caractériser durablement ses personnages et son univers. (…) Une chose est sûre, la précision de mise en scène de Cary Fukunaga et l'écriture millimétrée (et jamais superflue) de Patrick Somerville, sont les prémices d'une folie fantastique enchanteresse et d'une profonde analyse psychologique. La dernière séquence de l'épisode 3 ouvre d'ailleurs enfin ces possibilités et lance définitivement le show. Accrochez-vous, l'aventure commence !
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Chloé Laforest
Entre Emma Stone et Jonah Hill, l’alchimie fonctionne. D’une grande justesse, ce dernier (vu dans Le Loup de Wall Street) dévoile une autre facette de son jeu d’acteur en trentenaire schizophrène délaissé par sa riche famille new-yorkaise et persuadé de devoir sauver le monde. Emma Stone quant à elle, démontre une fois de plus qu’elle est une grande actrice. (…) même si Maniac ne vient pas réinventer le genre (déjà vu avec Black Mirror ou Westworld), la série offre une réflexion philosophique sur notre société actuelle et future.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Express
par Igor Hansen-Love
La réussite de Cary Joji Fukunaga tient à sa façon d'assimiler les références avec un humour noir désopilant et une tonalité mélancolique touchante. Jonah Hill (étonnamment amaigri depuis Le Loup de Wall Street) incarne un personnage à côté de la plaque, véhiculant une telle tristesse qu'il en devient grotesque et très drôle. Emma Stone (aussi sublime que dans La La Land) s'épanouit dans le rôle le plus nuancé de sa filmographie (elle parvient à être pétillante et dépressive). Un bémol tout de même : le scénario, baroque à souhait, manque parfois de lisibilité. Le prix à payer, certainement, pour tant d'expérimentation et d'étrangeté. Espérons, en tout cas, que Netflix poursuive dans cette voie.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Collider
par Allison Keene
Quand Maniac est réussie, c'est drôle, touchant et fascinant. Mais quand elle ne l'est pas, c'est comme si nous avions une conversation avec un étudiant en psychologie qui nous raconte son rêve de la nuit dernière et qui tente de l'analyser. La série est un peu décousue à certains moments et si certains la trouveront sympathique, d'autres seront frustrés.
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Huffington Post (FR)
par Maxime Bourdeau
Reste ensuite à essayer comprendre quel est le message Maniac dans son ensemble. Aussi intrigants et agréables soient les épisodes (mis à part le démarrage), quelle est la conclusion? (…) Des aspects qui peuvent être évacués si l'on choisit de regarder Maniac pour le spectacle visuel qu'il est, tel un rêve bariolé dont on se réveille tout excité mais dont le souvenir finira par rapidement s'estomper.
La critique complète est disponible sur le site Huffington Post (FR)
Les Inrockuptibles
par Olivier Joyard
Tantôt ennuyante, tantôt merveilleuse, Maniac est un voyage qui n'a rien de confortable mais il est hors du commun.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Rolling Stone
par Jessica Saval
Plus humain qu'humain, "Maniac" n'est pas parfait mais pourrait vite devenir indispensable.
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Télérama
par Pierre Langlais
Une minisérie ambitieuse, étonnante et parfois drôle, portée par une Emma Stone comme souvent renversante, mais qui ne réussit qu’à moitié à nous émouvoir et à formuler un propos complexe et original sur les troubles psychiatriques. La faute à une inventivité visuelle complexe, certes, mais qui rend parfois difficile la compréhension des sentiments de ses personnages. Intrigant et divertissant jusqu’au bout, mais pas aussi bouleversant qu’on l’aurait espéré.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Entertainment weekly
par Darren Franich
Avoir Emma Stone et Jonah Hill au casting d'une mini-série Netflix peut attirer. Mais leur manque total d'alchimie dans chacun des univers dans lesquels ils évoluent n'aide pas la série. Seuls les rôles secondaires sont réussis.
La critique complète est disponible sur le site Entertainment weekly
Variety
Maniac est une montée en puissance dans l’exploration des genres. […] En essayant de proposer quelque chose de différent, elle réussit tout ce qu’elle entreprend et gagne ainsi sa place parmi les meilleures séries de l’année. Son envie de s’attaquer à des sujets peu communs fait d'elle un vrai bijou.
Vulture
Maniac est à la fois folle, audacieuse, addictive et balance tellement entre la réalité et le rêve que le public se demande ce qui est vrai et ce qui ne l’est pas. Cette ambitieuse série en dix épisodes, l’une des meilleures de cet automne, nous plonge dans les tribulations de ses personnages et passe d’un genre à un autre, sans jamais déraper dans le trop WTF.
Le Parisien
La série à découvrir sur Netflix, avec en vedette Emma Stone, est un véritable labyrinthe mental. (…) passé la stupeur de cet univers décalé, Maniac s’inscrit déjà parmi les meilleures réussites de l’année.
Newsday
Maniac est souvent drôle – indépendamment d’elle – et parfois même très étrange. Plongez-vous dans la série, ne réfléchissez pas, et ne boudez pas votre plaisir.
Première
C'est complètement fou et difficilement explicable. Annoncée comme l'événement de cette rentrée sur Netflix, la mini-série Maniac est effectivement une surprenante sensation, qui obsédera vos soirées télé pendant quelques temps...
Vanity Fair
Maniac est un délice visuel, porté avec brio par Emma Stone. À consommer sans modération.
Franceinfo Culture
En plus d’une intrigue alléchante, la série réalisée par Cary Joli Fukunaga, réalisateur du prochain James Bond, a un argument de choc : son casting. (…) Entre Inception et Black Mirror, sans révolutionner le genre, l’univers onirique de Maniac offre une grande possibilité de création avec une identité visuelle séduisante. S'il faut attendre le troisième épisode pour entrer réellement dans l'intrigue, et entrevoir le potentiel de la série, la suite s’annonce prometteuse.
Le Figaro Magazine
Aussi acidulé que True Detective était crépusculaire, Maniac est une plongée au pays des merveilles.
The A.V. Club
Maniac est l'une des séries les plus rafraîchissantes de l'année, une série qui semble toujours nous dire que "l’ordinateur le plus compliqué de tous est celui de l'esprit humain". Elle a ce quelque chose d’hypnotisant et même si elle ne répondra pas à toutes vos questions, elle comblera temporairement un vide dans votre âme.
The Hollywood Reporter
Maniac se permet de faire l'inverse de ce qu'on le voit traditionnellement la télévision et ne s'en cache pas : elle met plus en avant les talents du réalisateur Cary Joji Fukunaga (True Detective, Beasts of No Noation) que ceux du créateur et scénariste Patrick Somerville (The Leftovers), qui adapte ici une série norvégienne du même nom
indieWIRE
Le passage entre les différents genres n’est pas toujours bien ficelé, mais cette série folle et ambitieuse est suffisamment brillante pour ne pas nous laisser indifférents.
Ecran Large
Avant de supposément proposer un élan de virtuosité technique et scénaristique, entre rêves et réalités, mensonges et vérités, fantasmes délirants et mornes banalités, Maniac décide de caractériser durablement ses personnages et son univers. (…) Une chose est sûre, la précision de mise en scène de Cary Fukunaga et l'écriture millimétrée (et jamais superflue) de Patrick Somerville, sont les prémices d'une folie fantastique enchanteresse et d'une profonde analyse psychologique. La dernière séquence de l'épisode 3 ouvre d'ailleurs enfin ces possibilités et lance définitivement le show. Accrochez-vous, l'aventure commence !
Elle
Entre Emma Stone et Jonah Hill, l’alchimie fonctionne. D’une grande justesse, ce dernier (vu dans Le Loup de Wall Street) dévoile une autre facette de son jeu d’acteur en trentenaire schizophrène délaissé par sa riche famille new-yorkaise et persuadé de devoir sauver le monde. Emma Stone quant à elle, démontre une fois de plus qu’elle est une grande actrice. (…) même si Maniac ne vient pas réinventer le genre (déjà vu avec Black Mirror ou Westworld), la série offre une réflexion philosophique sur notre société actuelle et future.
L'Express
La réussite de Cary Joji Fukunaga tient à sa façon d'assimiler les références avec un humour noir désopilant et une tonalité mélancolique touchante. Jonah Hill (étonnamment amaigri depuis Le Loup de Wall Street) incarne un personnage à côté de la plaque, véhiculant une telle tristesse qu'il en devient grotesque et très drôle. Emma Stone (aussi sublime que dans La La Land) s'épanouit dans le rôle le plus nuancé de sa filmographie (elle parvient à être pétillante et dépressive). Un bémol tout de même : le scénario, baroque à souhait, manque parfois de lisibilité. Le prix à payer, certainement, pour tant d'expérimentation et d'étrangeté. Espérons, en tout cas, que Netflix poursuive dans cette voie.
Collider
Quand Maniac est réussie, c'est drôle, touchant et fascinant. Mais quand elle ne l'est pas, c'est comme si nous avions une conversation avec un étudiant en psychologie qui nous raconte son rêve de la nuit dernière et qui tente de l'analyser. La série est un peu décousue à certains moments et si certains la trouveront sympathique, d'autres seront frustrés.
Huffington Post (FR)
Reste ensuite à essayer comprendre quel est le message Maniac dans son ensemble. Aussi intrigants et agréables soient les épisodes (mis à part le démarrage), quelle est la conclusion? (…) Des aspects qui peuvent être évacués si l'on choisit de regarder Maniac pour le spectacle visuel qu'il est, tel un rêve bariolé dont on se réveille tout excité mais dont le souvenir finira par rapidement s'estomper.
Les Inrockuptibles
Tantôt ennuyante, tantôt merveilleuse, Maniac est un voyage qui n'a rien de confortable mais il est hors du commun.
Rolling Stone
Plus humain qu'humain, "Maniac" n'est pas parfait mais pourrait vite devenir indispensable.
Télérama
Une minisérie ambitieuse, étonnante et parfois drôle, portée par une Emma Stone comme souvent renversante, mais qui ne réussit qu’à moitié à nous émouvoir et à formuler un propos complexe et original sur les troubles psychiatriques. La faute à une inventivité visuelle complexe, certes, mais qui rend parfois difficile la compréhension des sentiments de ses personnages. Intrigant et divertissant jusqu’au bout, mais pas aussi bouleversant qu’on l’aurait espéré.
Entertainment weekly
Avoir Emma Stone et Jonah Hill au casting d'une mini-série Netflix peut attirer. Mais leur manque total d'alchimie dans chacun des univers dans lesquels ils évoluent n'aide pas la série. Seuls les rôles secondaires sont réussis.