Avis Stranger Things - Page 3

Vraiment surcôté... Ça part en vrille et chaque saison se ressemble... Je m'ennuie de plus en plus...

J’ai mis chef d’œuvre car c’est une œuvre qui marquera son temps, tout simplement. Des personnages cultes, un univers culte, une ambiance culte, des acteurs géniaux portés par une bande son géniale.

Une série fantastique originale qui nous entraine dans la petite ville d’Hawkins, théâtre de phénomènes surnaturels, au côté d’une bande d’enfants. La réalisation nous séduit dès les premières minutes grâce, tout d’abord, à une intrigue riche et complète, qui mélange intelligemment les genres : aventure, drame, thriller, romance, horreur… "Stranger Things" nous présente également une ambiance singulière, rétro et nostalgique, en multipliant les références à la culture pop des années 1980 et les clins d'oeil aux films de l’époque : "Les Goonies", "Stand by Me", "E.T. l’extra-terrestre", "Alien", "The Thing", ou encore "Shining". Enfin, la bande-son électronique finit d'ancrer la série dans un univers délicieusement vintage. Une oeuvre de qualité, old school, mystérieuse et effrayante !

Série pour enfants de 8 ans ni plus ni moins.
Ça partait bien pourtant..
Le méchant le moins impactant que j'ai eu l'occasion d'observer à la TV.. il ne tue que les seconds rôles, les autres ils leurs faits une dissertation.
Les dialogues à l'eau de rose en pleins "danger", c'était bien dans les années 40.
Bref, cette série suit la tendance. Bien au début et rapidement oubliable.

Superbe série, qui nous plonge dans le fantastique avec un décor particulier, les années 80. Les acteurs sont au top, scénario impeccable. Rares sont les séries qui ont été aussi constantes après 4 saisons.

L'ambiance de Stranger Things captivera tous les amateurs de science fiction, avec une histoire qui aurait pu sortir de l'imagination de Stephen King: celle d'un groupe d'enfants/adolescents de la ville d'Hawkins confronté à un environnement surnaturel, avec monstres venus d'ailleurs versus super-pouvoirs, dans une époque des 80ies pleine de références pop-culture.
La saison 1 ne souffre d'aucun défaut au niveau du scénario ou de la réalisation et nous fait plonger de suite dans cet univers étrange.
Les saisons 2 et 3 se reposent un peu sur la réussite de la première, en accentuant les pouvoirs des uns et des autres et en s'égarant parfois dans des histoires secondaires plus dispensables. Mais, comme toujours dans les séries, à partir du moment où nous sommes entrés dedans et que nous avons commencé à nous attacher aux personnages cela reste plaisant de suivre la suite de leurs aventures.
La saison 4, même si lente à se lancer, commence à apporter un certain nombre de réponses et à boucler la boucle...jusqu'aux dernières minutes qui s'ouvrent sur une (ultime?) saison 5 qui va savoir se laisser espérer.
Ainsi Stranger Things réussit à maintenir un climat et un intérêt du spectateur sur la longueur de ses 4 saisons.
Bref une excellente série puisant son inspiration parmi les maitres du genre (format littérature ou cinéma), addictive tant par son intrigue riche que par son atmosphère fantastique, qui mérite largement son succès.

Attention SPOIL.
Je souhaitais regarder la série dont tout le monde parle depuis des mois. J'ai vraiment apprécié le visionnage, la réalisation est bonne, l'intrigue intéressante. C'est indéniablement une série qui sort du lot. Cependant, je déplore plusieurs défauts : une saison de trop (la troisième sans doute, répétitive et très peu utile) ; certains personnages qui ont une évolution peu soignée, voire pas d'évolution du tout (Will est totalement inutile, il ne sert qu'à frissonner, ce n'est qu'un radar) ; le manque de punch et de placement de bonnes musiques ; les épisodes s'étirent et s'allongent beaucoup trop à partir de la saison trois ; certaines intrigues inutiles qui alourdissent le tout (l'histoire des basketteurs énervés contre le club D&D n'a servi à rien et était simplement lourde à suivre et répétitive par rapport à la saison 1). Malgré tout, j'ai apprécié, certains personnages sont vraiment bons. Visuellement, il y a des choses très intéressantes. Je la recommande même si je trouve qu'elle a fait beaucoup trop de bruits, je m'attendais à être époustouflée.

Stranger thing c'est l'incarnation même de la série qui dépasse le grand écran !
Des acteurs géniaux, un scénario palpitant, des effets spéciaux qui claquent et surtout une dose d'horreur bien dosée.
Bien que l'attente soit longue, on fini toujours pas être récompensé.
Avis à ceux qui aiment le suspens, le frisson, l'aventure et l'action, cette série sera dans votre top. Mais attention, les épisodes sont long !
Vivement l'ultime saison 5...

Je précise d'avance que je serai pas objectif concernant ma critique sur la série Stranger Things.

C'est une série qui m'a retourné le cerveau et qui m'a plongé dans l'univers des séries. J'en avais beaucoup entendu parler, surtout au moment de la sortie de la saison 3. Cette hype a marché pour moi et dès le 1er épisode, j'ai été conquis ! Je trouve chaque épisode très réussi et chaque saison parfaite ! La série ne cesse de s'améliorer (la preuve avec la saison 4) en termes de techniques. c'est une série qui est agréable à voir ; c'est très beau ! Les personnages sont tous aussi attachants avec un très bon développement. Une mise en scène très original pour ce genre de série. Une histoire très "Stephen King" et fantaisie qui nous font penser à E.T ou au Goonies... des musiques synthétiques magnifiques... Bref la série je la trouve exceptionnelle.

Ma série préféré

il n'y a pas à redire, les frères Duffer savent nous garder dans leur univers. Même si j'avais un peu des doutes au début de sur cette nouvelle saison 4, on retrouve avec plaisir tous les personnages des précédentes saisons et bien sur en particulier son personnage central d'Eleven. Les scènes où elle revit ses années passées avec le professeur Brenner sont excellentes pour ceux qui ont suivis la série depuis le début et le retournement de cerveau qu'elles provoquent. On espère un final énorme pour conclure cette série de la meilleure façon.

Dès sa longue introduction et son générique, Stranger Things donne le ton : on connaît cette musique, ces geeks à vélo et cette incursion du surnaturel dans le quotidien d’une campagne américaine. La proposition des frères Duffer, elle est simple, elle n’est pas nouvelle : nous replonger dans les années 80 et l’âge d’or des productions Amblin. Un hommage nostalgique à la mode puisqu’il était déjà le moteur des films Super 8 et Midnight Special, mais c’est bien la première fois que le petit écran se charge de reproduire de façon aussi appliquée l’univers spielbergien. Il fallait bien entendu que cela se fasse sur Netflix qui, dans sa quête de projets originaux, aurait peut-être trouvé ici la prémisse de l’une de ses plus grandes réussites.


Tout commence comme dans Rencontre du troisième type, et puis s’enchaînent des références plus ou moins prononcées à Les Goonies, Ça, Stand By Me, E.T., Evil Dead, The Mist, Silent Hill, The Thing et bien d’autres encore. On pourrait lister pendant des heures les muses de Stranger Things, qui ne s’arrête jamais de faire des clins d’œil. On passe de Spielberg à Carpenter, on fait des détours chez Stephen King, le tout pour un melting-pot à l’odeur familière : si les mondes de ces auteurs sont parfois contradictoires, il s’agit ici de la formation ultime des codes et de l’imagerie de ces créateurs dont les recettes ont chacune leurs subtilités propres (la candeur poétique de Spielberg, l’épouvante de King, la cruauté de Carpenter). Si Stranger Things échoue parfois à équilibrer ces trois pôles principaux, cela lui confère une atmosphère forte, iconographique, très caractéristique du cinéma qu’elle admire passionnément.
Un hommage appuyé qui, malgré ses bénéfices, est aussi la principale limite de la série. Au milieu de tous ces emprunts, difficile de trouver une idée neuve : tout semble avoir été récupéré ici ou là, c’est même le cas de certaines scènes et plans dont la source ne fait aucun doute (difficile de ne pas voir E.T. dans la course-poursuite entre autorités et enfants à vélo, ou Stand By Me lorsque ces mêmes gamins marchent le long d’une ligne de train).


On pourra critiquer le manque d’originalité de Stranger Things¸ mais difficile de rester impassible devant sa charge émotionnelle. Ses personnages sont forts, leurs enjeux sont simples et concrets – l’ensemble est d’ailleurs présenté avec un certain talent qui parvient à donner toute sa puissance à une modeste embrassade, grâce au dessin sensible de chaque visage de ces huit épisodes. Mais cela ne se fait pas sans sacrifice : la série des frères Duffer est certes passionnante et sans temps mort (on pourra d’ailleurs remercier son format relativement court – environ sept heures – qui l’empêche de sombrer dans le remplissage inhérent à la plupart des productions Netflix), mais elle souffre de lacunes scénaristiques évidentes : raccourcis un peu gros, coïncidences moyennement crédibles et lieux communs regrettables, le tout pour faciliter une narration fluide. C’est bien pour ça qu’on serait tenté de lui pardonner, tant cela contribue à la bonne tenue du rythme de cette saison.
Mise en scène, musique, effets visuels… Stranger Things est aussi une merveille technique. L’ambiance est merveilleusement retranscrite et on décèle dans cet étalage de moyens la rencontre du moderne et du vintage. Surprennement contemporaine, notamment parce qu’elle fait parfois preuve d’une certaine violence – tant à l’écran qu’à l’écrit – la série de Netflix évite dans cet esprit une thématique qu’elle aurait pu bêtement suivre à la lettre : celle de la fin de l’innocence. Dans Stranger Things, il est moins question d’être un adulte que de garder un esprit d’enfant capable de pouvoir croire ce qu’un homme trop rationnel pourrait ne pas prendre sérieusement. Cela s’entremêle aux ombres du deuil, de l’alcoolisme, de la différence et du mal-être social – des thèmes bien sombres qui pourraient réévaluer la nature de la véritable cible de la série.


On ne peut pas vraiment parler de réussite totale, mais Stranger Things accomplit ce qu’elle entreprend. Ses failles, elles sont inhérentes à ses choix fondateurs, principalement celui de rendre un hommage aveugle à toute une frange de la culture de genre de la dernière partie du XXème siècle. Si elle néglige aussi quelques importants retournements diégétiques, cela est compensé par le dynamisme de sa narration. Le plaisir reste intact – il a beau jouer la corde de la mélancolie, il le fait très bien, et on ne peut qu’applaudir le talent et l’implication des intervenants : le résultat comble un manque certain de la télévision avec une maîtrise inespérée. Reste à savoir s’il parviendra à se renouveler dans son second acte, qui aura la lourde tâche d’éviter la redite qui pourrait lui être fatal. En attendant de savoir ce qui arrive au chevalier perdu, à la princesse hautaine et aux fleurs bizarres de la grotte (il ne faudrait pas que les parties s’éternisent !), impossible en tout cas de ne pas faire l'éloge de Stranger Things.

je suis à la 2eme saison, et franchement, je passe tout les dialogues des ados sans intérêt, qui n'apportent rien, mais vraiment rien à l'intrigue, on peut diviser par 2 le nombre d'épisodes. dsl pour ceux qui sont accrocs, mais au moins j'aurais essayé

J'ai bien aimé la série et les personnages sont vraiment bien construit. La saison 4 est vraiment incroyable bien qu'un peu longue. Après tout je trouve que la série est un peu trop surcote

Une série incontournable ! Une ambiance rétro, des personnages attachants et une histoire qui rend acro ! L'histoire est distrayante même si parfois il y a quelques facilités scénaristiques. Les épisodes sont très bien réalisés avec un budget de film. Ce qui rend la série très agréable visuellement et le choix des musiques est très pertinent.

N'ayant plus de séries à regarder, je me suis lancé sur Stranger Things en voyant les pubs et les bonnes critiques.
Dans l'ensemble ça peut aller, y a de l'intrigue, y a une histoire etc.

Je suis à la saison 3 (par curiosité) mais fort est de constater qu'il y a des comportements (trop) anormales dans cette série.

3 saisons plus tard, Will fait toujours le bonhomme à se la jouer solo, le mystère du spoiler: "monde à l'envers"
de 011 est toujours incompréhensible. spoiler: Avant elle avait besoin d'une tonne d'eau et de sel etc pour retrouver quelqu'un maintenant juste un bandana, INCOMPREHENSIBLE;


Egalement à propos de 011, y a que moi que ça dérange qu'elle saigne à chaque fois du nez ? Et genre PERSONNE se dit que faut ptet faire attention à un moment ? Que c'est ptet dangereux ?

Puis, excusez moi, 11 ans, 25 ans, 40 ans ou 60 ans, j'aurais la même réaction face un monstre de la sorte : Je me put*** de chie dessus !!! D'où ces petits mômes tjr en bermuda veulent affronter solo un monstre de ce genre sans avertir les adultes ?!

Lorsque tu vois un put*** de gros monstre arriver sur toi, tu te barricades pas dans ta baraque avec des fauteuils pour le combattre, surtout quand t'as même pas 20 ans, tu fuis !!!!

Bref trop de comportements comme ça, que je reproche à pas mal de films d'ailleurs, mais qui n'enlève en soi pas l'intrigue et la curiosité.