Unbreakable Kimmy Schmidt : Critiques de la presse
Unbreakable Kimmy Schmidt
Critiques spectateurs
Critiques presse
Note moyenne
4,0
18 titres de presse
Les Inrockuptibles
Libération
The Wrap
Hitfix
New York Times
RogerEbert.com
The Hollywood Reporter
Time
Blabla-Séries
Brain Damaged
San Francisco Chronicle
Sioux City Journal
Variety
Washington Post
Elle
Huffington Post (FR)
Télé Loisirs
Télérama
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Olivier Joyard
Les auteurs de reviennent avec Unbreakable Kimmy Schmidt, la meilleure comédie de l’année – jusqu’à preuve du contraire (…). Ce n’est pas sur le versant formel qu’ Unbreakable Kimmy Schmidt détonne, mais sur les thèmes qu’elle aborde. Elle avance volontairement masquée, afin de mieux enclencher les obsessions du duo / : une vision de la fiction où les minorités sexuelles, sociales et autres prennent le pouvoir symbolique. Ici, tout est fait pour mettre en lumière les crispations encore puissantes qui sclérosent la société américaine et dénoncer du même coup les manques dans leurs représentations.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Clélia Cohen
Sous ses airs de sitcom rigolote aux couleurs vives et menée à un rythme trépidant, Unbreakable Kimmy Schmidt contient évidemment un discours abrasif qui n'épargne personne : les riches, les pauvres, les Noirs, les homos, les femmes, les enfants, les chirurgiens esthétiques ou les livreurs de bouffe chinoise. Agglutinée à son colocataire noir et gay, chanteur raté un peu grassouillet qui arbore fièrement un débardeur "Baby Slut", Kimmy oppose au monde un optimisme à la fois insupportable et désarmant (…). La création de est une cavalcade de 13 fois vingt-trois minutes, au foisonnement comique parfois épuisant qui ferait passer pour du . Il y a littéralement trop de gags. On ne peut humainement pas tous les entendre, les voir, les comprendre, sous-titres ou pas.
La critique complète est disponible sur le site Libération
The Wrap
par Liz Shannon Miller
Ce qui est remarquable avec cette série, c'est le fait qu'il ne s'agit pas seulement d'un show de personnages excentriques et de rebelles, le show en lui-même est à contre-courant : une sitcom véritablement drôle à propos de la perte et du traumatisme. Unbreakable Kimmy Schmidt ne devrait pas fonctionenr et pourtant les 6 épisodes visionnés à ce jour laissent penser que cette première saison pourrait atteindre son but (...) Voilà une sitcom qui évoque le statut de victime en dépassant ce simple mot, en le définissant aussi comme un choix. Et là dans ce titre, "Unbreakable Kimmy Schmidt", on vous dit que le personnage principal est plus fort que ce qu'elle a subi, et qu'elle va survivre. En plus c'est drôle. Peut-être devriez-vous la regarder.
La critique complète est disponible sur le site The Wrap
Hitfix
par Alan Sepinwall
Grâce à Ellie Kemper, la série est fantastique : une comédie si drôle et si idiote, si pleine de vannes surprenantes qu'après un épisode et demi, j'ai arrêté de prendre des notes parce que je ne voulais pas me laisser distraire.
La critique complète est disponible sur le site Hitfix
New York Times
par Alessandra Stanley
Au début, Titus est méfiant envers Kimmy. Après tout elle n'est arrivée qu'avec un sac à dos et semble tout ignorer de choses tellement basiques. Lorsqu'il lui demande ce qu'elle cache, elle lui explique alors ses 15 ans de captivité puis est coupée par Titus lorsqu'elle dit venir de l'Indiana. Il lui répond alors : "C'est pour cela que tu es ordinaire". La série, quant à elle, est loin de l'être.
La critique complète est disponible sur le site New York Times
RogerEbert.com
par Brian Tallerico
Le premier mot qui me vient à l'esprit est "étrange". Cette série, créée par Tina Fey et Robert Carlock, est définitivement étrange, et je crois que c'est aussi une des raisons pour laquelle je l'aime tant (...) Fey a l'incroyable capacité de jongler avec un humour particulièrement gras (parfois, il est vrai, un peu trop) via des personnages que nous apprenons à connaître et apprécier. Certains pourraient ne pas trouver cela amusant. Moi si.
La critique complète est disponible sur le site RogerEbert.com
The Hollywood Reporter
par Tim Goodman
La bonne nouvelle, c'est que Kimmy Schmidt est très bonne, sur les 6 épisodes fournis, on sent une évolution positive (même si le pilote est déjà particulièrement solide). Ellie Kemper y délivre une performance prodigieuse (...) Les scénaristes Tina Fey et Robert Carlock équilibrent parfaitement les différentes storylines, même si l'emphase sur la famille de Jacqueline est peut-être un peu trop importante.
La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter
Time
par James Poniewozik
Ellie Kemper et son double Kimmy Schmidt constituent une des paires acteur/personnage les plus évidentes de la télévision, un peu à l'image de celle constituée à l'époque par Lou Ferrigno et Hulk. Kemper a un sens du comique physique sensantionnel, et elle est capable de combiner la naïveté avec l'intelligence, et sa joie est contagieuse (...) Kimmy est un personnage plus solaire que Liz Lemon, mais Unbreakable a un coeur plus sombre que 30 Rock. Bien évidemment on rigole des années passées par Kimmy dans le bunker, mais cette expérience est aussi celle de l'abus misogyne d'un leader de secte qui a convaincu les femmes que c'est leur idiotie qui a mené le monde à sa perte, à l'exception de Kimmy, la seule vraie survivante. Le féminisme est intrinsèquement plus prononcé que dans 30 Rock...
La critique complète est disponible sur le site Time
Blabla-Séries
par Julien Dufresne-Lamy
Des personnages bien campés, qui toujours frôlent la caricature sans jamais y succomber, embarqués dans des aventures joliment sottes, le tout contaminé par la joie de vivre de Kimmy. On retrouve là tout l'esprit de 30 Rock et de l'écriture de Tina Fey, son art du décalage, mélange de références cinglantes, de cameos foutraques et de petits mots assassins sous des airs jazzy.
La critique complète est disponible sur le site Blabla-Séries
Brain Damaged
par Aïssatou Loum
Les premiers épisodes écrits par Tina Fey et Robert Carlock sont suffisamment solides pour aider Unbreakable Kimmy Schmidt à trouver sa force. Les épisodes suivants accusent un petit coup de mou mais la série reprend de plus belle.
La critique complète est disponible sur le site Brain Damaged
San Francisco Chronicle
par David Wiegand
L'humour est la principale raison de la réussite de cette série. L'autre s'appelle Ellie Kemper.
La critique complète est disponible sur le site San Francisco Chronicle
Sioux City Journal
par Bruce R. Miller
Pétillante et naïve, Kimmy est une cible mouvante pour les escrocs. Les adultes profitent d'elle. Les enfants aussi Ses amis tout autant. Quand elle cherche un appartement, un comédien raté la convainc que le placard est une chambre. Enthousiaste, elle s'écrit alors "Il y a même une fenêtre !" (...) Tina Fey et le co-créateur Robert Carlock ne s'aventurent pas loin de leur terrain de jeu de 30 Rock. Ils gardent leur logique tordue et se conservent le droit d'évoquer les mêmes thèmes librement, comme Fey le faisait avec Alec Baldwin avant (...) Unbreakable Kimmy Schmidt ne durera pas éternellement mais elle contient quelques éléments intéressants. Si Fey et ses scénaristes continuent de s'amuser avec la liberté artistique dont ils disposent avec Netflix, cette comédie pourrait bien se payer la tête de "Kabletown" bien plus qu'ils ne le faisaient du temps de NBC.
La critique complète est disponible sur le site Sioux City Journal
Variety
par Brian Lowry
La dimension "indestructible" de Kimmy Schmidt vient de son indomptable joyeux esprit, un esprit qui lui permet de triompher des obstacles invariablement posés sur son chemin. Mais du côté de Netflix, le soucis pressant concerne davantage ses abonnés. Seront-ils aussi enthousiastes à propos de cette production qui, pour le moment, ressemble davantage à un rebus de NBC. Certes cela vaut le coup d'y jeter un oeil mais pas forcément de la binge watcher.
La critique complète est disponible sur le site Variety
Washington Post
par Hank Stuever
A terme Unbreakable Kimmy Schmidt trouvera sa voie pour devenir une série à la hauteur des attentes, et non pas ce show à la mécanique de network que Fey et Carlock proposent. Elle ne recèle rien de vraiment spécial à l'heure actuelle.
La critique complète est disponible sur le site Washington Post
Elle
par Kadija Moussou
S’il faut avouer que les rires peinent à venir dans les premiers épisodes, plus on avance dans la saison, plus les dialogues sont percutants, évoquent le style de Tina Fey et déclenchent des fous rires. Notamment, le tournage du clip "Pinot Noir", ridicule au possible mais étonnamment addictif.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Huffington Post (FR)
par Maxime Bourdeau
Unbreakable Kimmy Schmidt ne devrait pas permettre à Netflix d'attirer une foule de nouveaux abonnés mais vaut vraiment le détour. Elle pourrait bien séduire ceux qui sont déjà inscrits et qui n'ont rien contre une série un peu loufoque, cocasse et parfois touchante.
La critique complète est disponible sur le site Huffington Post (FR)
Télé Loisirs
par Delphine Rivet
L'appétit de Kimmy pour la "positive attitude" est parfois encombrant, mais sa bizarrerie et des répliques parfaitement délivrées (mention spéciale pour Jane Krakowski grâce à qui l'on retrouve la patte 30 Rock) vous feront sans doute rapidement oublier cette débauche de couleurs et d'attitudes criardes.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Télérama
par Pierre Langlais
On aimerait aimer Unbreakable Kimmy Schmidt. Pour Tina Fey, pour Ellie Kemper, pour toute la folie qu'elle tente de dégager, son esprit enfantin, son ode à la différence (…) Malheureusement, rien n'y fait.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Inrockuptibles
Les auteurs de reviennent avec Unbreakable Kimmy Schmidt, la meilleure comédie de l’année – jusqu’à preuve du contraire (…). Ce n’est pas sur le versant formel qu’ Unbreakable Kimmy Schmidt détonne, mais sur les thèmes qu’elle aborde. Elle avance volontairement masquée, afin de mieux enclencher les obsessions du duo / : une vision de la fiction où les minorités sexuelles, sociales et autres prennent le pouvoir symbolique. Ici, tout est fait pour mettre en lumière les crispations encore puissantes qui sclérosent la société américaine et dénoncer du même coup les manques dans leurs représentations.
Libération
Sous ses airs de sitcom rigolote aux couleurs vives et menée à un rythme trépidant, Unbreakable Kimmy Schmidt contient évidemment un discours abrasif qui n'épargne personne : les riches, les pauvres, les Noirs, les homos, les femmes, les enfants, les chirurgiens esthétiques ou les livreurs de bouffe chinoise. Agglutinée à son colocataire noir et gay, chanteur raté un peu grassouillet qui arbore fièrement un débardeur "Baby Slut", Kimmy oppose au monde un optimisme à la fois insupportable et désarmant (…). La création de est une cavalcade de 13 fois vingt-trois minutes, au foisonnement comique parfois épuisant qui ferait passer pour du . Il y a littéralement trop de gags. On ne peut humainement pas tous les entendre, les voir, les comprendre, sous-titres ou pas.
The Wrap
Ce qui est remarquable avec cette série, c'est le fait qu'il ne s'agit pas seulement d'un show de personnages excentriques et de rebelles, le show en lui-même est à contre-courant : une sitcom véritablement drôle à propos de la perte et du traumatisme. Unbreakable Kimmy Schmidt ne devrait pas fonctionenr et pourtant les 6 épisodes visionnés à ce jour laissent penser que cette première saison pourrait atteindre son but (...) Voilà une sitcom qui évoque le statut de victime en dépassant ce simple mot, en le définissant aussi comme un choix. Et là dans ce titre, "Unbreakable Kimmy Schmidt", on vous dit que le personnage principal est plus fort que ce qu'elle a subi, et qu'elle va survivre. En plus c'est drôle. Peut-être devriez-vous la regarder.
Hitfix
Grâce à Ellie Kemper, la série est fantastique : une comédie si drôle et si idiote, si pleine de vannes surprenantes qu'après un épisode et demi, j'ai arrêté de prendre des notes parce que je ne voulais pas me laisser distraire.
New York Times
Au début, Titus est méfiant envers Kimmy. Après tout elle n'est arrivée qu'avec un sac à dos et semble tout ignorer de choses tellement basiques. Lorsqu'il lui demande ce qu'elle cache, elle lui explique alors ses 15 ans de captivité puis est coupée par Titus lorsqu'elle dit venir de l'Indiana. Il lui répond alors : "C'est pour cela que tu es ordinaire". La série, quant à elle, est loin de l'être.
RogerEbert.com
Le premier mot qui me vient à l'esprit est "étrange". Cette série, créée par Tina Fey et Robert Carlock, est définitivement étrange, et je crois que c'est aussi une des raisons pour laquelle je l'aime tant (...) Fey a l'incroyable capacité de jongler avec un humour particulièrement gras (parfois, il est vrai, un peu trop) via des personnages que nous apprenons à connaître et apprécier. Certains pourraient ne pas trouver cela amusant. Moi si.
The Hollywood Reporter
La bonne nouvelle, c'est que Kimmy Schmidt est très bonne, sur les 6 épisodes fournis, on sent une évolution positive (même si le pilote est déjà particulièrement solide). Ellie Kemper y délivre une performance prodigieuse (...) Les scénaristes Tina Fey et Robert Carlock équilibrent parfaitement les différentes storylines, même si l'emphase sur la famille de Jacqueline est peut-être un peu trop importante.
Time
Ellie Kemper et son double Kimmy Schmidt constituent une des paires acteur/personnage les plus évidentes de la télévision, un peu à l'image de celle constituée à l'époque par Lou Ferrigno et Hulk. Kemper a un sens du comique physique sensantionnel, et elle est capable de combiner la naïveté avec l'intelligence, et sa joie est contagieuse (...) Kimmy est un personnage plus solaire que Liz Lemon, mais Unbreakable a un coeur plus sombre que 30 Rock. Bien évidemment on rigole des années passées par Kimmy dans le bunker, mais cette expérience est aussi celle de l'abus misogyne d'un leader de secte qui a convaincu les femmes que c'est leur idiotie qui a mené le monde à sa perte, à l'exception de Kimmy, la seule vraie survivante. Le féminisme est intrinsèquement plus prononcé que dans 30 Rock...
Blabla-Séries
Des personnages bien campés, qui toujours frôlent la caricature sans jamais y succomber, embarqués dans des aventures joliment sottes, le tout contaminé par la joie de vivre de Kimmy. On retrouve là tout l'esprit de 30 Rock et de l'écriture de Tina Fey, son art du décalage, mélange de références cinglantes, de cameos foutraques et de petits mots assassins sous des airs jazzy.
Brain Damaged
Les premiers épisodes écrits par Tina Fey et Robert Carlock sont suffisamment solides pour aider Unbreakable Kimmy Schmidt à trouver sa force. Les épisodes suivants accusent un petit coup de mou mais la série reprend de plus belle.
San Francisco Chronicle
L'humour est la principale raison de la réussite de cette série. L'autre s'appelle Ellie Kemper.
Sioux City Journal
Pétillante et naïve, Kimmy est une cible mouvante pour les escrocs. Les adultes profitent d'elle. Les enfants aussi Ses amis tout autant. Quand elle cherche un appartement, un comédien raté la convainc que le placard est une chambre. Enthousiaste, elle s'écrit alors "Il y a même une fenêtre !" (...) Tina Fey et le co-créateur Robert Carlock ne s'aventurent pas loin de leur terrain de jeu de 30 Rock. Ils gardent leur logique tordue et se conservent le droit d'évoquer les mêmes thèmes librement, comme Fey le faisait avec Alec Baldwin avant (...) Unbreakable Kimmy Schmidt ne durera pas éternellement mais elle contient quelques éléments intéressants. Si Fey et ses scénaristes continuent de s'amuser avec la liberté artistique dont ils disposent avec Netflix, cette comédie pourrait bien se payer la tête de "Kabletown" bien plus qu'ils ne le faisaient du temps de NBC.
Variety
La dimension "indestructible" de Kimmy Schmidt vient de son indomptable joyeux esprit, un esprit qui lui permet de triompher des obstacles invariablement posés sur son chemin. Mais du côté de Netflix, le soucis pressant concerne davantage ses abonnés. Seront-ils aussi enthousiastes à propos de cette production qui, pour le moment, ressemble davantage à un rebus de NBC. Certes cela vaut le coup d'y jeter un oeil mais pas forcément de la binge watcher.
Washington Post
A terme Unbreakable Kimmy Schmidt trouvera sa voie pour devenir une série à la hauteur des attentes, et non pas ce show à la mécanique de network que Fey et Carlock proposent. Elle ne recèle rien de vraiment spécial à l'heure actuelle.
Elle
S’il faut avouer que les rires peinent à venir dans les premiers épisodes, plus on avance dans la saison, plus les dialogues sont percutants, évoquent le style de Tina Fey et déclenchent des fous rires. Notamment, le tournage du clip "Pinot Noir", ridicule au possible mais étonnamment addictif.
Huffington Post (FR)
Unbreakable Kimmy Schmidt ne devrait pas permettre à Netflix d'attirer une foule de nouveaux abonnés mais vaut vraiment le détour. Elle pourrait bien séduire ceux qui sont déjà inscrits et qui n'ont rien contre une série un peu loufoque, cocasse et parfois touchante.
Télé Loisirs
L'appétit de Kimmy pour la "positive attitude" est parfois encombrant, mais sa bizarrerie et des répliques parfaitement délivrées (mention spéciale pour Jane Krakowski grâce à qui l'on retrouve la patte 30 Rock) vous feront sans doute rapidement oublier cette débauche de couleurs et d'attitudes criardes.
Télérama
On aimerait aimer Unbreakable Kimmy Schmidt. Pour Tina Fey, pour Ellie Kemper, pour toute la folie qu'elle tente de dégager, son esprit enfantin, son ode à la différence (…) Malheureusement, rien n'y fait.