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elriad
382 abonnés
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Critique de la série
5,0
Publiée le 22 novembre 2017
force est de devoir participer au concert de louanges pour cette admirable et violente série sur les narcotrafiquants de Colombie. Le sérivore que je suis avait laissé échapper cette pépite et je viens de visionner à la suite les 3 saisons disponibles. Deux saisons pour Pablo Escobar et le cartel de Medellin et une saison pour le cartel de Cali. Le travail de fourmi de la DEA, la corruption infâme jusqu'aux plus hauts responsables du pays, et surtout ces hommes sans valeur ni morale qui tuent comme ils respirent, rendent la vision difficile de ce monde terrifiant. Parfait filmé, impeccablement rendu, images d'archives à l'appui, un rythme soutenu, à ne surtout pas manquer à condition d'avoir le cœur bien accroché.
Il y a pas mal de moyens mis dans cette série. Elle est bien réalisée et très précise. Seulement, je n'arrive pas trop à accrocher à cette histoire, ce qui fait que j'ai eu du mal à terminer la première saison. Peut-être est-ce le personnage d'Escobar qui manque d'émotions ou le flic américain qui n'a pas l'air de s'impliquer vraiment, bref, j'ai préféré d'autres séries sur ce thème comme Breaking Bad, Ozark ou Better Call Saul.
J'aurais mis 5/5 à cette série si elle n'avait pas perdu son personnage fare à la fin de la deuxième saison. Si Wagner Moura a fait frissonner, monter la tension, à l'aide de l'interprétation plusque honorable de Pablo Escobar, qui est bien le meilleur interprète de ce monstre spectaculaire. La Dea, Boyd Holbrook et sur tout Pedro Pascal qui vole presque totalement la vedette à tous le casting ne sont pas en reste. Appuyé par des photo d'archives réel, cette speudo-opic, ce thriller bien realiste et extrêmement violent ! La musique, les décors sont magnifié par un soleil rouge sang. La troisième saison perd enreb intérêt même si toutefois, il ne manque pas de rebondissement et d'action !
Addictif. D'ailleurs, surtout la saison 3. Plutot étonnent. Il s'agit d'une série qui sait se renouveler de saison en saison. Suspense, rythme... à voir !
NARCOS (2015): Années 1970, Colombie. De sa fulgurante ascension à sa chute, Pablo Escobar, le Narco le plus redouté ( plus de 400 flics tués à son actif), une vie trépidante établie sur les deux premières saisons. A sa poursuite, deux agents de la DEA (Police Fédérale en charge de la lutte contre le trafic de stupéfiants), Steve Murphy et Javier Péna. Malgré la corruptions, les menaces, les assassinats, rien ne les arrêtera. La troisième saison suivra l'agent Péna dont l'objectif sera le démantèlement du Cartel de Cali. Des épisodes aussi prenants les uns que les autres illustrés d'images d'archives assez impressionnantes. On apprend, on a du mal à croire, une série que l'on regardera comme un documentaire. Une réalisation parfaite, des acteurs crédibles (remarquable cette interprétation de Pablo Escobar), une ambiance musicale très bien ajustée aux situations (la tension sera permanente). Malgré de nombreux sous-titrages, "Narcos" se suivra avec passion. Une excellente série de 30 épisodes (45/50 minutes) à voir et à revoir.
El chapo est largement meilleur... Ennuis devant narcos a couper le souffle... Tout est prévisible... Scène inutile en pagaille ... Mal ficelé , bof bof... A voir mais franchement préféré el chapo a narcos!
Je n'ai pas accroché à cette série, qui pourtant croule sous les éloges. Elle m'a paru ennuyante, je n'ai pas pu la terminer. Non pas que je n'affectionne pas les films de gangsters (Scorsese, Tarantino pour ne citer qu'eux), mais pour le coup je n'y ai pas trouvé d'intérêt.
Désolé mais je préfère largement El Chapo car l'histoire est racontée par un agent de la DEA avec ses vues américaines bien pensantes.Je me suis arrêté au premier épisode de la saison 2 lorsque l'agent frappe des consommateurs de cocaïne.Ce qui est mauvais également, c'est qu'on rentre trop dans la vie privée d'Escobar, cet égoïste.
Netflix nous permet donc de découvrir le personnage de Pablo Escobar, un monstre fascinant qui s’est fait une renommée internationale à travers son trafic de cocaïne. Le personnage avait déjà été l’objet d’un film il y a quelques mois de cela intitulé Paradise Lost dans lequel c’était Benicio Del Toro qui incarnait le célèbre narco-trafiquant. Il faut dire que le personnage est fascinant et complexe. Le criminel le plus riche de l’histoire (il aurait eu une fortune de 30 milliards de dollars à sa mort) se dévoile donc dans cette série qui permettra certainement à Netflix de creuser un peu plus sa force de caractère.
Le premier épisode nous retrace donc l’extension très rapide de la petite entreprise d’Escobar. L’histoire est contée par un agent américain de la DEA, Steve Murphy parti à la traque d’El Patron. Sa voix nous raconte la manière dont un simple petit trafic s’est transformé en une machine à faire des billets verts par millions. Le réalisateur brésilien José Padilha nous offre un premier épisode esthétiquement très réussi. Il a d’ailleurs annoncé que la série se déroulera non seulement en Colombie mais également au Mexique, au Pérou ou encore aux Etats-Unis.
[...]
Un premier épisode finalement assez efficace tant par son contenu, que par son jeu et sa réalisation. On a tout de suite envie d'en savoir plus sur cette histoire invraisemblable à laquelle on a parfois du mal à croire. A mi-chemin entre le documentaire et la fiction, le film lève le voile sur un trafic juteux qui a permis à Escobar de devenir un criminel légendaire.
Narcos. Quel Histoire ! Une série sur la dualité, ou les rapports se tendent et s'opposent, narré et romancé à tel point que tout se confond ... Aucun doute cette série Netflix fait son petit effet. Palpitante du début à la fin, tout les retournements de situation comble ma paranoïa croissante. A voir ce que sa petite sœur va nous offrir !
Trois saisons (2015 à 2017, soit 30 épisodes). Série terminée. L’invraisemblable guerre menée par le gouvernement colombien assisté de la DEA (une agence fédérale américaine) contre le trafic de cocaïne et notamment Pablo Escobar. Cette série particulièrement bien documentée évoque la montée en puissance du célèbre cartel de Medellín puis celui de Cali jusqu’à leur démantèlement. Les quelques images d’archives sont intelligemment distillées pour rappeler qu’au-delà de la fiction, la plupart des faits et des personnages ont bel et bien existé. Le récit met en avant les deux clans (trafiquants et flics) en décrivant aussi bien les exactions commises que les alliances stratégiques, la corruption policière et politique. Le portrait psychologique des différents protagonistes est bien écrit, à tel point que l’on en vient presque à pleurer la mort du plus terrible des barons de la drogue. Seule la dernière saison, sans être dénuée d’intérêt, tombe dans la caricature du film policier. Bref, une série captivante et instructive malgré quelques libertés prises avec la réalité historique.