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    Better Call Saul
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    38 critiques spectateurs

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    TUTUR29
    TUTUR29

    24 abonnés 1 032 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 juin 2023
    Énorme fan de Breaking Bad, j'ai enfin le courage de me lancer dans Better Call Saul. Et on n'y retrouve déjà bien ce qui a fait le succès de Breaking Bad : une écriture excellente et souvent drôle, avec une intrigue qui n'hésite pas à dévier vers des "intrigues secondaires ". Les personnages sont tous très bien écrits même si je les trouve pour l'instant très inférieur à breaking Bad, on sent un certain potentiel et Better Call Saul a de toute façon la réputation de devenir de mieux en mieux au fil des saisons. Enfin, je trouve que les quelques flashbacks complexifient un peu l'intrigue, on a du mal parfois à cerner ce qui est un flashback ou non et faire le lien entre ce qui s'est passé entre BCS et Breaking Bad paraît assez flou, mais suivre l'évolution de ça sera sûrement la chose passionnante. Bref, une première saison par moment un peu molle mais qui garde un gros potentiel, j'ai hâte que la série accélère.
    L. Lawliet
    L. Lawliet

    17 abonnés 354 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 septembre 2023
    Je pense qu’on n’a tous été un peu mitigé quand en 2013, fin de l’achèvement d’un chef-d’œuvre télévisuel qui dura 5 ans, l’odyssée palpitante de Walter White prit fin, Vince Gilligan annonça consacrer les prochaines années à l’avocat aux costumes hauts en couleur de sa série dans un préquel: It’s Good Man, Saul Goodman. Personnage apprécié des fans et indispensable des aventures de Walt et Jesse.
    Cependant, moi, le public et tout mon entourage qui adule Breaking Bad, n’étaient pas forcément emballés à 100% pour suivre une aventure juridique mêlant conflits et affaires d’avarice, bien qu'une curiosité troublante nous laisser pas insensible à ce spin-off. Il allait être très compliqué pour Vince Gilligan de reproduire une série qui fait autant vibrer que l’originalité parfaite et tonitruante de ce cher professeur de Chimie. Aussi bien sûr le plan technique que du scénario donc.
    Et il est clair, il y a une patte, un savoir-faire, une crudité et une succession d’événements qui ne forgent pas encore Saul mais le Slipping Jimmy ! Ici en pleines quêtes d’existence et d’un désir d’émancipation, bloqué par son frère le voyant trop d’un mauvais œil vis-à-vis de la loi et de son entreprise spoiler: (HHM)
    dont il est délaissé et accepté seulement au rang de courrier. Jimmy est ainsi affranchi de son aîné et des remarques apportées en terrains connus qu’on connaît, et une personnalité toute neuve prenant place dans le passé, en 2002, 6 ans avant sa rencontre avec Walter. On reconnaît tout de même les prémices de Saul, des arnaques et des désirs suivants ses intérêts, mais cela n’est que simplement le fond de Jimmy ne se dévoilant pas encore, restant dans l’ombre en tentent de se faire une place en essayant de rester plutôt honnête malgré ses tendances ludiques à la mini-arnaque, qui va encaisser pendant ces dix premiers épisodes une série épuisante d'humiliations, de défaites, puis de trahisons évidemment, et cherchant en l’occurrence plutôt l’envie avant l’obsédions, et la découverte de ses (més)aventures dont seuls ses talents d'orateur et d'escroc lui permettront de se sortir. Mais également Kim, qu’il connaît depuis quelques années, Avocate sans grand pouvoir et directive, étant elle aussi au dernier étage de sa catégorie. Pas forcément convaincante dans cette première saison, on s’attache tout de même à elle en voyant l’empathie qu’elle a avec Jimmy spoiler: (les pauses cigarettes au parking d’HHM absolument mémorable et excitant !)
    le comprenant et souhaite l’aider, de même pour lui, faute de moyen restant (pour l’instant) seulement des cafards.
    Des nouveaux personnages alors, comme Chuck son frère et Kim, mais aussi Howard qui est fait pour être détesté et pas encore intéressant dans cette saison, mais également et surtout Nacho, ou l’épisode 3 lui est presque entièrement consacré et qui deviendra dès cette première saison, le plus humain de la série, restant le plus appréciable mais avec une goutte de dégoût du réseau pour lequel il travaille. Il y fera la rencontre de Mike, où la profondeur de son irrésistible charisme d’agent privé de Saul et de garde du corps pour Gus dans Breaking Bad l’aura fait briller comme Le personnages le plus concret de la Série. Mais je laisse volontairement son arc et son histoire de côté pour cette critique, ou son histoire sera de plus en plus intéressante par la suite. Cette saison ne lui sert qu’à approfondir son personnage fascinant et garder l’esprit BB qu’on aime tant on ne va pas se le cacher ;)  
    Cette première saison est une réussite exceptionnelle, restant la première et la moins bonne de la série quand nous connaissons Gilligan, qui ne cessera pas de nous surprendre et de nous faire envier cette univers captivant, ou tout ce que je peux dire, tout ce que je peux conseiller, que vous ayez aimé/vu Breaking Bad ou non, PLONGÉE VOUS DANS CETTE SÉRIE FABULEUSE !!!
    alchimissste
    alchimissste

    10 abonnés 351 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 janvier 2024
    Fan inconditionnel de Breaking bad, il me fallait de regarder cette série spin-off ou suite de cette série culte.
    D'après plusieurs retours, cette série est aussi bonne que l'original, mais pour cela, il faut atteindre les dernières saisons.
    Et j'avoue que j'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire, malgré le fait de retrouver des personnages secondaires de Breaking bad.
    L'acteur principal bien qu'agaçant nous livre une partition de haut niveau, mais le problème, c'est lent !
    Ma note 9.5/20, je vais quand même continuer à regarder les saisons suivantes, car je pense que cela va monter de puissances.
    Critiqueur de film46
    Critiqueur de film46

    3 abonnés 44 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 juin 2022
    Une véritable surprise cette saison 1, le personnage de saul est très drôle et attachant (surtout grâce à l'interprétation de bob odenkirk qui est génialissime) l'inventivité du scénario et la mise en scène soignée et maîtrisée
    Une Saison 1 juste excellente
    J'espère que la saison 2 sera génial
    James Betaman
    James Betaman

    59 abonnés 238 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 avril 2015
    Après le mythique Breaking Bad, il était dur pour Vince Gilligan de reproduire une série qui fait autant vibrer, et ce serait mentir si je disais que j'ai autant aimé Better Call Saul que Breaking Bad, c'est normal. Ce n'est qu'à la fin de la 3em saison de BrBa que je suis réellement devenu accro. Better Call Saul me rendra peut-être accro plus rapidement ou pas du tout. Pour le moment, je ne suis pas en manque. J'aime regarder un épisode chaque semaine (même si généralement c'est un épisode chaque jour pour les autres séries), et l'histoire est assez marquante pour pas que l'on oublie les derniers événements la semaine suivante. Pour ce qui est des personnages, évidemment, mes favoris sont Saul/Jimmy et Mike vu que je les connaît déjà (c'est peut-être pareil pour toi, qui lis cette crique). Les nouveaux personnages ne marquent pas vraiment, Kim, Howard, Chuke, ils sont sympas mais je ne suis pas fan, peut-être car c'est un peu trop tôt, après tout, je n'ai vu que 10 épisodes. C'est ça qui est bête, certaines personnes se plaignent de ne pas retrouver l'esprit de BrBa, attendez, on ne rattrape pas 5 saisons phénoménales en 10 épisodes. J'ai trouvé tout de même certains épisodes identiques, entre l'épisode 4 et 9, c'est un peu répétitif. C'est sympa de voir la vie professionnel de Saul mais au final, à part les Ketleman et l'affaire de la maison de retraite, on ne retient pas grand chose de cette saison. J'ai même oublier un moment l'apparition de Tuco Salamanca. Bref, c'est encore trop tôt pour réclamer un grand show. Laissons le temps à Gilligan et Peter Gould de ne nous former une bonne histoire, plutôt que de crier "AU GENIE" ou de critiquer dès les 3 premiers épisodes. 4/5 Voilà qui est dit!
    cinecourt, la critique en deux mots
    cinecourt, la critique en deux mots

    3 abonnés 56 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 février 2015
    Même couleur, même saveur que Breaking Bad. Une bouffée d'oxygène pour ceux qui regrettent la fin de Walter White. En un mot, GEANT.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 172 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 janvier 2016
    Personnellement, j’étais un grand fan de « Breaking Bad » (quelle originalité) et donc, forcément, comme toutes les personnes de mon espèce, je n’ai pas été insensible à l’annonce de ce spin-off, focalisé sur le personnage de Saul Goodman. Après, je ne sais pas vous, mais moi, « ne pas être insensible » ne veut pas forcément dire « être enthousiaste ». Alors certes, d’un côté j’étais curieux de voir une sérié chapotée par Vince Gilligan : c’est que le gars a su montrer son savoir-faire sur les cinq saisons de « Breaking Bad ». D’un autre côté, je ne pouvais m’empêcher d’être rongé par la peur de voir un univers plaisant être dévoyé par un spin-off douteux. Ainsi, c’est avec des sentiments mêlés que je me suis lancé dans ce « Better Call Saul », et c’est avec des sentiments mêlés que j’en suis ressorti. Alors certes, c’est du Vince Gilligan : il y a une patte, un savoir-faire, une crudité… Globalement ça marche plutôt bien, notamment parce que la série parvient à vivre en dehors de l’intrigue de sa grande sœur. Je pense sincèrement que celui ou celle qui n’a pas vu « Breaking Bad » peut se plonger dans ce « Better Call Saul » sans risque d’être perdu, même si – pour le coup – tous les petits clins d’œil sympathiques faits à la série originale leur échapperont forcément. A ce petit jeu notamment, toute la partie consacrée au personnage de Mike n’a finalement de sens que lorsqu’on sait ce qu’il deviendra par la suite. Or, pour le coup, ce serait bien dommage car, pour le connaisseur, cette partie est plutôt bien faite. Personnellement, elle m’a peut-être même plus intéressée que celle qui concernait ce pauvre Saul. Après, à bien y réfléchir, je trouve quand même que tout cela reste finalement bien peu de la part d’un spin-off d’une série aussi monumentale que « Breaking Bad ». Même si certains aspects ont su m’intéresser (notamment le rapport de Saul/Jimmy à son frère, ainsi que celui qu’il entretient avec le personnage de Kim), je dois bien avouer que certains éléments avaient un goût trop prononcé de « il-fallait-bien-l’expliquer-et-on-avait-rien-de-mieux » ( spoiler: kof kof Slipping Jimmy kof kof
    ) pour que ça me convainc vraiment. Et quand j’ai compris qu’en fait, je n’assistais pas à une série faite d’une traite, mais qu’au contraire ce n’était là que l’introduction d’une longue fournée de saison, je l’avoue, j’ai été frustré. Tout ça pour ça ? Tout ça pour aboutir à un dernier épisode mou du genou qui finalement n’apporte pas grand-chose ? Pour moi, c’était clairement « un peu court jeune homme ». Alors soit, après – encore une fois – malgré toutes ces réserves, cela reste convenable. « Better Call Saul » n’est clairement pas une honte qui fait de l’ombre à « Breaking Bad ». De même, rien n’interdit que, à l’instar de son ainée, cette série sache grimper en puissance avec le temps et sache véritablement apporter sa plus-value, à la fois en tant que série autonome, mais à la fois aussi en tant que spin-off enrichissant l’univers de Breaking Bad. A voir… En attendant, me concernant, ce « Better Call Saul », c’est mention passable…
    cylon86
    cylon86

    2 288 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 avril 2015
    Second rôle aussi irrésistible que génial dans "Breaking Bad", l'avocat Saul Goodman se voit ici avoir les honneur du premier rôle pour ce préquel osé qui doit faire exister un personnage en dehors du terrain connu qu'on lui connaît déjà. Dieu merci, les scénaristes sont diablement intelligents et savent qu'il ne faut pas jouer sur les attentes liées à "Breaking Bad". "Better Call Saul" est donc une série capable d'exister à part entière qui s'affranchit vite de son aîné. On y découvre Saul Goodman qui s'appelle alors James McGill, avocat débutant dans le milieu, tentant de se faire une place à l'ombre de la compagnie qui embauchait son frère. Ancien escroc, Jimmy va donc se retrouver dans des situations dont seuls ses talents d'orateur et d'escroc lui permettront de se sortir. Après un premier épisode pas forcément convaincant, la série prend vite ses marques et prend des directions insoupçonnées, reposant énormément sur le charisme incroyable de Bob Odenkirk qui reprend à merveille le rôle qui l'a fait connaître du grand public. On oublie alors très vite "Breaking Bad" (malgré l'univers familier et la présence de Mike, incarné par le très bon Jonathan Banks) pour se centrer uniquement sur James et ses (més)aventures. En dix épisodes, cette première saison pose ses bases, concentrant avant tout des scénarios subtilement écrits et une réalisation de qualité pour mieux accrocher son spectateur. Le rythme a beau être lent, on est très vite absorbés par l'humour et les trouvailles scénaristiques, ravis de retrouver un personnage que l'on apprend à mieux connaître. En espérant une seconde saison du même acabit.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 16 avril 2015
    Merde alors...maintenant que Vince Gilligan m'a déçu je ne sais plus trop en quoi croire. Je ne commet pas l'erreur de m'attaquer à "Better Call Saul" en espérant le même niveau d'excellence que "Breaking Bad", qui représente pour moi la perfection cinématographique, puisque pour le coup ce n'est absolument pas l'ambition de Gilligan qui le dit lui-même: là où BrBa était plutôt 75% drame et 25% humour, le réalisateur entend faire de ce spin-off l'inverse, ce sont ses mots, donc les allures de grande et puissante tragédie de "Breaking Bad", pas de ça ici. Tout mon problème (enfin, une bonne partie) c'est que vu la manière dont la série se prend au sérieux, j'ai l'impression que Gilligan se perd dans ses intentions. Le ton de la série reste encore à déterminer, il est en tout cas bien moins drôle que ce que le réalisateur avait annoncé (de moins en moins au fur et à mesure). Alors qu'une satire sociale bien grinçante aurait été bienvenue compte tenu du nouveau contexte -et personnage principal, on en retient surtout des instants de mélancolie très BrBa pour le coup, omniprésents mais loin d'être aussi forts, la faute à un manque de substance. Si un peu de "Breaking Bad" subsiste pour le pire ou le meilleur comme dans les dialogues qui s'égarent à droite et à gauche, ou dans la lenteur emblématique du rythme de la série (qui pourtant, savait décoller quand il le fallait), voire quelque part dans l'esprit original (le show pourrait parfois s'appeler "Breaking Bad" vu à quel point tout ce qui peut déraper dérape de la pire manière qui soit), globalement la substance de la série, ce qui faisait sa superbe, a disparu: plus de développement de personnages ni de relations pour porter la série puisque même Saul Goodman est sous-exploité, plus de moments forts ni mémorables, plus de personnages mémorables hormis les vétérans de BrBa (où est passé Nacho Verga tout ce temps ? Moi qui me réjouissait de voir Michael Mando...), plus de ces liens logiques géniaux pour relier les événements -la série ne s'embêtant pas à créer un univers dense, et plus de ce talent pour extraire une beauté métaphorique du contexte (dans BrBa c'était la science, ici on a surtout droit à un jargon juridique dur à avaler). Et ne croyez pas que je reproche à la série de ne pas être "Breaking Bad" ni que je me met des œillères tout seul, je partais vraiment confiant et j'ai trouvé la série de très bonne facture à son lancement: durant les premiers épisodes le ton est en effet davantage dans un humour cynique à souhait et tous les éléments, s'ils venaient à se concrétiser, laissaient espérer le meilleur. Sans parler de l'interprétation unanimement excellente et du fait que Vince Gilligan est sans doute meilleur encore à la réalisation que pour son précédent bébé, on sent dès le pilote l'assurance gagnée au fil des saisons de BrBa. Et puis -cela concerne toute la saison- pour un spin-off faisant suite à un monument d'une telle ampleur et renommée, le fan-service reste quand même très raisonnable, et puis ce n'est pas le mal absolu non plus. Or plus les épisodes s'enchaînent lors de cette première saison, plus les sous-intrigues et péripéties s'enchaînent sans une véritable colonne vertébrale pour relier le tout, plus j'ai de mal à trouver un véritable sens à "Better Call Saul", qui me laisse l'impression d'enchaîner les fioritures sans se consacrer à quoi que ce soit de durable, même si ce n'est pas du tout une série d'anthologie. Une première saison entre quête d'identité et maladresses toutes bêtes.
    manuher
    manuher

    4 abonnés 205 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 février 2018
    Ayant vu Breaking bad (bb), je m'attendais à une série dans la même trempe, de l'intrigue, de l'humour, de la bonne musique. Si on retrouve les 2 derniers éléments (ce que je nommerais la forme), on y perd essentiellement sur le fond : l'intrigue ne décolle pas même après avoir vu les 4 premiers épisodes.
    Le scénario se contente de raconter les petites magouilles, certes, qui ne manquent pas de piquant de notre avocat, auxquelles nous étions déjà familiers avec BB, ici pas de fil conducteur, une véritable intrigue. On suit donc les épisodes indépendamment les uns des autres.
    A moins que je ne sois pas allé assez loin, mais 4 épisodes ça me parait largement suffisant pour faire décoller une histoire (qui tenait la route dans bb dès le premier épisode !).
    Désolé mais je m'arrête là.
    Scorcm83
    Scorcm83

    89 abonnés 508 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 avril 2015
    Better Call Saul est une réussite dans le sens où elle arrive à exister sans le poids monstrueux de Breaking Bd derrière elle, et rien que pour ça, c'est du génie. Les trois ou quatre premiers épisodes étaient géniaux, l'épisode 6 est magistral (Mike) mais j'ai senti une petite baisse de régime sur le reste de la saison 1. Pas de problème cependant, la série reste très bien pour le moment, et j'ai hâte de savoir la suite. la réalisation est au top, les acteurs sont géniaux (mention spéciale à Bob Odenkirk, attachant dés le premier épisode). Ils m'ont littéralement fait voir le personnage de Saul différemment, je pense que c'était le but de faire un spin-off basé sur un personnage secondaire.

    Fans de Breaking Bad ou non, plongez vous dans cette série, c'est du lourd !
    romano31
    romano31

    248 abonnés 1 543 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 novembre 2015
    Etant un grand fan de Breaking Bad, je ne pouvais bien évidemment pas passer à côté de Better Call Saul. Ce spin-off/prequel à Breaking Bad nous raconte comment, six avant sa rencontre avec Walter White, Jimmy McGill est devenu Saul Goodman ou du moins tout le chemin qu’il a parcouru pour arriver là où il en est dans Breaking Bad. J’ai trouvé cette première saison très bonne. Créée par Vince Gilligan et Peter Gould, tous deux déjà à l’œuvre sur Breaking Bad, on retrouve la même qualité d’écriture et d’interprétation que dans Breaking Bad. Bob Odenkirk est toujours aussi excellent dans le rôle de Jimmy McGill et on retrouve avec grand plaisir Jonathan Banks, toujours aussi charismatique dans son rôle de Mike Ehrmantraut. Cette première saison de dix épisodes se suit avec grand plaisir et si vous êtes un fan ou si vous avez tout simplement adoré Breaking Bad, vous ne pourrez qu’apprécier Better Call Saul. Vivement la saison 2.
    Toto INF
    Toto INF

    35 abonnés 555 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 avril 2018
    Une préquelle à Breaking Bad certes, mais surtout l'histoire d'un avocat véreux.
    Les acteurs sont sympas, les rôles aussi, mais l'histoire mais du tend à se lancer, et les scènes mémorables ou les moments clés de la série sont trop peu nombreux, trop lent, ou les deux. C'est dommage car il y avait de quoi exploiter un personnage original, et la série réussit à le faire d'une certaine manière, mais pas assez puissamment à mon goût.
    Un bon passe temps néanmoins.
    Kilian Dayer
    Kilian Dayer

    99 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 août 2015
    L’annonce d’un Spin-Off de Breaking Bad axé sur le personnage emblématique de Saul Goodman avait de quoi faire trépigner les troupes de fans de la série de Vince Gilligan. Et pour cause, le génie du créateur, père de quelques Walter White et autre Jessie Pinkman, ne s’est pas tari en route, le monsieur s’étant qui plus adjoint les services de Peter Gould. Du long chemin qui mena le dénommé Jimmy McGill, avocat du barreau sur le tard, à la prestance de son personnage crapuleux de Saul Goodman, les deux showrunners en font un captivant moment de finesse et d’intelligence, une saison première en dix chapitres qui non seulement brille sur le plan narratif mais parvient également à trouver son indépendance en rapport à son mythe d’origine. Oui, la difficulté pour Gilligan et Gould était bel et bien d’offrir une certaine forme d’indépendance à Better Call Saul, série nouvelle mais clairement rattachée à Breaking Bad, se devant pourtant d’offrir de nouveaux horizons à explorer.

    Le pari est audacieux, certes, mais dès les premiers instants, à côtoyer ce bon vieux Saul, sous son vrai nom, nous voici charmer. Les petits pincements nostalgiques n’enlève rien, qui plus est, à la qualité indéniable d’écriture, et ce, dès les toutes premières minutes, en noir et blanc et d’une tristesse atterrante pour tous ceux qui se rappellent la fin de la croisade Heisenberg. Oui, surfant sur le succès de son géniteur, Better Call Saul n’est reste pas moins un show à lui tout-seul. Plus qu’un simple et bête Spin-Off, la nouveauté AMC, Netflix dans le reste du monde, est un petit bijou dramatique aussi bien que comique. Des débuts chaotiques et maladroits de Jimmy à ses dernières paroles du dixième épisode, le chemin à parcourir est aussi passionnant qu’invariablement cynique, un modèle narratif qui dessine un personnage que l’on reconnaît d’abord pour mieux le redécouvrir dans son intimité. En bonus, et celui-ci est de taille, il nous est également offert, en parallèle de découvrir le personnage de Mike, côtoyant par hasard l’avocat. Aucun des deux n’étant encore celui qu’il fût par la suite, l’évolution est captivante et surtout, intrigante.

    D’un point de vue technique, la série porte logiquement la patte du géniteur de Breaking Bad, retrouvant Albuquerque et le Nouveau-Mexique filmés comme des paradis de synthèse, enfers maquillé en terre d’accueil pour toute la misère américaine en quête de renouveau. C’est bien le cas de Jimmy, comme de Mike, chacun aillant une histoire lourde à traîner derrière eux, tous les deux en pleine croisade pour revivre une nouvelle vie loin de leurs froides origines. Le générique flashy, des séquences en flashback tournée en accentuant les contrastes, Gilligan, Gould et leur équipe livrent un hommage artistique à la série mère tout en offrant son indépendance à leur nouveau bébé, un drame familial, social et finalement juridique.

    Débordant de très belles inspirations, on pense à la maladie du frère de Jimmy, cela donnant lieu à des scènes aussi tordantes qui cruelles, la série trouve très rapidement son public, certes le même que celui de Breaking Bad, mais un public nombreux pour autant. Fort de sa qualité, la série est d’emblée reconnue comme un succès indéniable, la preuve en est des nominations pour l’obtention de titres prestigieux. Accessoirement, cette première saison est aussi une parfaite réussite sur le plan émotionnel. En toute logique, tous fans de BB sera pleinement conscient de la valeur des personnages présentement concernés, mais se dira, par-dessus-tout, que toutes leurs valeurs, leurs intentions, leurs personnalités, seront finalement écrasées par une légende, un certain Walter White. Brillant, au même titre que l’est Bob Odenkirk dans la peau de ce juriste adorablement retors. 17/20
    Marjolaine A.
    Marjolaine A.

    119 abonnés 489 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 janvier 2020
    J'ai découvert cette série sans connaître son personnage principal, car à ce jour je n'ai vu que la première saison de Breaking Bad, dans laquelle il n'apparait pas. Better Caul Saul est une série très drôle, très bien écrite, avec un personnage principal extraordinaire (mais crédible), superbement interprété par Bob Odenkirk. L'histoire prend parfois des virages surprenants, c'est vraiment à voir.
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