Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Philadelphia Inquirer
Créée par Courtney Kemp Agboh, productrice et scénariste de The Good Wife, nominée aux Emmys pour celle-ci, et portée par la performance impressionnante - mais encore sous-estimée - d’Omari Hardwick, la série capture l’esprit du roman de Fitzgerald [Gatsby le Magnifique, ndlr], tout en apportant une belle part de modernité.
La critique complète est disponible sur le site Philadelphia Inquirer
New York Times
Bien que la série ne soit pas particulièrement créative ou subtile (longues limousines, Chivas Regal, call-girls), elle est étonnamment attrayante. […] Certains thèmes comme l’argent, le crime et le sexe ne vieillissent jamais. Power se complaît dans tous les clichés du genre – dealers, DJ et marques de luxe – mais le fait avec sincérité et sans aucun cynisme.
La critique complète est disponible sur le site New York Times
Newsday
Power est bien construit et surtout très bien écrit. Les dialogues respirent une facilité et une familiarité mordante qui convient aux escrocs et aux agents fédéraux. […] Si le premier épisode est un brin mou, le show se bonifie dans les suivants.
La critique complète est disponible sur le site Newsday
Boston Herald
Omari Hardwick […] partage quelques délicieux moments avec Lela Loren, lorsque son personnage tente de reconquérir un ancien amour de jeunesse pour qui ses sentiments n’ont fait que s’amplifier. Mais le dialogue, entrecoupé d’injures, semble peu soigné et n’apporte rien à l’intrigue.
La critique complète est disponible sur le site Boston Herald
Los Angeles Times
Power est quelque part dans l'esprit de Magic City, sur un homme voulant réaliser son rêve en bâtissant un empire avec des criminels et de l'argent sale. Mais à l'instar de celle-ci, qui baignait dans la lumière, Power se révèle cool et sombre, même si l’intrigue (et les personnages) semble sortie tout droit d'un catalogue. Regarder cette série donne l'impression de lire un magazine de mode dans une salle d'attente, avec le son de la roulette du dentiste traversant le mur.
La critique complète est disponible sur le site Los Angeles Times
San Francisco Chronicle
C'est presque criminel de voir un casting puissant, attractif et une production haut de gamme dans une série qui manque autant d'originalité.
La critique complète est disponible sur le site San Francisco Chronicle
Slant Magazine
Si Les Soprano, dans toute sa complexité, trouvait de l'épaisseur dans son antihéros endommagé par une vie de violence, Power n'est rien de plus qu'un pâle soap réchauffé autour de l’obsession de Ghost pour les armes et la drogue.
La critique complète est disponible sur le site Slant Magazine
Uncle Barky
De nos jours, les anti-héros sont devenus chose courante à la télévision. Pourtant, ressentir de l’empathie pour Ghost risque d’être compliqué. […] Le rythme global [de Power] pourrait bénéficier d’une légère accélération, et sa représentation des minorités (avec l’usage à deux reprises du terme "nègre") serait qualifiée d’offensante si 50 Cent ne tirait pas les ficelles d’un côté, et rappait le générique de l’autre.
La critique complète est disponible sur le site Uncle Barky
The Hollywood Reporter
L’écriture vigoureuse, associée à une abondance de sexe et de violence, est un argument très vendeur à l’international. Il n’y aurait rien de mal à ça si seulement Starz admettait que la superficialité d’un tel divertissement est sa stratégie. De cette façon, personne ne regarderait Power en pensant : 'Ce show manque bien d’originalité'. Ils penseraient plutôt : 'Ce truc médiocre et clinquant est parfait pour Starz.'
La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter
Philadelphia Inquirer
Créée par Courtney Kemp Agboh, productrice et scénariste de The Good Wife, nominée aux Emmys pour celle-ci, et portée par la performance impressionnante - mais encore sous-estimée - d’Omari Hardwick, la série capture l’esprit du roman de Fitzgerald [Gatsby le Magnifique, ndlr], tout en apportant une belle part de modernité.
New York Times
Bien que la série ne soit pas particulièrement créative ou subtile (longues limousines, Chivas Regal, call-girls), elle est étonnamment attrayante. […] Certains thèmes comme l’argent, le crime et le sexe ne vieillissent jamais. Power se complaît dans tous les clichés du genre – dealers, DJ et marques de luxe – mais le fait avec sincérité et sans aucun cynisme.
Newsday
Power est bien construit et surtout très bien écrit. Les dialogues respirent une facilité et une familiarité mordante qui convient aux escrocs et aux agents fédéraux. […] Si le premier épisode est un brin mou, le show se bonifie dans les suivants.
Boston Herald
Omari Hardwick […] partage quelques délicieux moments avec Lela Loren, lorsque son personnage tente de reconquérir un ancien amour de jeunesse pour qui ses sentiments n’ont fait que s’amplifier. Mais le dialogue, entrecoupé d’injures, semble peu soigné et n’apporte rien à l’intrigue.
Los Angeles Times
Power est quelque part dans l'esprit de Magic City, sur un homme voulant réaliser son rêve en bâtissant un empire avec des criminels et de l'argent sale. Mais à l'instar de celle-ci, qui baignait dans la lumière, Power se révèle cool et sombre, même si l’intrigue (et les personnages) semble sortie tout droit d'un catalogue. Regarder cette série donne l'impression de lire un magazine de mode dans une salle d'attente, avec le son de la roulette du dentiste traversant le mur.
San Francisco Chronicle
C'est presque criminel de voir un casting puissant, attractif et une production haut de gamme dans une série qui manque autant d'originalité.
Slant Magazine
Si Les Soprano, dans toute sa complexité, trouvait de l'épaisseur dans son antihéros endommagé par une vie de violence, Power n'est rien de plus qu'un pâle soap réchauffé autour de l’obsession de Ghost pour les armes et la drogue.
Uncle Barky
De nos jours, les anti-héros sont devenus chose courante à la télévision. Pourtant, ressentir de l’empathie pour Ghost risque d’être compliqué. […] Le rythme global [de Power] pourrait bénéficier d’une légère accélération, et sa représentation des minorités (avec l’usage à deux reprises du terme "nègre") serait qualifiée d’offensante si 50 Cent ne tirait pas les ficelles d’un côté, et rappait le générique de l’autre.
The Hollywood Reporter
L’écriture vigoureuse, associée à une abondance de sexe et de violence, est un argument très vendeur à l’international. Il n’y aurait rien de mal à ça si seulement Starz admettait que la superficialité d’un tel divertissement est sa stratégie. De cette façon, personne ne regarderait Power en pensant : 'Ce show manque bien d’originalité'. Ils penseraient plutôt : 'Ce truc médiocre et clinquant est parfait pour Starz.'