Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
New York Daily News
Murder in the First est la combinaison parfaite attendue dans un drame policier : une histoire basique et facile à suivre, et une intrigue plus nuancée, qu’il est difficile de manquer. […] Comme la majorité des séries du câble, la production et le casting de [la série] sont limités à l’essentiel, mais très bien exécutés.
La critique complète est disponible sur le site New York Daily News
New York Times
Bien que cette nouvelle série ne soit pas aussi novatrice que Murder One, elle est, à sa manière, aussi bien rythmée et fascinante. Les thrillers intelligents et exempts de surnaturel sont rares cet été, ce qui rend Murder in the First encore plus plaisante.
La critique complète est disponible sur le site New York Times
Uncle Barky
Murder in the First semble posséder de solides bases. Bochco est là depuis maintenant bien trop longtemps pour apprendre de nouvelles techniques et se mettre à jour. Néanmoins, cette série est de loin sa meilleure depuis NYPD Blues il y a plus de vingt ans, une série qui a tenté de briser les codes du genre.
La critique complète est disponible sur le site Uncle Barky
Newsday
Avec Bochco, TNT a choisi l’homme parfait : expert du genre, ce grand producteur sait exactement quoi faire, et qui choisir comme acteur (et en effet, les acteurs sont excellents).
La critique complète est disponible sur le site Newsday
RogerEbert.com
Bochco et son équipe de scénaristes parviennent à rendre leurs personnages plus profonds que ceux auxquels TNT et USA nous avaient habitués. Cela fait du bien, mais la série reste néanmoins plate et prévisible, une surprise pour les fans des meilleures séries de Bochco. L’intrigue peut paraître un peu terne, mais le casting trouve un moyen d’en élever le niveau.
La critique complète est disponible sur le site RogerEbert.com
Boston Globe
Il y a parfois des émissions de télévision où vous vous dites : ‘Comment ont-ils osé la diffuser, et pourquoi dois-je dire à personne de la regarder ?’ Et bien cette série n’échappe pas à la règle. A l’heure où nos petits écrans sont nourris aux programmes scénaristiquement toujours plus intelligents, Murder in the first paraît plutôt pauvre comparée à True Detective, Broadchurch ou The Killing. Autrement dit, cette nouvelle fiction est prévisible et sent le déjà-vu.
La critique complète est disponible sur le site Boston Globe
Pittsburg Post-Gazette
A certains égards, Murder in the first est un ersatz de Murder One (1995-1997, ABC) produit par Bochco. Celle-ci était une série révolutionnaire pour l’époque, car elle ne traitait qu’une seule affaire criminelle au cours de sa première saison. Ce style de narration sérialisée est à présent devenu tellement normatif que ce nouveau show de la chaîne TNT n'a rien d'exceptionnel. Les téléspectateurs nostalgiques des feuilletons policiers à enquête unique de la fin des années 1990 pourraient éventuellement y trouver un intérêt, mais pour les autres qui recherchent un style narratif plus contemporain, il n'est pas dramatique de passer à côté de cette nouvelle fiction.
La critique complète est disponible sur le site Pittsburg Post-Gazette
The Detroit News
Les acteurs sont certes talentueux, mais malheureusement mal exploités. La série ressemble beaucoup trop à The Killing, sans les enquêtes complexes, le ton sombre, les histoires parallèles, ni le style visuel brutal. Peut-être que la qualité douteuse du programme est en partie due à l’implication de Steven Bochco à la production, qui n’a pas jamais retrouvé le succès qu’il avait rencontré avec NYPD Blue à la fin des années 1990.
La critique complète est disponible sur le site The Detroit News
The A.V. Club
Le remake de Murder One sans les parties intéressantes. Au milieu des années 1990, la chaîne ABC et le producteur Steven Bochco, alors à l’apogée de son influence au sein de l’industrie télévisuelle, sont parvenus à créer l’événement auprès des téléspectateurs du monde entier, en inventant un nouveau style scénaristique avec Murder One […] Malheureusement, ce qui était rafraîchissant à cette époque, l’est beaucoup moins à présent. Le style est devenu commun, au même titre que True Detective et Fargo […] Peu importe la qualité du jeu des acteurs, peu importe la façon dont l'histoire tente de se renouveler, l’effet produit est très basique […] Ce qui était autrefois révolutionnaire est à présent poussif et cliché.
La critique complète est disponible sur le site The A.V. Club
Wall Street Journal
Si Law and Order avait réussi à donner le sentiment aux téléspectateurs qu’ils étaient installés dans des fauteuils d’avocats, l’influence de Steven Bochco à la télévision a contribué à générer de bons auteurs. Mais le fait qu’aucun personnage de Murder in the first n’agisse de manière réaliste – que ce soit vis-à-vis de la loi ou dans les scènes du quotidien, donne l’impression au spectateur d’être exclu du système.
La critique complète est disponible sur le site Wall Street Journal
New York Daily News
Murder in the First est la combinaison parfaite attendue dans un drame policier : une histoire basique et facile à suivre, et une intrigue plus nuancée, qu’il est difficile de manquer. […] Comme la majorité des séries du câble, la production et le casting de [la série] sont limités à l’essentiel, mais très bien exécutés.
New York Times
Bien que cette nouvelle série ne soit pas aussi novatrice que Murder One, elle est, à sa manière, aussi bien rythmée et fascinante. Les thrillers intelligents et exempts de surnaturel sont rares cet été, ce qui rend Murder in the First encore plus plaisante.
Uncle Barky
Murder in the First semble posséder de solides bases. Bochco est là depuis maintenant bien trop longtemps pour apprendre de nouvelles techniques et se mettre à jour. Néanmoins, cette série est de loin sa meilleure depuis NYPD Blues il y a plus de vingt ans, une série qui a tenté de briser les codes du genre.
Newsday
Avec Bochco, TNT a choisi l’homme parfait : expert du genre, ce grand producteur sait exactement quoi faire, et qui choisir comme acteur (et en effet, les acteurs sont excellents).
RogerEbert.com
Bochco et son équipe de scénaristes parviennent à rendre leurs personnages plus profonds que ceux auxquels TNT et USA nous avaient habitués. Cela fait du bien, mais la série reste néanmoins plate et prévisible, une surprise pour les fans des meilleures séries de Bochco. L’intrigue peut paraître un peu terne, mais le casting trouve un moyen d’en élever le niveau.
Boston Globe
Il y a parfois des émissions de télévision où vous vous dites : ‘Comment ont-ils osé la diffuser, et pourquoi dois-je dire à personne de la regarder ?’ Et bien cette série n’échappe pas à la règle. A l’heure où nos petits écrans sont nourris aux programmes scénaristiquement toujours plus intelligents, Murder in the first paraît plutôt pauvre comparée à True Detective, Broadchurch ou The Killing. Autrement dit, cette nouvelle fiction est prévisible et sent le déjà-vu.
Pittsburg Post-Gazette
A certains égards, Murder in the first est un ersatz de Murder One (1995-1997, ABC) produit par Bochco. Celle-ci était une série révolutionnaire pour l’époque, car elle ne traitait qu’une seule affaire criminelle au cours de sa première saison. Ce style de narration sérialisée est à présent devenu tellement normatif que ce nouveau show de la chaîne TNT n'a rien d'exceptionnel. Les téléspectateurs nostalgiques des feuilletons policiers à enquête unique de la fin des années 1990 pourraient éventuellement y trouver un intérêt, mais pour les autres qui recherchent un style narratif plus contemporain, il n'est pas dramatique de passer à côté de cette nouvelle fiction.
The Detroit News
Les acteurs sont certes talentueux, mais malheureusement mal exploités. La série ressemble beaucoup trop à The Killing, sans les enquêtes complexes, le ton sombre, les histoires parallèles, ni le style visuel brutal. Peut-être que la qualité douteuse du programme est en partie due à l’implication de Steven Bochco à la production, qui n’a pas jamais retrouvé le succès qu’il avait rencontré avec NYPD Blue à la fin des années 1990.
The A.V. Club
Le remake de Murder One sans les parties intéressantes. Au milieu des années 1990, la chaîne ABC et le producteur Steven Bochco, alors à l’apogée de son influence au sein de l’industrie télévisuelle, sont parvenus à créer l’événement auprès des téléspectateurs du monde entier, en inventant un nouveau style scénaristique avec Murder One […] Malheureusement, ce qui était rafraîchissant à cette époque, l’est beaucoup moins à présent. Le style est devenu commun, au même titre que True Detective et Fargo […] Peu importe la qualité du jeu des acteurs, peu importe la façon dont l'histoire tente de se renouveler, l’effet produit est très basique […] Ce qui était autrefois révolutionnaire est à présent poussif et cliché.
Wall Street Journal
Si Law and Order avait réussi à donner le sentiment aux téléspectateurs qu’ils étaient installés dans des fauteuils d’avocats, l’influence de Steven Bochco à la télévision a contribué à générer de bons auteurs. Mais le fait qu’aucun personnage de Murder in the first n’agisse de manière réaliste – que ce soit vis-à-vis de la loi ou dans les scènes du quotidien, donne l’impression au spectateur d’être exclu du système.