Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Ecran Large
par Simon Riaux
Récit intimiste, ambiance à la Michael Mann, plan séquence à la Cuaron, récit d'infiltration, film d'horreur, plongée dans le fantastique... Idées et concepts se mélangent après être régulièrement introduits dans les épisodes successifs. Un des immenses plaisirs du visionnage provient évidemment de sa variété.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
San Francisco Chronicle
Les performances de Woody Harrelson et Matthew McConaughey figurent parmi les meilleures vues cette saison à la télévision, voire toutes années confondues.
La critique complète est disponible sur le site San Francisco Chronicle
The Hollywood Reporter
True Detective a trois qualités qui forcent l’admiration. Le jeu de Matthew McConaughey et Woody Harrelson, qui est au-dessus de tout. L’écriture, du créateur de la série et romancier Nic Pizzolatto, qui alterne entre monologues grandiloquents et moments plus contemplatifs. Enfin, le réalisateur Cary Fukunaga apporte une ambiance élégante à base de grands espaces (l’action se situe en Louisiane). Avec Pizzolatto et Fukunaga aux commandes des huit épisodes, on sent bien que l’ensemble est le fruit d’une vision commune entre les deux artistes.
La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter
USA Today
La mauvaise nouvelle est que la série se repose un peu trop sur les performances de ses acteurs. L’enquête au cœur du récit est trop familière et pas particulièrement passionnante. Les spectateurs les plus impatients souhaiteront plus de clarté et de rapidité dans la résolution des faits. Ces défauts mineurs n’enlèvent rien à ce que True Detective parvient à accomplir. Si l’on suit le programme pour l’évolution et l’intérêt des deux personnages, et non pas pour le mystère à résoudre, les chances d’être séduits sont assez bonnes.
La critique complète est disponible sur le site USA Today
Variety
Au premier abord, True Detective a l’air d’une énième série policière du Câble, portée par un casting alléchant, associant le bankable Matthew McConaughey à Woody Harrelson. En peu de temps, ce show hypnotisant parvient à développer son propre style, grâce à un mystère à tiroirs et des personnages qui s’avèrent être les moins conventionnels vus depuis bien longtemps. Riche et intéressant, ce drame en huit parties intègre le haut du panier des productions de la chaîne, offrant une originalité qu’on ne retrouve nulle part à la télévision.
La critique complète est disponible sur le site Variety
Le Monde
par Pierre Serisier
True Detective est un polar, un vrai (…) Elle en reprend d'une manière assez scrupuleuse les codes, sans chercher à les détourner, sans chercher à s'en éloigner, les assumant jusqu'au bout afin de revendiquer son identité.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Olivier Joyard
La série a su créer un monde d’une ampleur magistrale, rejoignant probablement sans le soupçonner une modernité cinématographique pointue (celle d’Apichatpong Weerasethakul, palme d’or avec Oncle Boonmee en 2011) en malaxant ensemble les hommes et les cieux, le passé et le présent, les morts et les vivants.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Bruno Icher
True Detective n’est pas seulement le petit miracle d’un système narratif diabolique et de l’addition d’une impeccable bibliographie. La série est aussi portée par la mise en scène de Cary Fukunaga, seul aux manettes du premier au dernier épisode, qui s’est autorisé toutes sortes d’audace.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télé Loisirs
par Marion Olité
Derrière la caméra, le virtuose Cary Fukunaga a enflammé les téléspectateurs avec son plan séquence de six minutes dans l'épisode 4. La performance d'un Matthew McConaughey habité en flic asocial, et résolument pessimiste (ou réaliste selon l'appréciation de chacun) sur l'humanité, restera dans les mémoires. Tout comme son accent... Woody Harrelson lui offre le répondant nécessaire en terrien imparfait.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Entertainment weekly
par Melissa Maerz
[A propos de la saison 2] Pour le moment, mes attentes sont toujours fortes - probablement trop élevées pour cette série. Mais peut être que vous ne pouvez pas vraiment détester True Detective à moins que vous ne l'aimiez au point qu'elle ne vous déçoive.
La critique complète est disponible sur le site Entertainment weekly
L'Express
par Benjamin Fau
True Detective transcende les clichés (bien présents quand même) et s'impose comme une des nouvelles références des polars télévisés.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par Etienne de Haas
True Detective est un ensemble incroyablement dense et riche, où l'on ne cherche jamais le gadget ou le tic de mise en scène gratuit. Ni à faire poireauter le fan pendant plusieurs épisodes avant de pousser sur l’accélérateur pour le season finale. Une seule réserve quand même : un dernier épisode pas tout à fait la hauteur du vertige du reste.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Slate
par Willa Paskin
[A propos de la saison 2] La nouvelle saison de True Detective, particulièrement étant donné le poids des attentes, est remarquablement solide. Ce n'est pas un flop. Il manque l'attrait évident de ses prédécesseurs, mais je suis toujours curieuse de voir comment elle se développe.
La critique complète est disponible sur le site Slate
Télérama
par Pierre Langlais
True Detective n’est peut-être pas une oeuvre qui changera à tout jamais la face des séries – sauf si l’on pense qu’elle valide un peu plus encore le sacre des formats resserrés, miniséries et anthologies. Mais elle est un modèle d’excellence, une série de genre poussée dans ses derniers retranchements, qui atteint des sommets côté jeu et dialogues, et brille par sa mise en scène et son intrigue.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
DailyMars
par Nicolas Robert
True Detective saison 1 est l’histoire d’un homme, Rust Cohle, confronté à un crime qui éprouve la vision consciente et inconsciente qu’il a du monde. Plus on se rapproche de ça, plus la série est captivante. Et c’est lorsque l’on s’en éloigne que l’intensité baisse.
La critique complète est disponible sur le site DailyMars
New York Post
par Robert Rorke
[A propos de la saison 2] Si True Detective est plus qu'un moyen pour des stars éclipsées de relancer leur carrière, Pizzolatto & cie. vont devoir aller plus loin dans une histoire qui divertit et pour nous impressionner tout autant que leurs prédécesseurs.
La critique complète est disponible sur le site New York Post
New York Post
McConaughey et Harrelson livrent des performances de premier choix, si bien qu’on ne serait pas surpris s’ils ne se supportaient pas dans la vraie vie, tant l’animosité entre les deux semble réelle. Mais les situations sont parfois exagérées et le rythme trop lent. J’attendais le moment qui me clouerait à mon fauteuil, il n’est malheureusement jamais arrivé…
La critique complète est disponible sur le site New York Post
Time
Pour faire court : j’ai beaucoup aimé True Detective, mais comme pour House of cards, nous avons à faire à d’excellentes performances, à défaut d’une excellente série.
La critique complète est disponible sur le site Time
The Hollywood Reporter
par Tim Goodman
[A propos de la saison 2] True Detective se donne tellement de mal qu'on en souffre... Pizzolatto a inexplicablement fait rentrer ses personnages dans des séquences clipées et elliptiques. Elles s'enchainent si vite que vous réalisez vite qu'elles n'apportent aucun rythme et aucun réalisme aux personnages.
La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter
Variety
par Brian Lowry
[A propos de la saison 2] Bien que globalement regardable, l'inspiration qui avait fait de la première saison une obsession pour beaucoup semble être sortie de la prose de l'auteur Nic Pizzolatto.
La critique complète est disponible sur le site Variety
New York Times
Les flashbacks auraient pu déranger et nous faire décrocher, mais ils se révèlent au final parfaitement utilisés. Les choses se gâtent pourtant à partir du deuxième épisode… Le réalisateur Cary Joji Fukunaga ne semble pas très inspiré à mettre en scène les dialogues lourds de sens signés par Nic Pizzolatto. Il y a certes des passages réussis, mais ce sont en général les moins bavards…
La critique complète est disponible sur le site New York Times
Washington Post
True Detective est (…) une drogue sans effets addictifs. Elle reprend l’ambiance sombre et familière d’autres programmes récents (The Killing et Broadchurch par exemple), tout en y ajoutant quelques éléments nouveaux à ses enjeux artistiques, sans vraiment parvenir à les concrétiser.
La critique complète est disponible sur le site Washington Post
Arte
par Manuel Raynaud
En embarquant une philosophie qui nie l’existant, True Detective nie d’abord ce que la série peut être (un formidable outil de conteur), avant même de nier ce qu’elle peut, elle-même et plus trivialement, raconter.
La critique complète est disponible sur le site Arte
Critictoo
par Fabien
De ce qui les sépare tant à ce qui les rend semblables, tout a été soigneusement exposé pour nous dresser des portraits nuancés au fil d’une enquête confectionnée pour nous montrer l’horreur cachée à la vue de tous, mais que seuls certains parviennent à percevoir. Ce fut parfois poussif sur différents aspects, la personnalité de Rust pouvant par moment étouffer le reste, mais une fois que l’on est arrivé à cette conclusion, cela forme un tout cohérent.
La critique complète est disponible sur le site Critictoo
Ecran Large
Récit intimiste, ambiance à la Michael Mann, plan séquence à la Cuaron, récit d'infiltration, film d'horreur, plongée dans le fantastique... Idées et concepts se mélangent après être régulièrement introduits dans les épisodes successifs. Un des immenses plaisirs du visionnage provient évidemment de sa variété.
San Francisco Chronicle
Les performances de Woody Harrelson et Matthew McConaughey figurent parmi les meilleures vues cette saison à la télévision, voire toutes années confondues.
The Hollywood Reporter
True Detective a trois qualités qui forcent l’admiration. Le jeu de Matthew McConaughey et Woody Harrelson, qui est au-dessus de tout. L’écriture, du créateur de la série et romancier Nic Pizzolatto, qui alterne entre monologues grandiloquents et moments plus contemplatifs. Enfin, le réalisateur Cary Fukunaga apporte une ambiance élégante à base de grands espaces (l’action se situe en Louisiane). Avec Pizzolatto et Fukunaga aux commandes des huit épisodes, on sent bien que l’ensemble est le fruit d’une vision commune entre les deux artistes.
USA Today
La mauvaise nouvelle est que la série se repose un peu trop sur les performances de ses acteurs. L’enquête au cœur du récit est trop familière et pas particulièrement passionnante. Les spectateurs les plus impatients souhaiteront plus de clarté et de rapidité dans la résolution des faits. Ces défauts mineurs n’enlèvent rien à ce que True Detective parvient à accomplir. Si l’on suit le programme pour l’évolution et l’intérêt des deux personnages, et non pas pour le mystère à résoudre, les chances d’être séduits sont assez bonnes.
Variety
Au premier abord, True Detective a l’air d’une énième série policière du Câble, portée par un casting alléchant, associant le bankable Matthew McConaughey à Woody Harrelson. En peu de temps, ce show hypnotisant parvient à développer son propre style, grâce à un mystère à tiroirs et des personnages qui s’avèrent être les moins conventionnels vus depuis bien longtemps. Riche et intéressant, ce drame en huit parties intègre le haut du panier des productions de la chaîne, offrant une originalité qu’on ne retrouve nulle part à la télévision.
Le Monde
True Detective est un polar, un vrai (…) Elle en reprend d'une manière assez scrupuleuse les codes, sans chercher à les détourner, sans chercher à s'en éloigner, les assumant jusqu'au bout afin de revendiquer son identité.
Les Inrockuptibles
La série a su créer un monde d’une ampleur magistrale, rejoignant probablement sans le soupçonner une modernité cinématographique pointue (celle d’Apichatpong Weerasethakul, palme d’or avec Oncle Boonmee en 2011) en malaxant ensemble les hommes et les cieux, le passé et le présent, les morts et les vivants.
Libération
True Detective n’est pas seulement le petit miracle d’un système narratif diabolique et de l’addition d’une impeccable bibliographie. La série est aussi portée par la mise en scène de Cary Fukunaga, seul aux manettes du premier au dernier épisode, qui s’est autorisé toutes sortes d’audace.
Télé Loisirs
Derrière la caméra, le virtuose Cary Fukunaga a enflammé les téléspectateurs avec son plan séquence de six minutes dans l'épisode 4. La performance d'un Matthew McConaughey habité en flic asocial, et résolument pessimiste (ou réaliste selon l'appréciation de chacun) sur l'humanité, restera dans les mémoires. Tout comme son accent... Woody Harrelson lui offre le répondant nécessaire en terrien imparfait.
Entertainment weekly
[A propos de la saison 2] Pour le moment, mes attentes sont toujours fortes - probablement trop élevées pour cette série. Mais peut être que vous ne pouvez pas vraiment détester True Detective à moins que vous ne l'aimiez au point qu'elle ne vous déçoive.
L'Express
True Detective transcende les clichés (bien présents quand même) et s'impose comme une des nouvelles références des polars télévisés.
L'Obs
True Detective est un ensemble incroyablement dense et riche, où l'on ne cherche jamais le gadget ou le tic de mise en scène gratuit. Ni à faire poireauter le fan pendant plusieurs épisodes avant de pousser sur l’accélérateur pour le season finale. Une seule réserve quand même : un dernier épisode pas tout à fait la hauteur du vertige du reste.
Slate
[A propos de la saison 2] La nouvelle saison de True Detective, particulièrement étant donné le poids des attentes, est remarquablement solide. Ce n'est pas un flop. Il manque l'attrait évident de ses prédécesseurs, mais je suis toujours curieuse de voir comment elle se développe.
Télérama
True Detective n’est peut-être pas une oeuvre qui changera à tout jamais la face des séries – sauf si l’on pense qu’elle valide un peu plus encore le sacre des formats resserrés, miniséries et anthologies. Mais elle est un modèle d’excellence, une série de genre poussée dans ses derniers retranchements, qui atteint des sommets côté jeu et dialogues, et brille par sa mise en scène et son intrigue.
DailyMars
True Detective saison 1 est l’histoire d’un homme, Rust Cohle, confronté à un crime qui éprouve la vision consciente et inconsciente qu’il a du monde. Plus on se rapproche de ça, plus la série est captivante. Et c’est lorsque l’on s’en éloigne que l’intensité baisse.
New York Post
[A propos de la saison 2] Si True Detective est plus qu'un moyen pour des stars éclipsées de relancer leur carrière, Pizzolatto & cie. vont devoir aller plus loin dans une histoire qui divertit et pour nous impressionner tout autant que leurs prédécesseurs.
New York Post
McConaughey et Harrelson livrent des performances de premier choix, si bien qu’on ne serait pas surpris s’ils ne se supportaient pas dans la vraie vie, tant l’animosité entre les deux semble réelle. Mais les situations sont parfois exagérées et le rythme trop lent. J’attendais le moment qui me clouerait à mon fauteuil, il n’est malheureusement jamais arrivé…
Time
Pour faire court : j’ai beaucoup aimé True Detective, mais comme pour House of cards, nous avons à faire à d’excellentes performances, à défaut d’une excellente série.
The Hollywood Reporter
[A propos de la saison 2] True Detective se donne tellement de mal qu'on en souffre... Pizzolatto a inexplicablement fait rentrer ses personnages dans des séquences clipées et elliptiques. Elles s'enchainent si vite que vous réalisez vite qu'elles n'apportent aucun rythme et aucun réalisme aux personnages.
Variety
[A propos de la saison 2] Bien que globalement regardable, l'inspiration qui avait fait de la première saison une obsession pour beaucoup semble être sortie de la prose de l'auteur Nic Pizzolatto.
New York Times
Les flashbacks auraient pu déranger et nous faire décrocher, mais ils se révèlent au final parfaitement utilisés. Les choses se gâtent pourtant à partir du deuxième épisode… Le réalisateur Cary Joji Fukunaga ne semble pas très inspiré à mettre en scène les dialogues lourds de sens signés par Nic Pizzolatto. Il y a certes des passages réussis, mais ce sont en général les moins bavards…
Washington Post
True Detective est (…) une drogue sans effets addictifs. Elle reprend l’ambiance sombre et familière d’autres programmes récents (The Killing et Broadchurch par exemple), tout en y ajoutant quelques éléments nouveaux à ses enjeux artistiques, sans vraiment parvenir à les concrétiser.
Arte
En embarquant une philosophie qui nie l’existant, True Detective nie d’abord ce que la série peut être (un formidable outil de conteur), avant même de nier ce qu’elle peut, elle-même et plus trivialement, raconter.
Critictoo
De ce qui les sépare tant à ce qui les rend semblables, tout a été soigneusement exposé pour nous dresser des portraits nuancés au fil d’une enquête confectionnée pour nous montrer l’horreur cachée à la vue de tous, mais que seuls certains parviennent à percevoir. Ce fut parfois poussif sur différents aspects, la personnalité de Rust pouvant par moment étouffer le reste, mais une fois que l’on est arrivé à cette conclusion, cela forme un tout cohérent.