Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Huffington Post
C'est extraordinaire que tant d'éléments disparates tiennent aussi bien ensemble dans cette série, qui réussit à être aussi subversive que sérieuse, douce que vicieusement caustique (...) Il y a quelque chose de franchement rafraichissant dans le fait qu'une série plonge aussi franchement dans des sujets que d'autres shows réservent par exemple aux épisodes spéciaux ou aux apartés un peu osés.
La critique complète est disponible sur le site Huffington Post
Uncle Barky
Située dans une prison fédérale fictionnelle, Orange is the New Black n'est pas censée être sombre, rude ou violente, en tout cas autant qu'une certaine ancienne série de HBO au long cours. Le premier épisode inocule d'ailleurs ce message très clair lorsque le garde Sam Healy dit à la nouvelle arrivante Piper Chapman : "Ce n'est pas Oz ici. Les filles de battent à coup de potins et de rumeurs... et tu n'es pas obligée d'avoir des rapports lesbiens" (...) Schilling, Prepon et Mulgrew sont toutes incroyables de bout en bout, que ce soit derrière les barreaux de la prison ou dans les flashbacks de la vie civile. Mais les autres personnages sont tout aussi fascinants, offrant à cette série des possibilités innombrables d'histoires à raconter, pour beaucoup de saisons encore, avec un peu de chance.
La critique complète est disponible sur le site Uncle Barky
Washington Post
Orange is the New Black est le premier coup magistral de Netflix depuis son entrée sur le terrain de la production originale (...) Ces femmes et leurs histoires composent une tapisserie aussi étrange que triste, mais la série n'est en aucun cas un Oz au féminin (...) Kohan et ses scénaristes sont fascinés par le million de petits détails qui forment un royaume aussi crédible que désenchanté. Chaque épisode contient des révélations fascinantes sur le monde de la prison, presque comme si la série avait une intention documentaire.
La critique complète est disponible sur le site Washington Post
TV Guide
Avec Orange is the New Black, Netflix réussit enfin à prendre son envol avec un programme incroyablement divertissant, qui est réellement et énergiquement original (...) Ce qui rend Orange si satisfaisante c'est qu'elle se dévoile à travers des intrigues prometteuses, qu'elles concernent Piper ou ses camarades de prison.
La critique complète est disponible sur le site TV Guide
The Hollywood Reporter
Schilling est si crédible dans le rôle de Piper que c'est elle qui fait fonctionner instantanément Orange is the New Black. Elle est douce, adorable, drôle, et on croit réellement que ce personnage ait pu faire une erreur il y a une dizaine d'années, s'en soit sortie et ait recommencé sa vie avec positivité, animée par un nouvel objectif (...) Au final, "surprenant" est sûrement l'adjectif le plus approprié concernant Orange is the New Black. La série offre plus que ce qu'on attend d'elle au départ, et même lorsqu'elle propose quelque chose de prévisible, ou tout droit sorti du guide des "séries situées dans une prison pour femmes", elle le contre avec un élément frais et inattendu.
La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter
Entertainment weekly
Voilà une série très drôle et parfois même très émouvante, avec une distribution éclatante et un point de vue provocant sur la façon dont les races, le pouvoir et les poulets magiques fonctionnent au sein du système pénal. Concernant les poulets, nous y reviendrons plus tard... (...) Dans un épisode, Piper remarque un poulet à l'extérieur, et la chef de la prison, qui croit que l'animal est magique, se plaint du fait que les prisonnières noires vont l'attraper avant elle. "Pourquoi ?" demande Piper, "Parce que tous les Noirs aiment le poulet ?" La chef lui répond : "Ne sois pas raciste. C'est parce qu'ils sont tous sous héroïne. Quelqu'un m'a dit un jour que les poulets contiennent de l'héroïne." Un véritable exemple de logique inversée, mais dans un monde où les gens sont bien sont enfemés et que des poulets magiques volent, cela fait parfaitement sens.
La critique complète est disponible sur le site Entertainment weekly
Variety
Schilling, pour être honnête, est coincée dans un rôle ingrat (...) Les meilleurs éléments de la série proviennent de la multitude de personnages secondaires (...) Au final, la demi-douzaine d'épisodes visionnés justifient la confiance de Netflix, et même sans connaître avec précision l'agorithme de la plateforme et son influence sur le succès d'une série, ce n'est pas compliqué de comprendre pourquoi Netflix croit dans ce savant mélange d'ingrédients et de concepts marketés, lesquels seront appréciés par les téléspectateurs avant même qu'ils arrivent dans leurs assiettes.
La critique complète est disponible sur le site Variety
Boston Herald
Au vu du premier épisode, la série ressemble à une heure passée en déséquilibre entre le rire à gorge déployée et une intrigue authentiquement dramatique (...) On peut mettre à profit son temps, perdre son temps ou faire son temps : Orange is the New Black pourrait vous laisser l'impression d'avoir été puni pour quelque chose.
La critique complète est disponible sur le site Boston Herald
Pop Matters
Bien entendu, plus vous passez du temps avec les nouveaux camarades d'infortune de Chapman, plus riche devient la série, mais cela amène aussi du flou. Est-ce que le show suit les découvertes de Chapman ? S'agit-il d'une critique substantielle de la lutte des classes ou du racisme en général ? Est-ce un mélodrame construit sur un clash des personnages et de leurs ambitions ? Même si cette série pourrait tout être toutes ces choses, cela n'en fait pas forcément un tout cohérent.
La critique complète est disponible sur le site Pop Matters
Newsday
Orange démarre avec le plus vieux "truc" de la télévision, en tout cas du câble : de la nudité, beaucoup de nudité, et une scène lesbienne, ou deux (...) Orange est une galère, où les minutes se transforment en heures, et les heures en jours (...) Mais c'est aussi une comédie qui aimerait être un drama. C'est un équilibre précaire qui fonctionne, trop peu souvent.
La critique complète est disponible sur le site Newsday
Huffington Post
C'est extraordinaire que tant d'éléments disparates tiennent aussi bien ensemble dans cette série, qui réussit à être aussi subversive que sérieuse, douce que vicieusement caustique (...) Il y a quelque chose de franchement rafraichissant dans le fait qu'une série plonge aussi franchement dans des sujets que d'autres shows réservent par exemple aux épisodes spéciaux ou aux apartés un peu osés.
Uncle Barky
Située dans une prison fédérale fictionnelle, Orange is the New Black n'est pas censée être sombre, rude ou violente, en tout cas autant qu'une certaine ancienne série de HBO au long cours. Le premier épisode inocule d'ailleurs ce message très clair lorsque le garde Sam Healy dit à la nouvelle arrivante Piper Chapman : "Ce n'est pas Oz ici. Les filles de battent à coup de potins et de rumeurs... et tu n'es pas obligée d'avoir des rapports lesbiens" (...) Schilling, Prepon et Mulgrew sont toutes incroyables de bout en bout, que ce soit derrière les barreaux de la prison ou dans les flashbacks de la vie civile. Mais les autres personnages sont tout aussi fascinants, offrant à cette série des possibilités innombrables d'histoires à raconter, pour beaucoup de saisons encore, avec un peu de chance.
Washington Post
Orange is the New Black est le premier coup magistral de Netflix depuis son entrée sur le terrain de la production originale (...) Ces femmes et leurs histoires composent une tapisserie aussi étrange que triste, mais la série n'est en aucun cas un Oz au féminin (...) Kohan et ses scénaristes sont fascinés par le million de petits détails qui forment un royaume aussi crédible que désenchanté. Chaque épisode contient des révélations fascinantes sur le monde de la prison, presque comme si la série avait une intention documentaire.
TV Guide
Avec Orange is the New Black, Netflix réussit enfin à prendre son envol avec un programme incroyablement divertissant, qui est réellement et énergiquement original (...) Ce qui rend Orange si satisfaisante c'est qu'elle se dévoile à travers des intrigues prometteuses, qu'elles concernent Piper ou ses camarades de prison.
The Hollywood Reporter
Schilling est si crédible dans le rôle de Piper que c'est elle qui fait fonctionner instantanément Orange is the New Black. Elle est douce, adorable, drôle, et on croit réellement que ce personnage ait pu faire une erreur il y a une dizaine d'années, s'en soit sortie et ait recommencé sa vie avec positivité, animée par un nouvel objectif (...) Au final, "surprenant" est sûrement l'adjectif le plus approprié concernant Orange is the New Black. La série offre plus que ce qu'on attend d'elle au départ, et même lorsqu'elle propose quelque chose de prévisible, ou tout droit sorti du guide des "séries situées dans une prison pour femmes", elle le contre avec un élément frais et inattendu.
Entertainment weekly
Voilà une série très drôle et parfois même très émouvante, avec une distribution éclatante et un point de vue provocant sur la façon dont les races, le pouvoir et les poulets magiques fonctionnent au sein du système pénal. Concernant les poulets, nous y reviendrons plus tard... (...) Dans un épisode, Piper remarque un poulet à l'extérieur, et la chef de la prison, qui croit que l'animal est magique, se plaint du fait que les prisonnières noires vont l'attraper avant elle. "Pourquoi ?" demande Piper, "Parce que tous les Noirs aiment le poulet ?" La chef lui répond : "Ne sois pas raciste. C'est parce qu'ils sont tous sous héroïne. Quelqu'un m'a dit un jour que les poulets contiennent de l'héroïne." Un véritable exemple de logique inversée, mais dans un monde où les gens sont bien sont enfemés et que des poulets magiques volent, cela fait parfaitement sens.
Variety
Schilling, pour être honnête, est coincée dans un rôle ingrat (...) Les meilleurs éléments de la série proviennent de la multitude de personnages secondaires (...) Au final, la demi-douzaine d'épisodes visionnés justifient la confiance de Netflix, et même sans connaître avec précision l'agorithme de la plateforme et son influence sur le succès d'une série, ce n'est pas compliqué de comprendre pourquoi Netflix croit dans ce savant mélange d'ingrédients et de concepts marketés, lesquels seront appréciés par les téléspectateurs avant même qu'ils arrivent dans leurs assiettes.
Boston Herald
Au vu du premier épisode, la série ressemble à une heure passée en déséquilibre entre le rire à gorge déployée et une intrigue authentiquement dramatique (...) On peut mettre à profit son temps, perdre son temps ou faire son temps : Orange is the New Black pourrait vous laisser l'impression d'avoir été puni pour quelque chose.
Pop Matters
Bien entendu, plus vous passez du temps avec les nouveaux camarades d'infortune de Chapman, plus riche devient la série, mais cela amène aussi du flou. Est-ce que le show suit les découvertes de Chapman ? S'agit-il d'une critique substantielle de la lutte des classes ou du racisme en général ? Est-ce un mélodrame construit sur un clash des personnages et de leurs ambitions ? Même si cette série pourrait tout être toutes ces choses, cela n'en fait pas forcément un tout cohérent.
Newsday
Orange démarre avec le plus vieux "truc" de la télévision, en tout cas du câble : de la nudité, beaucoup de nudité, et une scène lesbienne, ou deux (...) Orange est une galère, où les minutes se transforment en heures, et les heures en jours (...) Mais c'est aussi une comédie qui aimerait être un drama. C'est un équilibre précaire qui fonctionne, trop peu souvent.