Koji, jeune étudiant photographe, accepte un jour la commande d’un client qui lui demande d’espionner son amie. Cette mission va bouleverser la vie de Koji et changer son rapport avec les femmes, notamment celles qui lui sont proches : Miyu, son amie d’enfance et confidente et Misaki, la fille de sa belle-mère.
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C'était beau. La douceur des films japonais :'). Le héros, ce que j'ai bien aimé, c'est qu'il n'était pas le beau ténébreux qui ne sourit jamais comme les Japonais ont tendance à faire. Nope, c'est un type lambda, un peu paumé, qui a des rêves et des doutes. Le coup du fantôme du meilleur ami décédé n'est pas du tout dérangeant car c'est limite "naturel" et pas du tout surnaturel pour les Japonais, donc ça s'intègre très bien. Il ...
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L'histoire de la filature n'est qu'un alibi, truffée de fausses références qui ne vous seront d'aucun recours, parce que les gogos ont besoin de quelque chose à quoi se raccrocher, sinon ils angoissent, sont perdus, ne comprennent rien, n'y voit que du feu, ne s'enfermerait pas pendant 2 heures dans une salle obscure. Car si on enlevait cette intrigue en trompe-l’œil, on n'aurait l'impression d'assister seulement à quelques conversations ...
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Tokyo Park est un film qui ne peut que laisser une impression bizarre. Celle d'avoir vu une oeuvre qui, faute d'une ligne claire, à force de multiplier les intrigues, perd peu à peu de sa substance, pour ne pas dire de son intérêt. D'autant plus regrettable que Shinji Aoyama possède un beau sens de la mise en scène, sait installer des atmosphères et nous gratifie de quelques gros plans magnifiques qui suscitent une réelle émotion (sur ...
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Décidément, le cinéma japonais nous offre des moments d’introspection divins….Ce film qui semble parfois sans propos est tout simplement un merveilleux discours amoureux…..Je l’ai ressenti comme tel avec des dialogues étonnants (la femme qui vous aime est toujours une étrangère) et pas mal de répliques , (si on prête l’oreille), qui ont de quoi titiller toute sensibilité….Le jeune photographe dont la mission est d’espionner ...
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Adaptation
Suite à une proposition du producteur, Shinji Aoyama a décidé de faire ce film en travaillant sur l'adaptation du roman "Tokyo Koen", le best-seller de Yukiya Shôji au Japon. Il a alors collaboré avec ses anciens étudiants, les scénaristes Masaaki Uchida et Norihiko Goda pour écrire l'adaptation du roman : "On a beaucoup discuté. Il y a donc des traces de notre discussion dans le scénario final", confie-t-il.
Le rituel du matin
Chaque matin, pendant tout le tournage, le réalisateur a regardé des fragments de films d'Alfred Hitchcock : "Je me réveillais à 5 heures, et je regardais quelques films d’Hitchcock, mais jamais plus d’un quart d’heure. Ce n’était pas pour imiter ses films, mais simplement pour me concentrer. C’était une sorte de rituel du matin", partage-t-il.
Influences
Avant d'entamer l'écriture du film, Shinji Aoyama s'est imprégné des films de Masahiro Makino : "Ses films sont classiques et limpides, mais, au-delà de cette transparence, il reste quelque chose de personnel, une marque de l’auteur", explique-t-il. La préparation de Tokyo Park lui a ainsi permis de revoir plusieurs films de ce réalisateur.
Nationalité
Japon
Distributeur
Alfama Films
Récompense
# prix
Année de production
2011
Date de sortie DVD
-
Date de sortie Blu-ray
-
Date de sortie VOD
-
Type de film
Long métrage
Secrets de tournage
8 anecdotes
Box Office France
5 769 entrées
Budget
-
Langues
Japonais
Format production
-
Couleur
Couleur
Format audio
-
Format de projection
-
N° de Visa
133706
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