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    Toutes les critiques de La Voix du Nord
    Joli joli
    La Voix du Nord
    4,0
    Presse
    3,3
    Clara Luciani illumine cette comédie romantique à tiroirs, à l’esthétique rétro et aux airs de comédie musicale. Un régal.
    My Sunshine

    My Sunshine

    Titre original Boku No Ohisama
    La Voix du Nord
    3,0
    Presse
    3,5
    Bien qu’il ne soit constitué que de petites touches pointillistes, "My Sunshine" est un très joli film.
    Planète B
    La Voix du Nord
    2,0
    Presse
    2,7
    Sur le papier, l’imaginaire déployé est prometteur mais il a du mal à trouver son incarnation sur l’écran. Le film n’assume pas son manque de moyens (quelques effets vraiment évitables).
    Mon inséparable
    La Voix du Nord
    3,0
    Presse
    3,3
    La tonalité dramatique se révèle parfois pesante, mais la force du propos et de l’interprétation emporte notre adhésion.
    Oh, Canada
    La Voix du Nord
    3,0
    Presse
    3,4
    Voilà l’exemple d’un film faussement modeste et classique mais dont la mise en scène, entre ombre et lumière, couleurs et noir et blanc, dévoile peu à peu la richesse.
    Le Beau rôle
    La Voix du Nord
    3,0
    Presse
    3,5
    Au final, c’est drôle et plutôt fin dans sa joyeuse analyse comportementale. Et disons les choses, ça donne une modeste mais très jolie comédie romantique.
    Sarah Bernhardt, La Divine
    La Voix du Nord
    4,0
    Presse
    3,5
    Le tableau est foisonnant, et construit autour de deux événements phares : un moment de consécration… et l’amputation d’une jambe. Majoritairement posté à l’écart de la scène, mais attaché à dépeindre un théâtre permanent, le film traduit l‘amour des mots, la liberté de conscience et la bataille contre les carcans. Prêts pour les trois coups ?
    Guérilla des FARC, l'avenir a une histoire
    La Voix du Nord
    3,0
    Presse
    3,5
    Il faut parfois s’accrocher pour suivre la chronologie, comprendre cette histoire qu’on connaît si mal, mais Pierre Carles nous fait rencontrer des personnages extraordinaires, telle Audrey la Française, alias Nathalie Mistral, quinze ans de maquis. Il soulève aussi des questions essentielles et universelles sur l’engagement, comment on le vit, comment il est vu (et discrédité).
    Jamais sans mon psy
    La Voix du Nord
    1,0
    Presse
    2,0
    Le spectateur a toujours un temps d’avance sur les gags. On a surtout de la peine pour les comédiennes, flanquées de rôles féminins qu’on croirait écrits au siècle dernier.
    Vingt dieux
    La Voix du Nord
    3,0
    Presse
    4,1
    Le spectateur ne peut qu’être touché par la maladroite romance s’épanouissant dans le fourrage et hypnotisé par la coagulation du lait dans son chaudron fumant. Premier long-métrage qui aurait sans doute mérité un affinage plus prolongé, cette modeste fresque n’en demeure pas moins une très jolie surprise.
    Les Femmes au balcon
    La Voix du Nord
    2,0
    Presse
    3,1
    Film de groupe par excellence célébrant la réappropriation du corps, Les Femmes au balcon en laissera quelques-uns sur le côté, mais pas forcément parce qu’il met les hommes dans une position inconfortable. Ces dernières semaines, The Substance et Animale ont eux aussi fait exploser des lignes similaires avec une rage sans doute mieux cadrée.
    Leurs Enfants après eux
    La Voix du Nord
    4,0
    Presse
    3,5
    On n’est pas près d’oublier Paul Kircher (Le Règne animal) et Angelina Woreth (Ma vie, ma gueule), acteurs d’un amour en fuite, magnifiques incarnations d’une jeunesse s’ébrouant dans les prémices d’un monde qui va s’effondrer. Sur un slow de Francis Cabrel.
    Limonov, la ballade

    Limonov, la ballade

    Titre original Limonov, The Ballad of Eddie
    La Voix du Nord
    3,0
    Presse
    3,3
    Serebrennikov ne fait bien sûr pas un héros de ce misanthrope pseudo-dissident et surtout opportuniste (Ben Whishaw, étonnant dans ce personnage caméléon) qui ne pense qu’à laisser une trace. Ce faisant, il maltraite sévèrement la notion d’idéologie et c’est sans doute ce qui fait tout l’intérêt de ce portrait foisonnant, ambigu et dérangeant.
    Wicked
    La Voix du Nord
    3,0
    Presse
    3,2
    Mieux charpenté que Wonka il y a un an, nettement moins virtuose que le West Side Story de 2021, Wicked ne défie pas toujours la gravité mais soigne incontestablement son public avec un enthousiasme qui tombe à pic en ce mois de décembre. À voir en famille !
    Daddio
    La Voix du Nord
    1,0
    Presse
    2,7
    Le vertige existentiel nous conduit plutôt dans un tunnel de banalités. On se dit même que dans la vraie vie, devant la lourdeur faussement complice du chauffeur psychanalyste, une femme aurait changé de taxi au bout de cinq minutes.
    En fanfare
    La Voix du Nord
    4,0
    Presse
    3,8
    Une formidable aventure humaine, souriante et émouvante.
    Rabia
    La Voix du Nord
    2,0
    Presse
    3,4
    Le parcours de Jessica devenue Rabia – désenchantement, révolte, soumission, embrigadement – apparaît dès lors comme mécanique, artificiel à l’image du décor et des éclairages, et active peu notre empathie.
    Grand Tour
    La Voix du Nord
    2,0
    Presse
    3,4
    Diaporama contemplatif hors du temps et jeu de piste accroché à une époque coloniale où tout le monde semble se perdre (y compris le spectateur), Grand Tour a obtenu le prix de la mise en scène au dernier Festival de Cannes. Mais en cherchant à nous envoûter, il a plutôt fini par nous ennuyer.
    Animale
    La Voix du Nord
    3,0
    Presse
    3,3
    Dommage, malgré ce très fort potentiel, Animale dévoile trop tôt et trop explicitement la direction qu’il va emprunter. On n’en dira pas plus, mais l’atmosphère de mystère en pâtit et on anticipe beaucoup de choses. Quelle satisfaction néanmoins de découvrir une telle proposition de cinéma, audacieuse, inédite, soignée et décomplexée.
    Le Panache
    La Voix du Nord
    2,0
    Presse
    2,8
    « Assumer qui on est »… On lève tous la main pour approuver bien sûr. Même si on regrette le côté superficiel d’un récit qui ne fait pas vraiment naître l’émotion. Ce qu’avait beaucoup mieux réussi Jennifer Devoldère dans son précédent film, Sage-homme (2023), histoire de transmission plus convaincante, en milieu hospitalier.
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