Ce nouveau Marvel tente de rompre la routine super-héroïque avec son équipe de mercenaires dysfonctionnels évoquant leurs troubles mentaux entre deux scènes d’action. De quoi renouveler, un peu, le genre dans ce 36eme film du Marvel Cinematic Universe.
L’actrice Mélanie Thierry a appris l’ukrainien pour le film. Déjà présente dans La douleur , précédent film d’Emmanuel Finkiel, elle est bouleversante.
À travers l’installation chez un enseignant, le temps d’un été, d’une famille en marge de la société, Baya Kasmi, questionne la normalité et la parentalité avec brio.
Ce film bouleversant célèbre le pouvoir libérateur de la littérature à travers les réunions secrètes d’un club de femmes au pays des Mollahs, dans les années 1980-90.
Loin de la déconstruction « wokiste » annoncée par ses détracteurs, il s’agit d’un divertissement familial qui revisite le conte. Pas de quoi s’énerver donc. Ni forcément de s’enthousiasmer.