La comédienne de "À plein temps" et "Annie colère" nous en « met plein la vue » sous les traits de Mona, mais sa performance est si ostentatoire qu’elle finit par nuire au film.
Dans son premier long métrage cocasse et spirituel, Victor Rodenbach, admirateur de Leo McCarey, actionne les rouages de la comédie de remariage pour raconter l’histoire de deux amoureux fâchés, mais inséparables.
Une fiction poussive et sans imagination qui repose intégralement sur les épaules de Sandrine Kiberlain, une de nos meilleures actrices qui, pour une fois, semble embarrassée par sa partition.
À travers "The Wall", Philippe Van Leeuw, sans insistance ni moralisme, donne à voir, via les faits et gestes d’une héroïne aveuglée par son idéologie belliqueuse, certains aspects délétères des États-Unis d’aujourd’hui : racisme, bigoterie extrême, culte de la pureté.
Ce film âpre, remarquablement interprété par Nisrin Erradi (la révélation de "Adam"), témoigne avec un implacable réalisme du « sort » réservé à ces chanteuses qui sont souvent considérées comme des prostituées par leurs patrons adipeux et par des spectateurs voyeuristes.
À travers son film « En fanfare », qui sortira ce mercredi 27 novembre, le cinéaste français de 66 ans Emmanuel Courcol honore le genre de la comédie sociale en décrivant, avec finesse, les relations agitées entre deux frères qui se rencontrent sur le tard.
Jennifer Devoldère appuie violemment sur la pédale de la sensiblerie dans ce film mièvre où José Garcia, la mine compréhensive, campe le pédagogue éclairé.
Une histoire tellement extravagante que l’on se surprend à regarder sans déplaisir cette fiction par ailleurs d’une platitude formelle involontairement exemplaire.