Mon compte
    Toutes les critiques de Le Monde
    Une vie rêvée
    Le Monde
    2,0
    Presse
    3,2
    On partait sur un film social moyennement subtil, on aboutit à quelque chose de plus surprenant : un improbable conte de fées, dans lequel l’auteur rend un impertinent hommage à sa propre mère.
    Mi Bestia
    Le Monde
    2,0
    Presse
    3,0
    Mi Bestia est une relecture, à modeste budget, du mythe du loup-garou et c’est dans les dernières images du film que son naturalisme originel va se détruire, exploser, pour se transformer en autre chose. Le réel rejoint l’allégorie.
    La Partition

    La Partition

    Titre original Sterben
    Le Monde
    3,0
    Presse
    3,3
    Pendant trois heures, en quatre mouvements, cette Partition sèche et explosive va démêler les fils d’existences meurtries, en compagnie d’acteurs excellents. Son mouvement avance, de débordements chauds comme la lave à la froideur stupéfiante des sentiments. Dans la veine du feu d’artifice Toni Erdmann (2016) de Maren Ade, à ce jour inégalé.
    Tatami
    Le Monde
    3,0
    Presse
    3,9
    Un long-métrage solidement ficelé.
    À son image
    Le Monde
    4,0
    Presse
    4,1
    Dans l’événement politique d’une île en lutte, il y a toujours quelque chose de raté : une décoction lente qui fait qu’on ne comprend jamais qu’après-coup ce qu’on a vu, c’est-à-dire trop tard. C’est là que résident la mélancolie du film et sa plus profonde vérité.
    Dreaming Walls
    Le Monde
    3,0
    Presse
    3,6
    C’est ici, en pleins travaux, qu’intervient le film, qui enregistre dans la violente mutation en cours la vaine résistance et les rêves dissipés des derniers locataires, la cohorte des fantômes venant à leur suite hanter ces lieux jadis saisis par l’utopie.
    Paradise is Burning

    Paradise is Burning

    Titre original Paradiset brinner
    Le Monde
    3,0
    Presse
    3,2
    Le procédé manque à convaincre, devient rapidement irritant et finit par suggérer la relative vacuité de son propos. Sur un sujet identique, Isild Le Besco avait signé, en 2003, Demi-tarif, un film autrement convaincant.
    La Nuit se traîne
    Le Monde
    2,0
    Presse
    3,4
    Malgré un savoir-faire indéniable dans la scène d’action, on ressort perplexe de cet exercice de style très appliqué qui s’épuise à imiter et enferme ses acteurs dans un jeu de rôles "à l’américaine" qui assèche leur présence.
    Septembre sans attendre

    Septembre sans attendre

    Titre original Volveréis
    Le Monde
    5,0
    Presse
    3,7
    D’autres matériaux nourrissent la fibre mélancolique de l’œuvre – car on défie quiconque de ne pas être ému. Tel ce faux flash-back d’Alex incrusté dans le récit, en fait une vidéo de l’acteur Vito Sanz jeune, filmé dans la vraie vie par une amie et découvrant Paris, que Trueba transforme en archive des temps heureux.
    La Prisonnière de Bordeaux
    Le Monde
    4,0
    Presse
    3,3
    La relation des deux femmes consistera ainsi à confronter deux « économies » du mensonge : l’une bourgeoise, qui déguise la réalité, l’autre prolétaire, qui procède d’une logique de survie. Ainsi le film s’oriente-t-il vers un magnifique retournement, une qualification positive de l’idée de trahison.
    La Belle affaire

    La Belle affaire

    Titre original Zwei zu Eins
    Le Monde
    2,0
    Presse
    2,9
    Inspirée d’une histoire vraie, cette comédie au sujet pour le moins original est assez platement mise en scène et se double d’un triangle amoureux qui convainc encore moins.
    Toubib
    Le Monde
    4,0
    Presse
    3,6
    Il n’est ni la démonstration d’un système en crise, ni l’effort d’héroïsation d’un médecin, ni la description du lien affectif avec ses patients. Plutôt un très beau portrait en mouvement.
    Le Dernier bus

    Le Dernier bus

    Titre original The Last Bus
    Le Monde
    1,0
    Presse
    2,0
    Outre cette macération sadomasochiste, le voyage est prétexte à un chapelet de rencontres-minute ineptes sur le plan dramaturgique, qui sont autant de lieux communs sur la société contemporaine. Cela s’appelle un calvaire.
    Hijo de Sicario

    Hijo de Sicario

    Titre original Sujo
    Le Monde
    2,0
    Presse
    3,2
    L’image est soignée, les personnages attachants, mais le découpage du film en épisodes plombe le rythme et étire le scénario, dont les rebondissements sont un peu attendus.
    Anzu, chat-fantôme

    Anzu, chat-fantôme

    Titre original Bakeneko Anzu-chan
    Le Monde
    3,0
    Presse
    3,3
    L’occasion est trop belle pour prendre la poudre d’escampette, et rompre avec la plaisante et poétique lenteur dans laquelle le film avait trouvé son rythme.
    Project Silence

    Project Silence

    Titre original Talchul: Project Silence
    Le Monde
    3,0
    Presse
    2,7
    Entre le film catastrophe, la dénonciation politique, le film d’horreur et la science-fiction, Project Silence décide de ne pas choisir, mais de s’inventer plutôt une forme extatique dont on se dit que le cinéma hollywoodien a perdu le secret.
    Girls Will Be Girls
    Le Monde
    3,0
    Presse
    3,5
    Dans un style élégant et langoureux, frôlant par moments une agréable torpeur, Shuchi Talati circule entre sphère sociale et recoins d’intimité sans que le film ne tombe jamais dans la mièvrerie.
    Emilia Perez
    Le Monde
    4,0
    Presse
    4,1
    Pour en apprécier le spectacle, il faut laisser au vestiaire l’exigence du réalisme et de la vraisemblance, et se laisser happer par l’énergie sentimentale et les ressorts archétypaux qui en gouvernent la dramaturgie, sous les auspices de la dissonance et de l’impureté.
    Johnny got his Gun

    Johnny got his Gun

    Titre original Johnny Got His Gun
    Le Monde
    4,0
    Presse
    4,2
    Le secret de ce film impitoyable est qu’il est éclairé de l’intérieur par la générosité de Trumbo, par son amour intense de la vie et des hommes. Johnny Got His Gun n’est pas seulement un cri de haine lancé contre la guerre. C’est aussi un hymne à la lumière, à la chaleur, à la douceur d’une présence amicale, au simple bonheur d’exister. 02/03/1972
    La Mélancolie

    La Mélancolie

    Titre original Watashitachi ha Otona
    Le Monde
    2,0
    Presse
    3,1
    La Mélancolie a des airs de promesse non tenue.
    Back to Top