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    Toutes les critiques de Cahiers du Cinéma
    Le Conte des contes, les films de Youri Norstein
    Cahiers du Cinéma
    4,0
    Presse
    4,6
    Déjà, en 1971, la séminale Bataille de Kerjenets, se jouait de la bidimensionnalité de sa technique et ajoutait à sa spectaculaire leçon d'animation d'icônes célébrant l'âme russe un hommage beaucoup plus subversif à Malevitch.
    Une langue universelle

    Une langue universelle

    Titre original Universal Language
    Cahiers du Cinéma
    4,0
    Presse
    3,1
    Une langue universelle […] puise dans la matérialité du réel pour mieux le réinventer, exagérant la fadeur de la ville en n’en conservant que le plus gris et le plus beige. 
    Sarah Bernhardt, La Divine
    Cahiers du Cinéma
    3,0
    Presse
    3,5
    La distance dans l’exubérance que trouve Kiberlain s’insinue dans le narcissisme lucide et amusé du monstre sacré. 
    Oh, Canada
    Cahiers du Cinéma
    4,0
    Presse
    3,3
    Plus Schrader assume la substitution des corps d’un plan à l’autre, plus il se rapproche d’une conception du cinéma opposée à toute unification identitaire. Chaque plan institue une différence d’avec soi, son corps, sa parole.
    Everybody Loves Touda
    Cahiers du Cinéma
    3,0
    Presse
    3,3
    La force du film réside dans sa mise en scène abrupte et sensuelle de la musique et la danse.
    Conte nuptial
    Cahiers du Cinéma
    3,0
    Presse
    2,8
    Envisageant toutes les combinaisons possibles de l’échange, Conte Nuptial tente, fragilement mais non sans audace, d’associer geste théorique et vaudeville féministe.
    Le Beau rôle
    Cahiers du Cinéma
    3,0
    Presse
    3,5
    Les deux acteurs donnent […] corps à un sentiment plus large qu’une chronique générationnelle : celui de se sentir perdu dans sa vie avant même d’avoir commencé à la vivre.
    Au cœur des volcans : Requiem pour Katia et Maurice Krafft

    Au cœur des volcans : Requiem pour Katia et Maurice Krafft

    Titre original The Fire Within: A Requiem For Katia And Maurice Krafft
    Cahiers du Cinéma
    4,0
    Presse
    4,0
    Un hommage aux allures d’aveu de rendez-vous manqué avec ceux dont il n’a pas été le collaborateur de leur vivant, regret qui semble être au cœur de ce Requiem qu’il leur consacre.
    Vingt dieux
    Cahiers du Cinéma
    4,0
    Presse
    4,1
    Idéalement interprétés par des acteurs non professionnels […], les personnages jouent le drame sans pathos, l’humour sans truculence et la tendresse sans joliesse.
    Saint-Ex
    Cahiers du Cinéma
    1,0
    Presse
    2,5
    Dès sa séquence d’ouverture, […] le sixième long-métrage de Pablo Agüero interroge par sa facture de film d’aventure vieillot. 
    Noël à Miller’s Point

    Noël à Miller’s Point

    Titre original Christmas Eve In Miller’s Point
    Cahiers du Cinéma
    5,0
    Presse
    3,1
    Tyler Taormina est sans doute de celles et ceux qui (se) prouvent en permanence l’existence de l’extraordinaire dans l’ordinaire, du sensationnel dans le quotidien. 
    Les Femmes au balcon
    Cahiers du Cinéma
    3,0
    Presse
    3,1
    Le clin d’œil à Fenêtre sur cour laisse vite place à un retournement burlesque, pop et péteur, qui dénonce les pires abus du genre masculin. 
    Fotogenico
    Cahiers du Cinéma
    4,0
    Presse
    3,5
    Cela fait du bien de voir une fantaisie qui n’est ni du maniérisme, ni du pastiche, ni du post-modernisme, mais le fruit d’un bricolage que l’on sent conquis à l’arrachée dans une joie adolescente.
    La Vie des hommes infâmes
    Cahiers du Cinéma
    4,0
    Presse
    3,4
    Deroo et Pistonne rendent à un nom dont il ne reste presque aucune mémoire, non seulement un récit, mais surtout un corps et un rapport à ce qui est. 
    Shambhala, le Royaume des cieux

    Shambhala, le Royaume des cieux

    Titre original Shambhala
    Cahiers du Cinéma
    2,0
    Presse
    3,4
    On ressent d’emblée devant Shambhala l’un des plus grands plaisirs que peut procurer le cinéma : celui de sentir qu’on explore à chaque séquence un espace, qu’on découvre petit à petit un monde qui ne nous est pas donné comme une évidence.
    Limonov, la ballade

    Limonov, la ballade

    Titre original Limonov, The Ballad of Eddie
    Cahiers du Cinéma
    2,0
    Presse
    3,3
    L’approche kaléidoscopique du personnage reste artificielle, tant Serebrennikov s’accroche à un unique fil directeur, qui minore l’importance de la politique : l’art.
    Leurs Enfants après eux
    Cahiers du Cinéma
    2,0
    Presse
    3,5
    Le film échoue cependant sur le même point essentiel que L’Amour ouf : une incapacité à saisir les enjeux éminemment politiques du récit. Le désespoir des ouvriers, la lutte des classes et les tensions entre communautés (la rivalité entre Anthony et Hacine, fils d’immigré) ne dépassent pas ici le statut de moteur romanesque, d’élément mélodramatique.
    Daddio
    Cahiers du Cinéma
    2,0
    Presse
    2,7
    Pour son premier long-métrage, Christy Hall fait à la fois simple et compliqué. Une voiture, deux personnages : difficile d’imaginer cadre plus serré. Mais rien de ce qui sera dit n’échappera à l’empire de la métaphore et de la signification. 
    Conclave
    Cahiers du Cinéma
    2,0
    Presse
    3,5
    Le cadre d’un conclave offre une spécificité narrative unique : celle d’un thriller électoral calfeutré dans un huis clos et dont la dramaturgie […] est renforcée par la volatilité du scrutin.
    100 000 000 000 000 - cent mille milliards
    Cahiers du Cinéma
    4,0
    Presse
    3,8
    De merveilleux, il est bien question dans ce film qui s’ouvre comme un conte […], mais d’un merveilleux en creux que Vernier jette ironiquement à la face de ses personnages, trio d’orphelins désenchantés. 
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