Jean Becker commence sa carrière comme assistant réalisateur pour son père Jacques Becker (dans Touchez pas au grisbi) mais collabore aussi avec d'autres cinéastes de renom tels que Julien Duvivier et Henri Verneuil. L'apprenti réalisateur signe au début des années 60 quelques films policiers avec Jean-Paul Belmondo en vedette, qui deviennent de grands succès, comme Un nommé La Rocca (1961) et Echappement libre (1964). On retrouve dans sa première œuvre les qualités de pudeur et d'élégance de son père. En tant qu'acteur, il tourne de nombreux plans dans Le Trou (1960), juste avant la mort de ce dernier. Son film, Tendre voyou, (1966) confirme par la suite une filiation qui n'était pas seulement génétique, mais également esthétique.Pas de caviar pour tante Olga constitue, en 1965, une incursion inattendue mais plutôt bienvenue dans un comique farfelu. Après un long ...
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