AvecJeffrey Deitch,
Larry Clark,
Neville Wakefield
Emporté par l'autodestruction, les drogues, l'amour, la tragédie, et un sens aigu de sa fin proche, Dash Snow a incarné autant la beauté que la violence de son époque. Dans un documentaire inédit, Cheryl Dunn suit les déambulations de cet artiste new-yorkais entre street art et polaroïds, avant sa mort par overdose d'héroïne en 2009, à l'âge de 27 ans.
Paris, Le Trocadéro. Math, Marie, Pacman, JP, Guillaume et Toff se retrouvent tous les jours au Dôme, derrière le Palais de Tokyo. C’est là où ils font du skate, s’amusent et se défoncent, à deux pas du monde confiné des arts qu’ils côtoient sans connaître.
Sept court métrages au travers desquels des réalisateurs et des artistes, parmi les plus visionnaires et provocateurs de leur génération, font se rencontrer l'art et le sexe.
AvecDavid Livingston,
Jonathan Velasquez,
Francisco Pedrasa
Au lieu d'adhérer aux normes de leur ghetto de Los Angeles, un groupe de skaters mexicanos opte pour aller à Beverly Hills séduire les jeunes filles riches en s'attirant les foudres de leurs parents, de la police locale et de leurs petits amis...
Bobby Kent est mort le 14 juillet 1993. Alors qu'il était allongé dans son sang, il demanda de l'aide puis la grâce à son meilleur ami, Marty Puccio. Sa réponse fut instantanée et préméditée : il l'étripa et lui renversa la tête en arrière pour lui trancher la gorge. L'incident laissa les habitants sans voix, les parents des jeunes ...
Le Midwest, aux Etats-Unis, au début des années 70. Bobbie, un adolescent à la dérive, vit de petits larcins. C'est alors qu'il rencontre Mel, truand et dealer charismatique qui le persuade de voir plus grand. Avec Sid, son amie, Rosie, la copine de Bobbie, Mel met au point un gros coup. Ils touchent le gros lot. Mais revendre le butin s'avère plus dangereux que de l'acquérir...
Un bon réalisateur, qui montre des choses crues mais très fortes qui touchent à l'adolescence.
Banga Syn
je suis également assez compliqué niveau film mais je pense qu'il faut regarder ce film d'un autre œil, de toute manière larry clark est dans son monde et c'est ça que j'adore
Banga Syn
Et chacun à sa vision du talent, tu ne peux pas juger le talent.Après le fait que tu dise qu'il n'as aucun talent de réalisation et que c'est que de la provocation, est encore une fois ton avis personnel.Tu juge très cruellement je trouve, aussi froidement. On peux également le dire d'une autre façon plus distingué que la tienne.
Banga Syn
paranoïd park et elephant sont de très beau film de Gus Van Sant.Après je ne trouve pas comment on peux faire de comparaison, à part le sujet de la jeunesse.Larry Clark à plus une vision sombre sur l'adolescence.En tout cas c'est sympa de pouvoir avoir ton avis :)
Sh?kiin?
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Sh?kiin?
Je préfère Gus Van Sant, il montre l'adolescence avec plus de talent et de sensibilité
Sh?kiin?
Et j'ajouterais qu'il ne sait pas filmer malgré qu'il soit photographe de profession. Ses réalisations sont maladroites, c'est des vidéos MTV filmées au caméscope de poche. (Spoiler et hors sujet : dans un scène du film Bully on voit un corps posé au sol qui ressemble plus à un mannequin qu'à un homme ; question crédibilité ça passe pas si on a l’œil...).
Fabrice F.
Pour ceux et celles qui ne comprennent pas son cinéma. Pas pour les autres.
Sh?kiin?
Son cinéma se résume à du porno. Aucun talent de réalisation, que de la provoc.