AvecFrancis Hallé,
Nicolas Hulot,
Antoine de Maximy
Pour aider Francis Hallé dans son combat pour sauvegarder les forêts tropicales, un documentariste décide de réaliser son premier film de cinéma. Il trace son chemin avec malice, obstination, et découvre, avec candeur, les arcanes du septième art.
AvecBertrand Tavernier,
André Marcon,
Thierry Frémaux
Ce travail de citoyen et d’espion, d’explorateur et de peintre, de chroniqueur et d’aventurier qu’ont si bien décrit tant d’auteurs, de Casanova à Gilles Perrault, n’est-ce pas une belle définition du métier de cinéaste que l’on a envie d’appliquer à Renoir, à Becker, au Vigo de l’Atalante, à Duvivier, aussi bien qu’à Truffaut ou Demy.
AvecThierry Frémaux,
Auguste Lumière,
Louis Lumière
En 1895, les frères Lumière inventent le Cinématographe et tournent parmi les tout-premiers films de l’histoire du cinéma. Mise en scène, travelling, trucage ou remake, ils inventent aussi l’art de filmer.
Bonne nouvelle ! Nous aurons bientôt la bande-annonce et la date de Blonde, le film sur Marilyn Monroe pour Netflix, qui comptera sur l'interprétation d'Ana de Armas comme la star hollywoodienne. Thierry Frémaux, réalisateur du Festival de Cannes, assurera que le film est magnifique et qu'il a voulu le projeter au festival, mais que pour différentes raisons, il ne pourra pas être. Vous le verrez ?
miieb
J'ai récemment lu une interview de ce monsieur, et j'apprécie énormément l'humilité dont il a fait preuve. Moi qui suis sceptique voir opposée à l'idée de mettre des œuvres d'art en compétition, j'ai des difficultés à comprendre la cohérence dans l'idée de décréter qu'une œuvre est meilleure qu'une autre, alors que tout renvoie à des mécanismes d'appréciation subjectifs. A ce titre, j'avais beaucoup aimé le mot de Sean Penn, à l'occasion de sa direction du Jury de la Croisette, dont la pensée allait à tous ceux ayant travaillé pour leur film mais ne se voyant pas récompensés. Et c'est bien l'esprit que j'ai retrouvé chez Thierry Frémaux à l'entendre et à le lire: un amour inconditionnel du cinéma et une reconnaissance de l'investissement fourni par chacun des acteurs (au sens large) du monde du cinéma... Pcq un réalisateur met nécessairement ses tripes dans son projet, il le pense et le construit en y laissant une partie de lui. Plus sa personnalité est riche, plus le film sera complexe, tissé de références et de messages plus ou moins évidents, plus ou moins apparents... que l'ensemble du public ne percevra pas toujours, excepté les fameux Happy Few, pour reprendre l'expression de Flaubert :-) Mais au final seuls comptent le plaisir et l'émotion du spectateur.Un tel état d'esprit me paraît incompatible avec une institution qui va choisir de mettre en avant plutôt tel ou tel film tout en en lynchant d'autres... Mais peut-être ce sentiment de jugement partiel concernant des œuvres n'est-il pas lié à l'institution en elle-même, peut-être est-il la responsabilité des médias qui relaient une information simplifiée et caricaturée, dénuée de nuances ???En tout cas, il m'a semblé que ce monsieur s'attache à répandre son amour du cinéma et à ouvrir le public à d'autres horizons que la facilité du blockbuster, en montrant la finesse et la largeur de la palette cinématographique (des vieux films au cinéma étranger, toutes nationalités confondues)... Message reçu :-D