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Je crois que "Les fils de l'homme" est le meilleur film d'anticipation jamais créé. Tant au point de vue de la réalisation, que du scénario ou encore de l'univers.
Quand on parle des fils de l'homme, on pense souvent aux plans séquences. Notamment deux, qui sont tout bonnement impressionnant. Le premier filme 5 personnages à l'intérieur d'une voiture et passe d'un personnage à un autre avec une fluidité impressionnante, à tel point que ...
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Je ne m'attendais pas à ce que ce film soit aussi mal noté. Quand j'étais gosse ce film faisait partie de la liste de mes films préféré aux coté de "Space Jam", de "Jumanji" et de "Rasta Rocket". Donc il se peut que la nostalgie que ce film provoque chez moi alterne mon objectivité.
Certes, ce n'est pas un chef-d'oeuvre, mais je trouve que Wild Wild West reste un divertissement plus qu'honorable. Il n'a d'ailleurs jamais prétendu être ...
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Ça commence comme une pub de parfum. Des donzelles belles et élégantes qui se prélassent sur des fauteuils victoriens. A leur côté une panthère noire et quelques verres de cristal dans lesquels pétillent un peu de champagne. Pour un peu, on irait même jusqu'à se dire : "tiens, ça devait pas être trop mal d'être une prostituée à cette époque...". Puis une fille se fait lacérer la gueule.
Cette introduction résume plutôt bien ...
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Haaaaa... Les gitans... J'éprouve, comme beaucoup de monde une sorte de fascination pour la culture gitane. Pas les gitans genre Djo Joe Lopez 63, mais ceux un peu plus old school à base de guitare manouche, d'accordéons et de veille merco des années 80.
"Les princes" c'est un film sur ces gitans "old-school". Leur quotidien, leurs joies, leurs misères... Surtout leur misères, en fait. On sent le regard tendre et sincère que porte Gatlif ...
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Je pensais commencer mon intro par un truc du genre "il n'y a pas besoin d'être un hipster californien pour faire du ciné indé / undergournd / sundancien." Mais après renseignement, j'ai découvert que la réalisatrice Ana Lily Amirpour était bien une hipster californienne, ce qui fout en l'air mon introduction. Je vais donc la tourner autrement : "Ce n'est pas parce qu'on fait un film en Iran que l'on doit forcément en faire un film ...
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J'ai toujours été partagé sur les deux films de Dolan que j'ai vu jusqu'ici (j'ai tué ma mère et les amours imaginaires). Partagé entre l'admiration de cette capacité à rendre des histoires simples, passionnantes, mais agacé par le petit coté "poseur" de la réalisation. Le slow-motion d'une nana qui coupe des carottes sur fond d'opéra italien c'est un peu to much. Je continue donc ma découverte de la filmographie de cet esti de ...
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J'ai regardé ce film sans rien connaitre du scénario, du casting ou du réalisateur. J'ai donc découvert "les brasiers de la colère" en étant vierge de tout préjugé. Et le premier constat qui m'est venu à l'esprit après l'apparition du générique de fin, c'est que ce Scott Cooper ne s'est pas foulé pour nous proposer quelque chose d'original.
J'ai d'abord été séduit par l'univers assez crédible de cette petite ville industrielle ...
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Je ne connais ni la vie du marquis de Sade, ni ses œuvres et on ne peut pas dire que sa m’intéresse plus que ça. De plus, j'ai une certaine aversion pour les films en costumes ainsi que pour cette époque peuplée de types poudrés qui pouffent derrières des éventails.
Autrement dit, je ne partais pas gagnant pour aimer ce film et je me demande encore comment il s'est retrouvé sur mon disque dur.
Bien que Sade se situe à la fin de la ...
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Le film ayant été créé pour être un seul et même film, je vais écrire la critique du volume 1 et 2 dans une seule et même critique. Je précise également que j'ai vu la version director's cut et par conséquent non censurée.
Je ne sais pas trop quoi penser de Lars Von Trier. Je considère certain de ses films comme "Dancer in the dark" comme des chef-d’œuvres absolus. Mais j'en considère d'autre comme "Anti-Christ" comme étant des ...
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Je ne sais pas si il est très décent de juger un film comme pacific rim quand on l'a vu en DVDrip sur un écran d'ordinateur. Pacifc Rim est un de ses films qui se voient aux cinéma. Du coup, je ne vais pas vous cacher que je n'ai pas vraiment aimé Pacific Rim.
Je savais à quoi m'attendre. Même si la présence de Guillermo Del Toro aux manettes laissait présager du meilleur, je ne m'attendais pas à un film d'auteur. Tout ce que ce que je ...
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Je m’attendais à un film propagandiste et romancé bien décidé à exploiter le filon très rentable du 11 Septembre 2001. Au final, j'ai vu un film intelligent, intéressant et ultra-documenté.
Le gros point fort de Zero Dark Thirty provient à mes yeux du réalisme avec lequel le sujet est traité. Je ne suis pas expert en terrorisme, je 'ai aucun moyen de vérifier les faits décrits dans le film, mais il donne en tout cas l’impression ...
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J'éprouve une sorte de plaisir irrationnel à regarder les films de Bruno Podalydès. Je ne saurais pas vous expliquer ce plaisir, mais ce qui est sur c'est qu'il est bien présent. Même constat avec "comme un avion". J'ai passé 1h45 avec une sorte de sourire paisible face à l’extrême douceur qui se dégage de ce film. Pourtant, en apparence, "Comme un avion" n'est qu'une comédie familiale de plus dans le paysage cinématographique ...
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A l'instar de la musique ou de la mode, le cinéma est soumis à des modes. Il y a eu la mode des zombies, puis celles de la fin du monde et enfin plus recemment celle des vampires. Du gros blockbuster au film d'auteur sundancien en passant par la romance pour midinettes, tous ces thèmes ont été traité jusqu'à l'indigestion. Du coté des films d'auteurs, Ferrara avait donné sa version du film apocalyptique avec 4h44 dernier jour sur terre. ...
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Si on met à part l'hilarité que peut provoquer la vision de Jean-Claude filer des lattes à un palmier au beau milieu de la jungle thaïlandaise, que reste t-il ? Et bien, il reste ce scénario vide, sans aucune originalité et qui a la même trame scénaristique que n'importe quelle film de sport. En gros, un héros nul, un élément qui va le motiver à devenir plus fort, un entraîneur légendaire et le match final avec l'attendue ...
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Généralement, je ne suis pas très friand du cinéma indien. Même avec beaucoup de second degré, Bollywood a souvent tendance à me donner la migraine. Trop de bruit, trop de couleurs, trop d'effets de style et surtout trop de chansons. Mais Gang of Wasseypur, fait apparemment partit d'une exception. J'ai entendu ici et là des gens le comparer à la trilogie du Parrain à la sauce Curry. Il n'en fallait pas plus pour me convaincre.
Bon, en ...
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Ayant plutôt apprécié la première partie, c'est en toute logique que je me suit attelé à la seconde. C'est cette fois-ci au tour de la troisième génération des Khans de venger la mort de leur père et grand père.
Le film jouit de même qualité et souffre des même défaut que la première partie. Les petits gros moustachu sont toujours aussi cool, le scénario est toujours aussi riche, mais hélas toujours aussi brouillon. Cela ...
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21 Jump Street regroupe tout ce qui fait le sel de la comédie américaine de base. Jonah Hill, des blagues sur le choc des cultures, les drogues et l’alcool, une histoire d'amour, l’inévitable opposition Nerd / Sportif des quiproquos et un peu de politiquement incorrect. Bref, c'est pas follement original et pas follement intelligent, mais ça a au moins de le mérite de m'avoir fait rire plus d'une fois. En cela on peut affirmer que 21 ...
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Ça commence très fort. Les 20 premières minutes sont une plongée brutale dans le monde des bandes de skinhead des années 80 à travers une accumulations de scènes chocs à base de violence, d’humiliation et haine. C'est cru, brutal, réaliste à vous tordre l'estomac. La réalisation va dans ce sens. Une caméra à l'épaule qui suit au plus près la nuque chauve du protagoniste à travers différents plans séquences. Rien de tel pour ...
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Comment souvent avec Alex de la Iglesia, "el dia de la bestia" ne possède aucun temps mort. Tout s’enchaîne avec une frénésie hystérique à faire pâlir un Cyril Hanouna sous coke. On y suit les aventures d'un curée, d'un metalleux et d'une star de la télévision qui se sont donné pour mission de sauver le monde de l'apocalypse. Pour y remédier, rien ne les arrête. Meurtre, séquestration et petites méchancetés gratuites. Vous ...
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J'ai toujours détester la surrinterprétation des films. Certaines œuvres sont plus propices à ce genre de déviance du critique cinéma qui plutôt de juger un film sur son aspect émotionnel ou technique, préfère l'analyser sur les sens cachés qu'il est censé véhiculer. Ce genre de mec a toujours existé et ont les entend souvent dire au détour d'un obscur blog de cinéma que The Dark Night est un film anarchiste, que Alien est un ...
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Il ne serait pas exagéré de dire que "The Brown Bunny" est un vrai film d'auteur. Dans "The Brown Bunny", Vincent Gallo est réalisateur, scénariste, producteur, acteur, chep-operateur et cadreur. C'est très impressionnant. Et pour rendre son film encore plus auteurisant, Gallo nous propose une mise en scène à base d'image granuleuse, d'une quasi-absence de dialogues, de plans fixes et de looooongs plans séquences sur les autoroutes ...
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Je ne m'attendais pas à voir un aussi bon film avec 37°2 le matin. 37°2, c'est le genre de film qui vous rend heureux. Beineix filme le bonheur et la liberté et le filme bien. On aurait presque envie de prendre la place de Jean-Hugues Anglade pour aller vivre sa vie. Vivre dans des baraques trop cools, tremper des tartines de pain frais dans un bol de café sur la terrasse d'une bicoque en bord de mère, prendre des cuites avec Gerard Darmon ...
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Réunir 4 monstres sacrés du cinéma franco-italien pour faire l’apologie de la gourmandise et de la luxure ? Comment ne pas aimer ce film avant même de l'avoir vu ? Il ne suffit que de quelques lignes pour résumer "la grande bouffe". 4 potes, 4 épicuriens qui semblent avoir tout réussi dans la vie vont s'isoler pour se gaver de purée, de boudin et de chattes jusqu'à ce que mort s'en suive.
J'ai cru comprendre que le film avait été ...
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Bon, je dois vous avouer que j'ai eu vraiment très peur pendant la première demi-heure. Dès l'arrivée de keanue reeves en Transylvanie, Coppola nous impose à peu près 10 clichés à la seconde. C'est comme si il avait pris tous les trucs qui effrayaient le public des années 50 pour les balancer à l'arrache dans son film. Un château sur une falaise, des éclairs, des loups un mystérieux cocher... Bouuuuh que ça fait peur ! Les choses ...
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Généralement, je ne suis pas un grand fan de peplum. Des types à la peau orange, aux muscles luisants de sueur et à la jupette au ras de la bistouquette qui déclament des répliques sur l'amitié virile, ce n'est pas mon truc. Mais, c'est quand même Stanley qui est au commande, et le menton de Kirk Douglas qui est devant la caméra. Il serait donc stupide de passer à coté de ce monument du cinéma, aussi kitsch soit-il.
Ce qui est sur, ...
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Picasso a dit : "Le bon gout, c'est l'ennemi de la créativité". C'est sans doute après avoir vu braindead que le peintre espagnol a prononcé ces mots. Du bon gout, Braindead en est dépourvu. Braindead, c'est avant tout du sang. Beaucoup de sang. Et puis aussi du pus, des bébés dans des mixeurs et des curés zombies qui forniquent avec des femmes à moitié décapité.
En matière de créativité, on peut dire sans exagérer qu'il s'agit du ...
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Quand le duo grolandais sort un nouveau film, c'est toujours pour moi un événement aussi important les soldes d'hiver pour une bourgeoise en mini-cooper. J'ai toujours apprécié leur cinéma, à la fois social, exigent, drôle et mélancolique.
J'ai également apprécié Near Death Experience. Ce qui ne sera sans doute pas le cas de tout le monde, j'en conviens. NDE s'inscrit dans la même veine que le très étrange Avida. Le film tient plus ...
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Il y en a qui ne jure que par la Bible. D'autre par le Coran, ainsi que certain par la Torah. Moi, je préfère me référer au Saint Mad Max 2. Le film ultime en terme de série B. C'est pour cela que quand j'ai appris que 34 ans plus tard (je ne compte pas le troisième volet), un nouveau Mad Max allait sortir sur les écran de cinéma, j'ai d'abord exulté. Puis j'ai pleuré. De tristesse, puis de joie. Puis de tristesse à nouveau. Quand, ...
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Plus que mitigé sur le succès inexpliqué de « bienvenue chez les ch'tis » et après avoir survécu aux 3 mois de dépression nerveuse provoqué par le visionnage de l'abominable « rien a déclarer », je me demande encore pourquoi j'en suis venu à me dire « tiens, et si je regardais « supercondriaque », la dernière comédie en date de Mr Boon ». Je ne vais pas faire dans le suspense je regrette profondément d'avoir perdu 1h40 de ma ...
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Dans la catégorie des films qui veulent donner un cachet "vintage" ou "série B" à leur métrage de manière volontaire, il y a deux écoles : l'école Rodriguez, commerciale, pleine de fric et adulée chez Mad Movies comme chez Télérama, ce qui, il faut l'avouer, ne fait pas très "série B". Et puis il y l'école "Father's Day", bien plus crédible qui vient cotoyer les excellant "Hobo with a shotgun" et autres "Black ...
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J'ai toujours eu beaucoup plus d'inspiration lorsqu'il s'agit de critiquer les navets. Il est très facile de savoir pourquoi on n'aime pas un film. Des acteurs mauvais, une réalisation à la ramasse, un sujet critiquable ou un scénario débile. En revanche, il est plus difficile de savoir pourquoi on aime tel ou tel film. La nuit du chasseur fait partit de ceux-là.
Pourquoi ai-je aimé la nuit du chasseur ? Sans doute et surtout grâce à la ...
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Je me demande encore comment cette chose a pu atterrir sur mon disque dur. Sans doute était-il présent sur le disque de dur d'un pote et le titre, pour le moins original a attiré mon attention. Pressé par le temps, j'ai sans doute copié le fichier sur mon propre disque dur sans me renseigner sur le film. Quand j'ai vu que le film avait pour héros Vincent Lacoste, j'ai su que je me trouvait face à un navet. J'aime pas Vincent Lacoste !
Ce ...
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Rampart, c'est l’histoire de Woody Harrelson qui voudrais se la jouer Dirty Harry. Malheureusement en 2000, on ne tabasse plus des gens impunément sans se justifier ensuite auprès de ses supérieurs.
Le sujet de Rampart était intéressant. Le métier de flic, la violence policière, la pression des médias, etc... Mais Rampart n'approfondis pas vraiment ces thématiques et préfère filmer l'accumulation de clichés qui gravitent autour du ...
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Allez zou, un nouveau film "social" de plus dans le cinéma français. Un nouveau film avec des acteurs non-professionnels, des environnements à base de couloirs, d'appartements bruyant et de bureau d'assistant social. Un nouveau film avec des dialogues crus qui montre toute la richesse de la langue française lorsqu'il s'agit d'insulter son prochain. Un nouveau film qui nous noue l'estomac et qui nous fait relativiser sur la beauté de nos vie ...
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Les bons films d'horreurs sont rares. Les films d'horreur français sont rares. Donc, inutile de dire que les bon films d'horreur français sont pratiquement inexistant. J'avais secrètement espéré que "Martyrs" en soit un, mais malheureusement le résultat confirme le fait que les français ne sont pas vraiment fait pour l'horreur.
Le pitch présent sur allociné, avait pourtant l'air prometteur. Une gamine séquestré et torturé qui pense ...
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Ayant vécu en ermite pendant toute l'année 2014, j'ai un sérieux retard à rattraper en terme de film à voir. Je me rend donc tout naturellement sur Allociné pour y découvrir la liste des meilleurs films de 2014, en haut de la quelle trône fièrement la petite tronche tristounette d'un Joaquim Phoenix à moustache. Bien entendu, j'avais déjà entendu parler de ce film. Principalement en bien. Il était donc logique que je commence ma cure ...
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