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Pour sa première réalisation, [James Gunn] aborde à nouveau le film d'horreur tendance plouc et réussit un divertissement cru, débile et jouissif. Certes, "Horribilis" est vite vu, vite oublié, mais c'est un parfait spectacle de samedi soir, entre potes qui aiment le gore débridé.
Soyons honnêtes, "Horribilis" ne restera pas dans les mémoires pour sa réalisation de facture moyenne (...) La force première de [ce] film réside ailleurs, dans ses personnages, particulièrement attachants pour ce genre de production.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Malgré un scénario trop convenu, cette horreur cinématographique se rachète par ses effets spéciaux amusants et son humour subversif. Du gore à la sauce escargot...
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Une pochade décapante, où les zombies révèlent un monde en mal d'amour. Doublée d'une peinture caustique de l'Amérique populaires et des notables douteux, cette comédie gore ne se prend pas au sérieux. Tant mieux !
(...) Un vrai délire nostalgique qui ne sera pas forcément du goût de tout le monde (...) Artistiquement le cinéaste a pourtant incontestablement réussi son pari de trentenaire déjanté en allant jusqu'au bout de ses intentions (...)
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Plaisant par moment (...) "Horribilis" peine toutefois à trouver son ton (...) Tiraillé entre plusieurs râteliers, [il] ne trouve jamais une identité propre.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ca part donc dans tous les sens mais penche davantage du côté de la plate caricature -un temps amusante- que d'un renouvellement du genre, le film croulant plus sous le poids des références que sous un flot d'idées.
Même les amateurs du genre pourraient bien vivre quelques haut-le-coeur ici où là, à la vue de certaines scènes particulièrement gore. Ils feront de cet Horribilis qui porte bien son titre un nanar culte.
Score
ça pue le ketchup aromatisé à la bibine rance, mais c'est tellement jubilatoire qu'on y barbote avec délectation !
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Ecran Fantastique
Scénariste de talent, James Gunn signe ici un efficace premier long-métrage mariant gore et humour.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Journal du Dimanche
Une série B sans prétention, nourrie de classiques du genre, le gore est désamorcé par une satire sociale féroce.
Le Monde
"Horribilis", réjouissant exemple de cinéma du samedi soir où l'épouvante se transforme en farce satirique et en jeu sur les conventions (...).
MCinéma.com
Pour sa première réalisation, [James Gunn] aborde à nouveau le film d'horreur tendance plouc et réussit un divertissement cru, débile et jouissif. Certes, "Horribilis" est vite vu, vite oublié, mais c'est un parfait spectacle de samedi soir, entre potes qui aiment le gore débridé.
Mad Movies
Soyons honnêtes, "Horribilis" ne restera pas dans les mémoires pour sa réalisation de facture moyenne (...) La force première de [ce] film réside ailleurs, dans ses personnages, particulièrement attachants pour ce genre de production.
Paris Match
Malgré un scénario trop convenu, cette horreur cinématographique se rachète par ses effets spéciaux amusants et son humour subversif. Du gore à la sauce escargot...
Télé 7 Jours
Plein de viscères, le film suinte, grouille, suppure, mêlant avec bonheur le trash et la parodie.
TéléCinéObs
Un paradigme de série B trash méchamment et politiquement incorrecte.
Zurban
Une pochade décapante, où les zombies révèlent un monde en mal d'amour. Doublée d'une peinture caustique de l'Amérique populaires et des notables douteux, cette comédie gore ne se prend pas au sérieux. Tant mieux !
aVoir-aLire.com
(...) Un vrai délire nostalgique qui ne sera pas forcément du goût de tout le monde (...) Artistiquement le cinéaste a pourtant incontestablement réussi son pari de trentenaire déjanté en allant jusqu'au bout de ses intentions (...)
Chronic'art.com
Plaisant par moment (...) "Horribilis" peine toutefois à trouver son ton (...) Tiraillé entre plusieurs râteliers, [il] ne trouve jamais une identité propre.
Les Inrockuptibles
Ca part donc dans tous les sens mais penche davantage du côté de la plate caricature -un temps amusante- que d'un renouvellement du genre, le film croulant plus sous le poids des références que sous un flot d'idées.
Ouest France
Même les amateurs du genre pourraient bien vivre quelques haut-le-coeur ici où là, à la vue de certaines scènes particulièrement gore. Ils feront de cet Horribilis qui porte bien son titre un nanar culte.
Première
On s'amuse, mais pas autant qu'espéré : trop de moments creux et pas assez de scène mémorables.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Horribilis offre, à défaut d'une peur bleue, une bonne tranche de rire.