Note moyenne
3,4
16 titres de presse
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Brazil
Ce film est un bonheur (...) une étoile bougrement lumineuse et unique.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Elle
Un film sur l'obsession de l'amour racontée par trois points de vue différents au même temps T avec des acteurs étonnants.
Le Monde
Loin de faire la morale, Spielmann dépeint trois couples qui luttent contre la monotonie. Très maîtrisé et dénué de clichés, Antarès est une révélation.
Zurban
Götz Spielmann saisit une passionnante radiographie de la destinée humaine.
aVoir-aLire.com
L'Autriche mise à nu. Une constellation de misères - sociale, affective et intellectuelle - poignante et dérangeante.
L'Humanité
Encore un constat glaçant sur les relations amoureuses vues par un clinicien autrichien. Ambiance verdâtre.
L'Obs
Le résultat est bouleversant.
Le Figaroscope
Rien de folichon mais une narration en puzzle, intrigante et savante, et une belle interprétation.
Les Inrockuptibles
Un début prometteur pour ce nouveau réalisateur autrichien qui abandonne malheureusement ses personnages en route.
Paris Match
Un réçit laconique, mais chargé d'émotions (...)
Positif
On admire la maîtrise formelle, la composition visuelle qui accentue les embrasures de portes, la structure mnésique, la direction d'acteurs.
Score
Belle dissection des degrés de séparation de la passion. Sauf qu'à trop s'alanguir sur le thème "je te fuis, tu me suis", Antares patine.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
(...) un sens de l'image glaciale qui devient soudain source de chaleur. Cela donne un premier film un peu mécanique, d'une méticulosité plutôt prometteuse.
Première
(...) une fois le sujet posé, la combinaison des destins ne débouche que sur de l'anecdotique. Ni sociale ni romantique mais loin de l'universel, l'étude de moeurs patine.