Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
MCinéma.com
par Guillaume Tion
PARFUM D'ABSINTHE, (...) raconte avant tout les errements de la Jeunesse, empêtrée dans des théories fumeuses et sans cesse en quête d'amour pur. (...) Grâce à une mise en scène intelligente et de très bons comédiens (...), le cinéaste évite les temps morts tout en restituant le caractère atone et désabusé de ce week-end meurtrier.
Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
par Jean-François Rauger
Inspiré d'une histoire authentique, Parfum d'absinthe veut tout à la fois capter les sentiments de jeunes gens aisés, en quête d'idéal et tentés par le nihilisme, et saisir l'esprit d'une époque faussement insouciante.La mise en scène impersonnelle du film empêche ce récit d'atteindre la véritable dimension à laquelle une telle histoire aspirerait.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Le cinéaste (...) parvient à restituer avec finesse l'indolence ambiguë et le romantisme exalté de cette jeunesse dorée en quête d'un sens à sa vie. Fût-il autodestructeur.
Télérama
par Jérémie Couston
ce psychodrame chichiteux survole son sujet (...) et s'attarde avec complaisance sur le casting d'éphèbes et de nymphettes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Charlotte Lipinska
le soufre des émois cuit à petit feu, dilué par la platitude d'une mise en scène qui ne dépasse guère celle d'un téléfilm à faire rosir. Le sujet méritait pourtant plus de trouble et d'audace.
Aden
par Philippe Piazzo
Il y a Daniel Brühl, l'acteur révélé par Good Bye Lenin ! Ça n'a cependant aucun intérêt sinon celui de voir tout ce joli monde, qui pourrait poser pour des publicités de mode, évoluer ici en trois dimensions, et passer d'un beau paysage à une belle demeure en forêt, à de beaux appartements... en mimant la passion avec application.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
A reléguer l'histoire en toile de fond, à flouter les contours dans un psychologisme aqueux, [le réalisateur] perd sur les deux tableaux, sentimental et historique.
L'Express
par Laurence Liban
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
par La rédaction
Inspirée de faits réels, l'histoire, en 1927, d'aristocrates allemands en quête d'absolu. Rien de renversant.
Positif
par Adrien Gombeaud
Le film envoûte dans sa première moitié. (...) L'histoire, hélas, se fige telle une coupe de cheveux parfaite gâchée par une épaisse brillantine.
MCinéma.com
PARFUM D'ABSINTHE, (...) raconte avant tout les errements de la Jeunesse, empêtrée dans des théories fumeuses et sans cesse en quête d'amour pur. (...) Grâce à une mise en scène intelligente et de très bons comédiens (...), le cinéaste évite les temps morts tout en restituant le caractère atone et désabusé de ce week-end meurtrier.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
Inspiré d'une histoire authentique, Parfum d'absinthe veut tout à la fois capter les sentiments de jeunes gens aisés, en quête d'idéal et tentés par le nihilisme, et saisir l'esprit d'une époque faussement insouciante.La mise en scène impersonnelle du film empêche ce récit d'atteindre la véritable dimension à laquelle une telle histoire aspirerait.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Le cinéaste (...) parvient à restituer avec finesse l'indolence ambiguë et le romantisme exalté de cette jeunesse dorée en quête d'un sens à sa vie. Fût-il autodestructeur.
Télérama
ce psychodrame chichiteux survole son sujet (...) et s'attarde avec complaisance sur le casting d'éphèbes et de nymphettes.
Zurban
le soufre des émois cuit à petit feu, dilué par la platitude d'une mise en scène qui ne dépasse guère celle d'un téléfilm à faire rosir. Le sujet méritait pourtant plus de trouble et d'audace.
Aden
Il y a Daniel Brühl, l'acteur révélé par Good Bye Lenin ! Ça n'a cependant aucun intérêt sinon celui de voir tout ce joli monde, qui pourrait poser pour des publicités de mode, évoluer ici en trois dimensions, et passer d'un beau paysage à une belle demeure en forêt, à de beaux appartements... en mimant la passion avec application.
Cahiers du Cinéma
A reléguer l'histoire en toile de fond, à flouter les contours dans un psychologisme aqueux, [le réalisateur] perd sur les deux tableaux, sentimental et historique.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
Inspirée de faits réels, l'histoire, en 1927, d'aristocrates allemands en quête d'absolu. Rien de renversant.
Positif
Le film envoûte dans sa première moitié. (...) L'histoire, hélas, se fige telle une coupe de cheveux parfaite gâchée par une épaisse brillantine.