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En quelques plans, le cinéaste réussit à installer une ambiance des plus glaçantes, enfermant protagonistes et spectateur dans un huis clos jouissif car totalement imprévisible.
Le metteur en scène d'avant-garde entraîne son hôte dans un happening morbide : Bug souligne en permanence que son scénario est tiré d'une pièce de théâtre (...) Friedkin ironise encore, pour la forme, sur le bug de l'art, tout en s'y abandonnant avec ravissement.
Le schéma de montée en puissance dans l'horreur est presque à l'identique celui de l'Exorciste, mâtiné d'une touche de Cruising (" la Chasse ") et de la Nurse. Il y a aussi une dimension politique, le basculement dans la folie ayant des causes exogènes.
(...) William Friedkin (...) devrait méchamment remonter avec ce thriller claustrophobe et paranoïaque qu'on peut s'amuser à voir comme une parabole politique à la William Burroughs.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Inspiré par les fléaux du monde moderne, ce conte angoissant est filmé de main de maître par Friedkin, servi de surcroît par un duo d'acteurs littéralement possédés.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Refusant de distinguer clairement fantasme et réalité, le cinéaste capte la terreur brute d'êtres prisonniers de leurs névroses, en un huis clos particulièrement étouffant.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Du point de vue de l'atmosphére et de l'intensité, Bug remplit (...) son contrat haut la main. Mais le film finit rapidement par tourner à vide hésitant entre plusieurs genres sans parvenir à se décider (...)
Brazil
(...) Bug sait vous saisir aux tripes.
Chronic'art.com
Bug, meilleur Friedkin depuis L'Exorciste ? Plus simplement : grand film, immense metteur en scène, c'est tout.
Les Inrockuptibles
(...) L'un des très grands films de cette année.
MCinéma.com
En quelques plans, le cinéaste réussit à installer une ambiance des plus glaçantes, enfermant protagonistes et spectateur dans un huis clos jouissif car totalement imprévisible.
Positif
Avec ce film, William Friedkin retrouve une nouvelle jeunesse et montre qu'il n'a rien perdu de son esprit anarchiste ni de ses ambitions.
Rolling Stone
(...) William Friedkin laisse à chacun le soin de choisir le degré auquel prendre son film, qui nous ravit quelle que soit l'option envisagée.
Télérama
Bug terrorise, Bug pulvérise et soude dans le même temps. Bug émeut de surcroît, et accessoirement fait rire. Multi-usage et ultraperformant.
aVoir-aLire.com
William Friedkin au sommet de son art dans une expérience monstrueuse et barrée. Le cauchemar américain dans toute sa splendeur.
Cahiers du Cinéma
Le metteur en scène d'avant-garde entraîne son hôte dans un happening morbide : Bug souligne en permanence que son scénario est tiré d'une pièce de théâtre (...) Friedkin ironise encore, pour la forme, sur le bug de l'art, tout en s'y abandonnant avec ravissement.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Le schéma de montée en puissance dans l'horreur est presque à l'identique celui de l'Exorciste, mâtiné d'une touche de Cruising (" la Chasse ") et de la Nurse. Il y a aussi une dimension politique, le basculement dans la folie ayant des causes exogènes.
Libération
(...) William Friedkin (...) devrait méchamment remonter avec ce thriller claustrophobe et paranoïaque qu'on peut s'amuser à voir comme une parabole politique à la William Burroughs.
Metro
Inspiré par les fléaux du monde moderne, ce conte angoissant est filmé de main de maître par Friedkin, servi de surcroît par un duo d'acteurs littéralement possédés.
Paris Match
(...) Un spectacle gentiment subversif entre le happening et le Grand Guignol.
Score
La force de William Friedkin a toujours été de laisser toutes les options ouvertes.
20 Minutes
Refusant de distinguer clairement fantasme et réalité, le cinéaste capte la terreur brute d'êtres prisonniers de leurs névroses, en un huis clos particulièrement étouffant.
L'Ecran Fantastique
Du point de vue de l'atmosphére et de l'intensité, Bug remplit (...) son contrat haut la main. Mais le film finit rapidement par tourner à vide hésitant entre plusieurs genres sans parvenir à se décider (...)
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
Le film, présenté à Cannes par la Quinzaine des Réalisateurs, est frappadingue comme on aime.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Le Parisien
Quelle mouche a donc piqué le réalisateur de French Connection ? (...) La fin est quasi grand-guignolesque.
TéléCinéObs
Déplaisant.