Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Première
par Mathieu Carratier
Si la France se cherchait un Jim Carrey, elle vient de le trouver. [...] laissez vos préjugés à l'entrée et pénétrez dans cette énorme fête qu'est Brice de Nice. Open Bar sur les gags et tournée de crampes dans le bide pour tout le monde. Si vous trouvez plus drôle ce mois-ci, on vous rembourse même la différence.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Rolling Stone
par Grégory Alexandre
Le tsunami Brice n'a pas failli : le festival déconne est permanent, et la bonne nouvelle, c'est que même le déluge de vannes à été canalisé dans un récit linéaire, ce qui est assez inattendu.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Cinéastes
par boris Jeanne
Le scénario [...] n'arrive jamais à trouver la tension narrative nécessaire à transcender la seule suite de sketchs. [...] les véritables retournements sont à chercher dans les seconds rôles qui poussent le film vers la dérision corporelle sans aucun complexe des frères Farelly.
La critique complète est disponible sur le site Cinéastes
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
par Jean-François Rauger
On y retrouve l'image, à peine déformée, d'une frivolité puérile et fièrement analphabète très contemporaine. Si, par instants, le film de James Huth et surtout l'abattage de Jean Dujardin font irrésistiblement mouche, l'obligation de densifier et d'humaniser une silhouette, consécutive à la conduite d'un récit d'une heure trente, en dévitalise quelque peu la force comique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Gilles Renault
Ecueil habituel, on ne sort guère de la suite de sketches (Brice attaque la banque, Brice à l'hôpital...) enfilés sans malice ni sagacité. Reste, avec son abattage et ses formules, un personnage et un ton, loufoque, effréné, qui, tout en faisant l'éloge hédoniste de la vacuité, offre une alternative à l'escalade trash de la bande Youn-Desagnat & Co (...) Seule la frange ado pourrait suivre.
MCinéma.com
par Hugo De Saint Phalle
Dans sa première partie, Brice de Nice atteint (...) des sommets de rythme, d'idées et de bons mots délicieusement crétins (...) Bien sûr, au bout d'une heure ce maelström de "fartage", "cassage" et "méchage" commence à s'essouffler un peu.
Score
par Miguel Almereyda
Bilan : une première heure hystérique et mal filmée. Ensuite intervient le personnage de Clovis Cornillac, qui est la seule et unique raison d'aller voir ce film tant le génie comique de l'acteur est époustouflant.
La critique complète est disponible sur le site Score
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Zurban
par Olivier Pélisson
Si l'écueil de la simple enfilade de sketches est évité, le résultat manque tout de même d'épaisseur. Car la mise en scène manque de rythme et l'intrusion d'éléments à la Shrek, avec similis ogre et princesse, noie complétement l'univers ciblé ado, fun et surf. Reste Dujardin, au talent, au charisme et à l'énérgie incontestable, qui fera merveille dans une comédie d'aventure de Rappeneau.
Brazil
par Alex Masson
A l'exception d'une maigre poignée de scènes osant aller vers l'incongru le plus absolu, seule l'arrivée de Clovis Cornillac - unique comédien du lot à ne pas hésiter à se jeter à fond dans la nature absurde de son personnage - et d'un gag hénorme sauvent le film du désastre absolu.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Comme redouté, la bande-annonce de Brice de Nice est meilleure que le film qu'elle promet.
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Personnages secondaires, enjeux dramatiques nains, morale à la noix, on s'ennuie. Quand même, au cours de la pataude aventure, on découvre que les chaussures de Marius Lacaille enferment d'insolites panards en forme de pouces maousses.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Alexandre Chabert
Affligeant de médiocrité, le film recèle toutefois un trésor comique, caché dans les chaussures de Clovis Cornillac (très bon en toutes circonstances). Tout à coup, un peu du bestiaire farellien anime cette gentille merde.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par La rédaction
(...) les élucubrations (...) plus bêtes que délirantes, n'ont guère de quoi faire bien rire. Il se complaît dans une répétition de mêmes gags à travers des scènes peu renouvelées qui se voient comme un alignement de pitreries sans fil conducteur.
TéléCinéObs
par Jennifer Picard
Les plaisanteries les plus courtes sont souvent les meilleures. Avec Brice de Nice, James Huth nous en donne la preuve : d'un sketch de télé culte [...] il fait une comédie indigeste d'une heure trente où gags et blagues tombes presque toujours à plat.
Télérama
par Pierre Murat
On a joué un mauvais tour à Jean Dujardin (...) On lui a emprunté le personnage qu'il a inventé (...) pour en faire le héros du film le plus désolant tourné depuis longtemps (...) un malveillant a eu l'idée d'engager Clovis Cornillac dans le rôle d'un mec qui n'arrive jamais à finir une phrase. Résultat : Clovis dévore Braillsse tout cru. Hormis lui, tout est nul.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Avec ses répliques cassantes qui sentent bon le concept marketing destinées aux cours de récréation, il fait pitié ! Pas un brin de scénario dans cette comédie clinquante au montage parfois épileptique, qui se contente d'enchaîner les gags, pas très drôles, et carrément ridicules, qui frisent la névrose et la boulimie.
Première
Si la France se cherchait un Jim Carrey, elle vient de le trouver. [...] laissez vos préjugés à l'entrée et pénétrez dans cette énorme fête qu'est Brice de Nice. Open Bar sur les gags et tournée de crampes dans le bide pour tout le monde. Si vous trouvez plus drôle ce mois-ci, on vous rembourse même la différence.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Rolling Stone
Le tsunami Brice n'a pas failli : le festival déconne est permanent, et la bonne nouvelle, c'est que même le déluge de vannes à été canalisé dans un récit linéaire, ce qui est assez inattendu.
Cinéastes
Le scénario [...] n'arrive jamais à trouver la tension narrative nécessaire à transcender la seule suite de sketchs. [...] les véritables retournements sont à chercher dans les seconds rôles qui poussent le film vers la dérision corporelle sans aucun complexe des frères Farelly.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
On y retrouve l'image, à peine déformée, d'une frivolité puérile et fièrement analphabète très contemporaine. Si, par instants, le film de James Huth et surtout l'abattage de Jean Dujardin font irrésistiblement mouche, l'obligation de densifier et d'humaniser une silhouette, consécutive à la conduite d'un récit d'une heure trente, en dévitalise quelque peu la force comique.
Libération
Ecueil habituel, on ne sort guère de la suite de sketches (Brice attaque la banque, Brice à l'hôpital...) enfilés sans malice ni sagacité. Reste, avec son abattage et ses formules, un personnage et un ton, loufoque, effréné, qui, tout en faisant l'éloge hédoniste de la vacuité, offre une alternative à l'escalade trash de la bande Youn-Desagnat & Co (...) Seule la frange ado pourrait suivre.
MCinéma.com
Dans sa première partie, Brice de Nice atteint (...) des sommets de rythme, d'idées et de bons mots délicieusement crétins (...) Bien sûr, au bout d'une heure ce maelström de "fartage", "cassage" et "méchage" commence à s'essouffler un peu.
Score
Bilan : une première heure hystérique et mal filmée. Ensuite intervient le personnage de Clovis Cornillac, qui est la seule et unique raison d'aller voir ce film tant le génie comique de l'acteur est époustouflant.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
Si l'écueil de la simple enfilade de sketches est évité, le résultat manque tout de même d'épaisseur. Car la mise en scène manque de rythme et l'intrusion d'éléments à la Shrek, avec similis ogre et princesse, noie complétement l'univers ciblé ado, fun et surf. Reste Dujardin, au talent, au charisme et à l'énérgie incontestable, qui fera merveille dans une comédie d'aventure de Rappeneau.
Brazil
A l'exception d'une maigre poignée de scènes osant aller vers l'incongru le plus absolu, seule l'arrivée de Clovis Cornillac - unique comédien du lot à ne pas hésiter à se jeter à fond dans la nature absurde de son personnage - et d'un gag hénorme sauvent le film du désastre absolu.
Cahiers du Cinéma
Comme redouté, la bande-annonce de Brice de Nice est meilleure que le film qu'elle promet.
Chronic'art.com
Personnages secondaires, enjeux dramatiques nains, morale à la noix, on s'ennuie. Quand même, au cours de la pataude aventure, on découvre que les chaussures de Marius Lacaille enferment d'insolites panards en forme de pouces maousses.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Affligeant de médiocrité, le film recèle toutefois un trésor comique, caché dans les chaussures de Clovis Cornillac (très bon en toutes circonstances). Tout à coup, un peu du bestiaire farellien anime cette gentille merde.
Ouest France
(...) les élucubrations (...) plus bêtes que délirantes, n'ont guère de quoi faire bien rire. Il se complaît dans une répétition de mêmes gags à travers des scènes peu renouvelées qui se voient comme un alignement de pitreries sans fil conducteur.
TéléCinéObs
Les plaisanteries les plus courtes sont souvent les meilleures. Avec Brice de Nice, James Huth nous en donne la preuve : d'un sketch de télé culte [...] il fait une comédie indigeste d'une heure trente où gags et blagues tombes presque toujours à plat.
Télérama
On a joué un mauvais tour à Jean Dujardin (...) On lui a emprunté le personnage qu'il a inventé (...) pour en faire le héros du film le plus désolant tourné depuis longtemps (...) un malveillant a eu l'idée d'engager Clovis Cornillac dans le rôle d'un mec qui n'arrive jamais à finir une phrase. Résultat : Clovis dévore Braillsse tout cru. Hormis lui, tout est nul.
aVoir-aLire.com
Avec ses répliques cassantes qui sentent bon le concept marketing destinées aux cours de récréation, il fait pitié ! Pas un brin de scénario dans cette comédie clinquante au montage parfois épileptique, qui se contente d'enchaîner les gags, pas très drôles, et carrément ridicules, qui frisent la névrose et la boulimie.