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L'estampille Ridley Scott est évidemment garante d'un impeccable savoir-faire : les scènes de batailles sont somptueusement reconstituées, armées d'hommes superbement digitalisés. La prise de Jérusalem [...] est un grand moment de ce film épique.
Ce chevalier sans peur et sans reproche, s'interdisant "toute vaine jactance" comme aurait dit Georges Duby, est de la trempe des irréductibles idéalisés par Ridley Scott [...] La mise en scène confirme la maîtrise de l'un des plus habiles cinéastes en matière de grand spectacle.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le film souffre principalement d'une volonté, semble-t-il, de le limiter à une durée commercialement avantageuse mais qui, du coup, ne rend pas justice à l'ampleur du sujet. [...] Les fans de Ridley Scott trouveront ici bon nombre d'images inoubliables à ajouter à leur album. [...] De surcroît, alors qu'on pouvait douter de l'opportunité d'un film sur les exploits de guerriers occidentaux au Moyen-Orient, Scott et le scénariste William Monahan ont su tourner le problème à leur avantage, adoptant le parti de ceux qui subissent les guerres contre ceux qui les déclenchent.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'intrigue n'est pas prenante et les enjeux sous couvert de subtilité, manquent d'intensité. C'est alors que les grandes batailles démarent. Impressionnantes. Massives. Ridley Scott est toujours là dans les scènes de combats mais malheureusement il veut prouver trop de choses ailleurs.
La critique complète est disponible sur le site Score
Le fanatisme, l'obscurantisme et la cupidité sont les cibles de ce film de Ridley Scott, éloge de l'idéal chevaleresque incarné ici par une minorité des Croisés. Rien ne nous étonne dans ce spectacle imposant, bien tenu et bien mené, à la morale édifiante, historiquement correct.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Sous ses allures frivoles, en faisant mine de privilégier le bourrin, le film aborde des thèmes fondamentaux, pour ne pas dire préoccupants. Plus on y repense, plus il prend de la valeur.
Loin de nuire, ce schématisme est la qualité évidente d'un récit qui échappe aux péripéties obligées de l'initiation et trouve sa source dans une surprenante sophistication (...) Deux accrocs cependant dans cette longue tapisserie. Le premier, péché mineur, relativise toute position : bien et mal y oeuvrent maille à l'envers, maille à l'endroit (...) le second, péché capital stigmatisé par l'impardonnable de l'ennui, est la confusion du motif.
Scott ayant fait le choix étonnant de se focaliser sur l'humain plus que sur le spectaculaire, pas pour autant inexistant parce qu'il y a quelques scènes de batailles.[...] son talon d'Achille : il donne dans la longuette première partie du film des airs de docu-drama, certes hyperdocumenté, mais un brin fastidieux.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
On doit reconnaître à ce spectaculaire mastodonte une complexité plus grande que ce que l'on pouvait craindre et, même certaines touches de délicatesse [...] Difficile de ne pas concéder à Ridley Scott, dans cette lourde tapisserie, un talent certain de réalisateur tant au niveau de la création des personnages qu'à celui de la mise en scène.
Rapidement, cette ambitieuse histoire de religions qui prône l'esprit chevaleresque se révèle assez barbante : trop longue, trop bavarde, trop pieuse. L'intérêt réside plutôt du côté des scènes d'action forcément épiques.
Malgré sa flamboyante mise en scène et ses 135 millions de dollars de budget, Kingdom of Heaven se révèle être une oeuvre mineure dans la filmographie impresionnante de Ridley Scott. La faute incombant à un scénario intelligent mais quelque peu dogmatique dans ses questionnements religieux et au parcours initiatique assez désincarné du héros.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Les milliers de figurants, les décors imposants permettent d'en mettre plein la vue, mais peu dans le coeur. [...] Les vraies stars ne sont pas Orlando Bloom, Eva Green (...) mais les combats (...). Dommage, "Kingdom of Heaven" aurait pu être un grand film, mais pour cela, il aura fallu que Ridley Scott donne autant d'épaisseur aux personnages qu'aux murailles qui défendent Jérusalem.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Au bout du compte, Kingdom of Heaven, bien que toujours intéressant et parfois plaisant, est un semi-échec ou, si l'on préfère, une demi-résussite. Excellente interprétation globale, avec une mention spéciale à Edward Norton (...)
La critique complète est disponible sur le site Positif
Art de la guerre et de la mise en scène se rejoignent pour retrouver un plaisir de cinéma naïf et sincère, bien avant l'âge du numérique. Le cinoche comme on le fignolait au temps des croisés de Hollywood, en quelque sorte.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Beaucoup de bons sentiments et un idéalisme loin d'être inintéressant. Car cette superproduction internationale en langue anglaise place au centre de son récit le voeu d'un monde où les hommes se respecteraient au delà de leurs croyances.
Si l'entente cordiale entre Saladin, chef des musulmans, et son homologue chrétien, Baudoin IV, est une belle pique contre l'Amérique intolérante de 2005, tout cela est bien morne. Aucun personnage ne se détache réellement de ce magma baroque. Et Scott abuse des contre-jours bleutés et vaporeux qui sont sa marque de fabrique. Un fatras poussiéreux.
Kingdom of Heaven n'est qu'un péplum passe-temps de plus. Absurde aux plans historique, vraisemblable, psychologique, religieux et idéologique, c'est une superproduction pas bien méchante au demeurant. (...) ce qui fait défaut à cette croisade décrucifiée est le héros. (...) Orlando Bloom (...), forgeron-roi falot de l'affaire, fait pitié et suer. Là où il eût fallu tel Sean Connery colosse de haute lige en phase Rose et la Flèche, un paltoquet.
France Soir
L'estampille Ridley Scott est évidemment garante d'un impeccable savoir-faire : les scènes de batailles sont somptueusement reconstituées, armées d'hommes superbement digitalisés. La prise de Jérusalem [...] est un grand moment de ce film épique.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Ce chevalier sans peur et sans reproche, s'interdisant "toute vaine jactance" comme aurait dit Georges Duby, est de la trempe des irréductibles idéalisés par Ridley Scott [...] La mise en scène confirme la maîtrise de l'un des plus habiles cinéastes en matière de grand spectacle.
Première
Le film souffre principalement d'une volonté, semble-t-il, de le limiter à une durée commercialement avantageuse mais qui, du coup, ne rend pas justice à l'ampleur du sujet. [...] Les fans de Ridley Scott trouveront ici bon nombre d'images inoubliables à ajouter à leur album. [...] De surcroît, alors qu'on pouvait douter de l'opportunité d'un film sur les exploits de guerriers occidentaux au Moyen-Orient, Scott et le scénariste William Monahan ont su tourner le problème à leur avantage, adoptant le parti de ceux qui subissent les guerres contre ceux qui les déclenchent.
Score
L'intrigue n'est pas prenante et les enjeux sous couvert de subtilité, manquent d'intensité. C'est alors que les grandes batailles démarent. Impressionnantes. Massives. Ridley Scott est toujours là dans les scènes de combats mais malheureusement il veut prouver trop de choses ailleurs.
Télé 7 Jours
Le fanatisme, l'obscurantisme et la cupidité sont les cibles de ce film de Ridley Scott, éloge de l'idéal chevaleresque incarné ici par une minorité des Croisés. Rien ne nous étonne dans ce spectacle imposant, bien tenu et bien mené, à la morale édifiante, historiquement correct.
aVoir-aLire.com
Sous ses allures frivoles, en faisant mine de privilégier le bourrin, le film aborde des thèmes fondamentaux, pour ne pas dire préoccupants. Plus on y repense, plus il prend de la valeur.
Cahiers du Cinéma
Loin de nuire, ce schématisme est la qualité évidente d'un récit qui échappe aux péripéties obligées de l'initiation et trouve sa source dans une surprenante sophistication (...) Deux accrocs cependant dans cette longue tapisserie. Le premier, péché mineur, relativise toute position : bien et mal y oeuvrent maille à l'envers, maille à l'endroit (...) le second, péché capital stigmatisé par l'impardonnable de l'ennui, est la confusion du motif.
Chronic'art.com
Scott ayant fait le choix étonnant de se focaliser sur l'humain plus que sur le spectaculaire, pas pour autant inexistant parce qu'il y a quelques scènes de batailles.[...] son talon d'Achille : il donne dans la longuette première partie du film des airs de docu-drama, certes hyperdocumenté, mais un brin fastidieux.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Les Inrockuptibles
On doit reconnaître à ce spectaculaire mastodonte une complexité plus grande que ce que l'on pouvait craindre et, même certaines touches de délicatesse [...] Difficile de ne pas concéder à Ridley Scott, dans cette lourde tapisserie, un talent certain de réalisateur tant au niveau de la création des personnages qu'à celui de la mise en scène.
MCinéma.com
Rapidement, cette ambitieuse histoire de religions qui prône l'esprit chevaleresque se révèle assez barbante : trop longue, trop bavarde, trop pieuse. L'intérêt réside plutôt du côté des scènes d'action forcément épiques.
Mad Movies
Malgré sa flamboyante mise en scène et ses 135 millions de dollars de budget, Kingdom of Heaven se révèle être une oeuvre mineure dans la filmographie impresionnante de Ridley Scott. La faute incombant à un scénario intelligent mais quelque peu dogmatique dans ses questionnements religieux et au parcours initiatique assez désincarné du héros.
Paris Match
Les milliers de figurants, les décors imposants permettent d'en mettre plein la vue, mais peu dans le coeur. [...] Les vraies stars ne sont pas Orlando Bloom, Eva Green (...) mais les combats (...). Dommage, "Kingdom of Heaven" aurait pu être un grand film, mais pour cela, il aura fallu que Ridley Scott donne autant d'épaisseur aux personnages qu'aux murailles qui défendent Jérusalem.
Positif
Au bout du compte, Kingdom of Heaven, bien que toujours intéressant et parfois plaisant, est un semi-échec ou, si l'on préfère, une demi-résussite. Excellente interprétation globale, avec une mention spéciale à Edward Norton (...)
Télérama
Art de la guerre et de la mise en scène se rejoignent pour retrouver un plaisir de cinéma naïf et sincère, bien avant l'âge du numérique. Le cinoche comme on le fignolait au temps des croisés de Hollywood, en quelque sorte.
Zurban
Beaucoup de bons sentiments et un idéalisme loin d'être inintéressant. Car cette superproduction internationale en langue anglaise place au centre de son récit le voeu d'un monde où les hommes se respecteraient au delà de leurs croyances.
L'Humanité
Si l'entente cordiale entre Saladin, chef des musulmans, et son homologue chrétien, Baudoin IV, est une belle pique contre l'Amérique intolérante de 2005, tout cela est bien morne. Aucun personnage ne se détache réellement de ce magma baroque. Et Scott abuse des contre-jours bleutés et vaporeux qui sont sa marque de fabrique. Un fatras poussiéreux.
Libération
Kingdom of Heaven n'est qu'un péplum passe-temps de plus. Absurde aux plans historique, vraisemblable, psychologique, religieux et idéologique, c'est une superproduction pas bien méchante au demeurant. (...) ce qui fait défaut à cette croisade décrucifiée est le héros. (...) Orlando Bloom (...), forgeron-roi falot de l'affaire, fait pitié et suer. Là où il eût fallu tel Sean Connery colosse de haute lige en phase Rose et la Flèche, un paltoquet.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com