Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Télé 7 Jours
par Laurence Tournier
(...) un joli mélo, tendre, pittoresque et sensuel qui sonde les âmes et les mémoires avec infiniment de finesse. Les comédiens crèvent l'écran, à commencer par l'élégant Massimo Girotti, disparu peu après le tournage.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
TéléCinéObs
par Bernard Achour
(...) film superbe, d'une élégance et d'une intensité psychologique peu communes, où le jeune couple se prend d'affection pour un vieil homme solitaire et mystérieux.
L'Express
par Laurence Liban
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
Avec une grande délicatesse de sentiment, Ferzan Ozpetek parle d'amour.
Ouest France
par La Rédaction
Sensualité, élégance, mystère. Et désir.
Positif
par Jean A. Gili
La Fenêtre d'en face est une oeuvre subtile qui surprend par sa capacité à pénétrer dans les recoins des pusions vitales, là où l'instinct, l'éducation et la mémoire entrent en conflit.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Zurban
par Véronique Le Bris
Mêlant petites et grandes histoire(s), ce quatrième film de Ferzan Ozpetek, qui date déjà de 2003, affiche un romantisme moderne et charmant.
aVoir-aLire.com
par Rania Hoballah
Juste et émouvant, La fenêtre d'en face nous fait pénétrer dans l'intimité de ses personnages sans voyeurisme ni pathos larmoyant. Un film réussi.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
MCinéma.com
par Philippe Scrine
(...) fidèle à un cinéma qui privilégie les personnages et les sentiments, le réalisateur mène à bien son entreprise, aidé par la prestation des deux comédiens principaux (...). Deux accrocs quand même à l'ensemble : Lorenzo, le beau gosse de service, est bien trop "propre sur lui", trop lisse, pour être crédible, et la fin inutilement mélodramatique.
Première
par Anastasia Svoboda
(...) Un sens de l'amplification tout italien caractérise ce film qui veut traiter de trop de sujets délicats à la fois.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Pierre Murat
Une mise en scène sophistiquée à l'extrême rend totalement artificiel ce mélo qui a tout de même fait sangloter deux millions d'Italiens. Seul plaisir : revoir Massimo Girotti, l'ex-jeune premier d'Ossessione, de Visconti.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
par Vincent Ostria
(...) le film reste dans la lignée décevante de la " nouvelle ligne claire " italienne, insipide
Le Monde
par Thomas Sotinel
Il y avait là de quoi faire trois films, mais la mise en scène à la plate joliesse publicitaire d'Ozepetek suffit tout juste à en rater un seul.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Enfin, on s'y perd. D'autant plus que, pour exprimer cela, Ferzan Ozpeteck opte pour la forme lisse et impersonnelle prévalant dans le cinéma transalpin.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Score
par Alex Masson
(...) on finit par se demander de quoi parle Ozpetek qui entrelace maladroitement mélo et suspense.
La critique complète est disponible sur le site Score
Télé 7 Jours
(...) un joli mélo, tendre, pittoresque et sensuel qui sonde les âmes et les mémoires avec infiniment de finesse. Les comédiens crèvent l'écran, à commencer par l'élégant Massimo Girotti, disparu peu après le tournage.
TéléCinéObs
(...) film superbe, d'une élégance et d'une intensité psychologique peu communes, où le jeune couple se prend d'affection pour un vieil homme solitaire et mystérieux.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
Avec une grande délicatesse de sentiment, Ferzan Ozpetek parle d'amour.
Ouest France
Sensualité, élégance, mystère. Et désir.
Positif
La Fenêtre d'en face est une oeuvre subtile qui surprend par sa capacité à pénétrer dans les recoins des pusions vitales, là où l'instinct, l'éducation et la mémoire entrent en conflit.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
Mêlant petites et grandes histoire(s), ce quatrième film de Ferzan Ozpetek, qui date déjà de 2003, affiche un romantisme moderne et charmant.
aVoir-aLire.com
Juste et émouvant, La fenêtre d'en face nous fait pénétrer dans l'intimité de ses personnages sans voyeurisme ni pathos larmoyant. Un film réussi.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
(...) fidèle à un cinéma qui privilégie les personnages et les sentiments, le réalisateur mène à bien son entreprise, aidé par la prestation des deux comédiens principaux (...). Deux accrocs quand même à l'ensemble : Lorenzo, le beau gosse de service, est bien trop "propre sur lui", trop lisse, pour être crédible, et la fin inutilement mélodramatique.
Première
(...) Un sens de l'amplification tout italien caractérise ce film qui veut traiter de trop de sujets délicats à la fois.
Télérama
Une mise en scène sophistiquée à l'extrême rend totalement artificiel ce mélo qui a tout de même fait sangloter deux millions d'Italiens. Seul plaisir : revoir Massimo Girotti, l'ex-jeune premier d'Ossessione, de Visconti.
L'Humanité
(...) le film reste dans la lignée décevante de la " nouvelle ligne claire " italienne, insipide
Le Monde
Il y avait là de quoi faire trois films, mais la mise en scène à la plate joliesse publicitaire d'Ozepetek suffit tout juste à en rater un seul.
Les Inrockuptibles
Enfin, on s'y perd. D'autant plus que, pour exprimer cela, Ferzan Ozpeteck opte pour la forme lisse et impersonnelle prévalant dans le cinéma transalpin.
Score
(...) on finit par se demander de quoi parle Ozpetek qui entrelace maladroitement mélo et suspense.