Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Elle
par Elisabeth Quin
Un road-movie au charme fou, très drôle. (...) Boire, parler, et encore boire, avec des rencontres de passage. Depuis quand ca suffit à faire un très bon film américain, subtilement politique ? Depuis Alexander Payne, qui dose admirablement la comédie de moeurs, la satire et la romance.
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
Alexander Payne prend le temps de poser ses personnages, et l'investissement se révèle payant: le charme du film opère ainsi par surprise, et l'on ressort de ce road-movie bucolique le coeur en montgolfière.
Télérama
par Louis Guichard
Sans rien révolutionner, Sideways offre ainsi une synthèse savoureuse de quelques pans bien-aimés de cinéma américain. Outre l'attrait d'une Californie intimiste, on retrouve, à travers la figure de Miles, celle du Woody Allen d'autrefois, Caliméro cérébral au pessimisme dru, mais qu'un miracle amoureux pourrait encore sauver. Et ses tribulations avec son compère prolongent discrètement cette fibre comique à laquelle les frères Farrelly ont donné ses lettres de noblesse (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Les mots semblent insuffisants pour exprimer ce qu'on ressent en voyant ce grand film sur l'amitié masculine. Un moment de cinéma d'une infinie beauté.
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
Presque un mode veille, ce film : bons acteurs, climats feutré, son classicisme se rapproche d'un chouette téléfilm pour bobos américains. (...) Subtilement maîtrisée, cette cyclothymie modifie sournoisement le mouvement du road movie. Alors qu'il fait croire aux grands espaces, multiplie les plans larges de la décapotable du duo qui sillonne les routes, Payne ceinture l'évasion rêveuse par de brusques retours à la réalité.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Humanité
par Jean Roy
Alexander Payne a construit un film sensuel à la gloire de Bacchus. En France, nous serions entre Renoir et Chabrol. Cela donne là-bas un petit film indépendant non dénué de charme et de savoir-faire, seul dans sa catégorie cette année à jouer dans la cour des grands pour la course aux principaux oscars.
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Jean-Luc WACHTHAUSEN
Avec quatre acteurs méconnus et une intrigue toute simple, Payne développe un propos humaniste, épicurien et, par chance, il évite l'écueil du vin triste dans lequel se glisse juste un peu d'amertume. Message reçu aux Etat-Unis où Sideways est devenu le film phénomène (...).
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Un rien pépère en son début, le film, rythmé par une musique jazzy, acquiert peu à peu une enivrante vitesse de croisière, filant crescendo vers des gags cocasses et des idylles contrariantes.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Sujet rebattu et traitement arty mais, à l'arrivée, une comédie sentimentale qui réussit à être touchante et drôle.
Ouest France
par La rédaction
une chronique qui cultive la saveur pertinente et la liberté colorée des meilleures productions du cinéma américain indépendant.
Positif
par Alain Masson
Sans effort ostensible, Payne produit une critique virulente et précise. On peut déplorer sans doute l'heureux dénouement, pièce rapportée, blâmer la longueur de l'ouvrage, regretter que la verve ne s'y exerce pas avec plus de fantaisie. Mais ce serait oublier que ce cinéma repose sur l'équilibre et la lucidité, qu'Aristophane y manque toujours son coup. A plus forte raison quand la mort de Dionysos est le sujet du film.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Christophe Narbonne
Le réalisateur a encore choisi le mode du road-movie pour dépeindre cette Amérique authentique qu'il caricaturait légèrement dans Monsieur Schmidt. Moins expéditif, il a particulièrement soigné les personnages féminins croisés par nos deux citadins en goguette. Le résultat, nourri de psy et de naturalisme, renvoie au cinéma des années 70.
Rolling Stone
par Sabine Gros La Faige
De l'atmosphère du film, surfant entre tendre amertume et ironie acidulée, aux formidables acteurs (dont Paul Giamatti, décidément impeccable), tout contribue à faire de Sideways une savoureuse comédie qui se déguste sans attendre.
Score
par V. McKey
En sortant un peu plus d'une route toute tracée, Payne aurait fait de Sideways un très grand film. En l'état, il réouvre une voie où Altman et Allen n'osent plus rouler. C'est déjà énorme. Si en plus il offre une belle seconde chance à Virginie Madsen...
La critique complète est disponible sur le site Score
Zurban
par Charlotte Lipinska
Le charme opère en douce,sans jamais s'imposer, et Sideways finit par se déguster comme un grand cru. En savourant posément.
Fluctuat.net
par Jérôme Dittmar
Peu de cinéma à l'horizon. Quelques portraits nuancés à partir d'un guide du parfait loser, et des acteurs plutôt bons. Mais au-delà, il y a peu de choses à retenir de Sideways et de son manuel touristique existentiel.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
Le seul regret que l'on ait, malheureusement de taille, c'est qu'à trop bichonner ses personnages, Alexander Payne oublie qu'il fait du cinéma. Discrète à souhait, sa mise en scène finit par tomber dans l'oubli. SIDEWAYS est tout sauf une piquette bon marché, mais avec un peu plus d'audace visuelle, il aurait tout eu du grand cru.
Paris Match
par Alain Spira
Ce film (...) aurait peut-être un bien meilleur cru sans une photo digne d'une piquette et une mise en scène un peu bouchonnée.
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Aimanté par le tourisme beauf qu'il chatouille, Alexander Payne chemine mollement sur l'autoroute du Buddy Movie initiatique aux gags poussifs.
Libération
par Bayon
Trois situations ou formules ne sauvent pas la publicité déguisée Sideways de l'ennui mortel de sa réalisation road-movie semainier, ni d'un casting au diapason de sa laideur manifeste.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Elle
Un road-movie au charme fou, très drôle. (...) Boire, parler, et encore boire, avec des rencontres de passage. Depuis quand ca suffit à faire un très bon film américain, subtilement politique ? Depuis Alexander Payne, qui dose admirablement la comédie de moeurs, la satire et la romance.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Alexander Payne prend le temps de poser ses personnages, et l'investissement se révèle payant: le charme du film opère ainsi par surprise, et l'on ressort de ce road-movie bucolique le coeur en montgolfière.
Télérama
Sans rien révolutionner, Sideways offre ainsi une synthèse savoureuse de quelques pans bien-aimés de cinéma américain. Outre l'attrait d'une Californie intimiste, on retrouve, à travers la figure de Miles, celle du Woody Allen d'autrefois, Caliméro cérébral au pessimisme dru, mais qu'un miracle amoureux pourrait encore sauver. Et ses tribulations avec son compère prolongent discrètement cette fibre comique à laquelle les frères Farrelly ont donné ses lettres de noblesse (...).
aVoir-aLire.com
Les mots semblent insuffisants pour exprimer ce qu'on ressent en voyant ce grand film sur l'amitié masculine. Un moment de cinéma d'une infinie beauté.
Chronic'art.com
Presque un mode veille, ce film : bons acteurs, climats feutré, son classicisme se rapproche d'un chouette téléfilm pour bobos américains. (...) Subtilement maîtrisée, cette cyclothymie modifie sournoisement le mouvement du road movie. Alors qu'il fait croire aux grands espaces, multiplie les plans larges de la décapotable du duo qui sillonne les routes, Payne ceinture l'évasion rêveuse par de brusques retours à la réalité.
L'Humanité
Alexander Payne a construit un film sensuel à la gloire de Bacchus. En France, nous serions entre Renoir et Chabrol. Cela donne là-bas un petit film indépendant non dénué de charme et de savoir-faire, seul dans sa catégorie cette année à jouer dans la cour des grands pour la course aux principaux oscars.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Avec quatre acteurs méconnus et une intrigue toute simple, Payne développe un propos humaniste, épicurien et, par chance, il évite l'écueil du vin triste dans lequel se glisse juste un peu d'amertume. Message reçu aux Etat-Unis où Sideways est devenu le film phénomène (...).
Le Monde
Un rien pépère en son début, le film, rythmé par une musique jazzy, acquiert peu à peu une enivrante vitesse de croisière, filant crescendo vers des gags cocasses et des idylles contrariantes.
Les Inrockuptibles
Sujet rebattu et traitement arty mais, à l'arrivée, une comédie sentimentale qui réussit à être touchante et drôle.
Ouest France
une chronique qui cultive la saveur pertinente et la liberté colorée des meilleures productions du cinéma américain indépendant.
Positif
Sans effort ostensible, Payne produit une critique virulente et précise. On peut déplorer sans doute l'heureux dénouement, pièce rapportée, blâmer la longueur de l'ouvrage, regretter que la verve ne s'y exerce pas avec plus de fantaisie. Mais ce serait oublier que ce cinéma repose sur l'équilibre et la lucidité, qu'Aristophane y manque toujours son coup. A plus forte raison quand la mort de Dionysos est le sujet du film.
Première
Le réalisateur a encore choisi le mode du road-movie pour dépeindre cette Amérique authentique qu'il caricaturait légèrement dans Monsieur Schmidt. Moins expéditif, il a particulièrement soigné les personnages féminins croisés par nos deux citadins en goguette. Le résultat, nourri de psy et de naturalisme, renvoie au cinéma des années 70.
Rolling Stone
De l'atmosphère du film, surfant entre tendre amertume et ironie acidulée, aux formidables acteurs (dont Paul Giamatti, décidément impeccable), tout contribue à faire de Sideways une savoureuse comédie qui se déguste sans attendre.
Score
En sortant un peu plus d'une route toute tracée, Payne aurait fait de Sideways un très grand film. En l'état, il réouvre une voie où Altman et Allen n'osent plus rouler. C'est déjà énorme. Si en plus il offre une belle seconde chance à Virginie Madsen...
Zurban
Le charme opère en douce,sans jamais s'imposer, et Sideways finit par se déguster comme un grand cru. En savourant posément.
Fluctuat.net
Peu de cinéma à l'horizon. Quelques portraits nuancés à partir d'un guide du parfait loser, et des acteurs plutôt bons. Mais au-delà, il y a peu de choses à retenir de Sideways et de son manuel touristique existentiel.
MCinéma.com
Le seul regret que l'on ait, malheureusement de taille, c'est qu'à trop bichonner ses personnages, Alexander Payne oublie qu'il fait du cinéma. Discrète à souhait, sa mise en scène finit par tomber dans l'oubli. SIDEWAYS est tout sauf une piquette bon marché, mais avec un peu plus d'audace visuelle, il aurait tout eu du grand cru.
Paris Match
Ce film (...) aurait peut-être un bien meilleur cru sans une photo digne d'une piquette et une mise en scène un peu bouchonnée.
Cahiers du Cinéma
Aimanté par le tourisme beauf qu'il chatouille, Alexander Payne chemine mollement sur l'autoroute du Buddy Movie initiatique aux gags poussifs.
Libération
Trois situations ou formules ne sauvent pas la publicité déguisée Sideways de l'ennui mortel de sa réalisation road-movie semainier, ni d'un casting au diapason de sa laideur manifeste.