Note moyenne
3,5
26 titres de presse

Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

26 critiques presse

Positif

par Jean-Christophe Ferrari

Quel pari ! Et quelle réussite ! Que d'évidence et d'opacité en même temps ! Que d'originalité mêlée à une si étrange familiarité ! (...) Il y a dans la manière de filmer de Lucile Hadzihlilovic quelque chose d'orgiaque: une puissance créatrice qui trouble et bouscule l'allégorie afin de lui donner un caractère inquiétant.

La critique complète est disponible sur le site Positif

Première

par Gérard Delorme

Très beau et très étonnant premier film, tout de douceur et de mystère.

La critique complète est disponible sur le site Première

Rock & Folk

par Christophe Lemaire

D'une sensibilité hallucinante (...), Innocence joue avec un tact extrême sur l'angoisse sourde du Passage, cet état pas vraiment palpable où les jeunes filles en fleurs prennent lentement conscience de leurs corps et de leurs âmes. Impossible à retranscrire par les mots ou par l'écrit (...), Innocence est un film totalement magique.

Score

par Dick Novak

Pour: Lent, douloureux, magique et réparateur.

La critique complète est disponible sur le site Score

aVoir-aLire.com

par Romain Le Vern

Lucile Hadzihalilovic a signé le Pique-nique à Hanging Rock français où là aussi de mystérieuses disparues possèdent la beauté miraculeuse des anges de Botticelli. Un film d'un autre temps, quelque part entre le cauchemar familier et le songe lointain.

Cinéastes

par Matthieu Santelli

Très habilement la réalisatrice trouble notre vision, nous pousse à croire à ce que l'on redoute, à anticiper l'atroce, sans qu'un seul élément scénaristique ne vienne suggérer quoi que ce soit. La puissance d'évocation des images est utilisée à son comble : une cave, une fontaine, un escargot... Des motifs aussi simples qu'allusifs.Un film riche, complexe et quelque peu ésotérique, Hadzihalilovic s'avère une cinéaste très prometteuse.

La critique complète est disponible sur le site Cinéastes

L'Humanité

par Vincent Ostria

un film assez incompréhensible, où Lucile Hadzihalilovic excelle néanmoins à distiller un climat d'angoisse en jouant sur des rituels, avec de simples objets très choisis, des intérieurs sombres, une forêt (où sont plantés des réverbères !), une lumière très travaillée. Cinéaste à suivre.

Les Inrockuptibles

par Vincent Ostria

Innocence est un objet glacial qui constitue une proposition de cinéma très particulière , une espèce de Salo (Pasolini) revu et corrigé par la Bibliothèque rose. certainement le plus rigoureux et extrémiste, au sens formel, des films de pensionnats vus récemment (...), qui résonnent comme d'inquiétants appels à la discipline dans un monde décadré.

Libération

par Philippe AZOURY

Aussi étrange que déceptif, souvent beau (esthétiquement), toujours à la limite (volontairement), Innocence est tout, bien sûr, sauf un film innocent : il sait exactement à quelle frontière se tenir et n'avance qu'en posant des pièges.

Studio Magazine

par Thierry Cheze

Voir la critique sur www.studiomag.com

La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine

Synopsis

par Virginie Apiou

premier film étrange [...]. Pourquoi voir Innocence ? Parce que c'est un film de genre dont chacune des images est au service de l'intrigue. Chaque bruit, chaque mouvement, chaque geste d'enfants, par sa durée, impose une atmosphère, un sentiment de menace sourde dont on ne sait jamais si elle éclatera ou non.

Synopsis

par Virginie Apiou

premier film étrange [...]. Pourquoi voir Innocence ? Parce que c'est un film de genre dont chacune des images est au service de l'intrigue. Chaque bruit, chaque mouvement, chaque geste d'enfants, par sa durée, impose une atmosphère, un sentiment de menace sourde dont on ne sait jamais si elle éclatera ou non.

Télé 7 Jours

par Gérard Lenne

Symboles opaques et poétiques font le charme déjà controversé d'un film qui garde jusqu'au bout son mystère, son singulier envoûtement.

L'Express

par Stéphane Brisset

Voir la critique sur www.lexpress.fr

Le Figaroscope

par Françoise MAUPIN

Voilà un ovni bien intrigant dont on se demande s'il n'est pas l'oeuvre d'un vieux libidineux tant les petites culottes, les corps impubères et les tresses bien sages occupent l'écran.(...) Si on est séduit par la beauté plastique de l'oeuvre, on ne comprend pas très bien le message et on s'ennuie plutôt.

Le Monde

par Isabelle Regnier

Aussi soignée et séduisante que soit l'esthétique du film, la mise en scène appuie en permanence un propos critique explicitement affirmé par ailleurs. Et en redoublant la thématique de l'enfermement, la forme du conte maintient le film dans une univocité relativement stérile.

La critique complète est disponible sur le site Le Monde

MCinéma.com

par Guillaume Tion

La séduction diminue lorsque le film, qui frôle les deux heures, se révèle uniquement symbolique. L'ambiance ne suffit alors plus à combler les longueurs, et la fin laisse à désirer. Mais l'expérience vaut le détour.

Score

par Axel Martinez

Contre: Même s'il faut bien reconnaître de belles valeurs picturales, le film oublie de raconter quelque chose (...) et, ceci, sur quasiment 2 heures. Une belle déception.

La critique complète est disponible sur le site Score

Télérama

par Jacques Morice

A semer des symboles et des présages un peu partout, Innocence fait aussi du surplace. Mais en matière d'apprentissage poétique, il bat à plate couture Les Choristes.

La critique complète est disponible sur le site Télérama

Zurban

par Charlotte Lipinska

Rigoureuse et stylisée, la mise en scène s'équilibre entre onirisme et réalisme. La quotidienneté d'une vie en huis clos exclusivement féminine devient peu à peu angoissante et charge les spectateurs d'en interpréter chaque détail.

Cahiers du Cinéma

par Sylvain Coumoul

Au-delà d'une ambiance qui se voudrait shyamalanesque, suinte à chaque plan une conception malade de l'enfance, perçue sous l'angle exclusif de la défloration. Qu'un sous-titre possible à Innocence soit quelque chose comme La fabrique des salopes, voilà ce que la cinéaste voudrait imputer à la perversité du regard masculin.

Ciné Live

par Philippe Paumier

Voir la critique sur www.cinelive.fr

Le Point

par La rédaction

Voir la critique sur www.lepoint.fr

La critique complète est disponible sur le site Le Point

Ouest France

par La rédaction

(...) un scénario qui aujourd'hui, dans le traitement qu'en fait Lucile Hadzihalilovic, est plutôt porteur de troubles, de dérapages et d'ambiguïtés.

Paris Match

par Alain Spira

(...) ce premier film a pour seul mérite son étrangeté. On se demande bien ce que sont venues faire Marion Cotillard et Hélène de Fougerolles dans cet objet cinématographique très malsain.

TéléCinéObs

par Gilles Verdiani

On serait agréablement impressionné par l'originalité du projet, l'ambition esthétique et la rigueur altière du récit si l'insistance à filmer les gamines comme des fantasmes pour pervers pépères ne devenait assez vite gênante.

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