Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
MCinéma.com
par Philippe Descottes
Pour son premier film, Dagur Kári nous plonge dans une délicieuse ambiance poétique, à la fois réaliste et surréaliste, ponctuée de moments comiques (le réveil, la marmite de sang renversée sur la grand-mère). La fin choquera peut-être le spectateur par sa tonalité dramatique, mais elle lui ouvrira aussi, tout comme à Nói, d'autres horizons.
Aden
par Philippe Piazzo
D'abord nonchalant, le film bifurque vers des scènes insensées, parfois claquantes comme une gifle, parfois d'une extrême tendresse. Comme si toute la mise en scène était au diapason de l'énergie électrique de son héros, au diapason de cet ennui typique de l'adolescence qui se mue soudain en extraordinaire vitalité. On ressort regonflé et heureux.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Express
par Arnaud Malherbe
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
par Thomas Sotinel
Mais le pouvoir d'attraction du film ne se résume pas à cette seule étrangeté. Pour un réalisateur si jeune, qui traite d'un sujet si propre à l'excès, Dagur Kari fait preuve d'une grande sagesse. Avec la complicité de son acteur, qui dispense les émotions avec une judicieuse parcimonie, le cinéaste met en scène la révolte de Noi avec plus de tristesse résignée que de colère.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Olivier de Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Isabelle Danel
Un premier film islandais qui souffle le chaud et le froid, entre comédie absurde et révolte adolescente. Une réussite.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Les quatre cents coups grisâtres d'un ado islandais détaillés par l'oeil distant et graphique de Dagur Kari, cinéaste doué pour les rebondissements ironico-tragiques.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Antoine De Baecque
La seule et unique chose que l'on saisit, avec évidence, c'est que, lorsque tous les éléments mis en place par Dagur Kari se croisent, le film devient littéralement stupéfiant. (...) Il y a des moments qu'on n'a jamais vus et qu'on ne reverra pas : Dagur Kari redonne le sentiment que le cinéma peut encore surgir à tout instant d'où on ne l'attend plus.
Obejctif-Cinema.com
par Matthieu Chéreau
Premier long-métrage de Dagur Kari, Noi albinoi est un film beau et dépouillé qui touche sans rien dire, et montre sans raconter
Télérama
par Jean-Claude Loiseau
L'univers singulier d'un dadais islandais. Un précipité de délires à froid, un premier film détonant. (...) A ce coup de force scénaristique, filmé avec une rigueur magistrale, on mesurera la singularité d'un cinéaste qui est d'ores et déjà une des révélations de l'année.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Première
par Sophie Grassin
Révolte adolescente? Oui, mais que le réalisateur Dagur Kari, adepte des Simpson, sort de l'ordinaire en la ponctuant de de poésie enfantine ou en l'éclaboussant d'humour absurde.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Le cinéma scandinave, et plus largement nordique, est une enclave esthétique où affluent, sous couvert de particularismes locaux, les plus croupis des paradoxes : comique de l'insipidité et du pathétique, coups d'éclat flapis dans l'oeuf, goût pour un folklore de la laideur érigé en poésie du désastre (...) cette "petite fantaisie islandaise" en est le plus croûteux des exemples récents : une fable en forme de grande ratatouille de tout ce que ce cinéma-là a de pire à proposer.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Zurban
par Véronique le Bris
Car, si Dagur Kari, le réalisateur, a un talent, c'est bien celui de bâtir une ambiance, soumise à la rugosité du climat, à la difficulté de s'épanouir dans un univers clôt. Bardé de prix (à Angers,à Rouen, à Châtenay-Malabry), ce film compte nombre d'atouts pour séduire et révèle un réalisateur déjà parti au Danemark tourner son premier Dogme.
MCinéma.com
Pour son premier film, Dagur Kári nous plonge dans une délicieuse ambiance poétique, à la fois réaliste et surréaliste, ponctuée de moments comiques (le réveil, la marmite de sang renversée sur la grand-mère). La fin choquera peut-être le spectateur par sa tonalité dramatique, mais elle lui ouvrira aussi, tout comme à Nói, d'autres horizons.
Aden
D'abord nonchalant, le film bifurque vers des scènes insensées, parfois claquantes comme une gifle, parfois d'une extrême tendresse. Comme si toute la mise en scène était au diapason de l'énergie électrique de son héros, au diapason de cet ennui typique de l'adolescence qui se mue soudain en extraordinaire vitalité. On ressort regonflé et heureux.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Mais le pouvoir d'attraction du film ne se résume pas à cette seule étrangeté. Pour un réalisateur si jeune, qui traite d'un sujet si propre à l'excès, Dagur Kari fait preuve d'une grande sagesse. Avec la complicité de son acteur, qui dispense les émotions avec une judicieuse parcimonie, le cinéaste met en scène la révolte de Noi avec plus de tristesse résignée que de colère.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Echos
Un premier film islandais qui souffle le chaud et le froid, entre comédie absurde et révolte adolescente. Une réussite.
Les Inrockuptibles
Les quatre cents coups grisâtres d'un ado islandais détaillés par l'oeil distant et graphique de Dagur Kari, cinéaste doué pour les rebondissements ironico-tragiques.
Libération
La seule et unique chose que l'on saisit, avec évidence, c'est que, lorsque tous les éléments mis en place par Dagur Kari se croisent, le film devient littéralement stupéfiant. (...) Il y a des moments qu'on n'a jamais vus et qu'on ne reverra pas : Dagur Kari redonne le sentiment que le cinéma peut encore surgir à tout instant d'où on ne l'attend plus.
Obejctif-Cinema.com
Premier long-métrage de Dagur Kari, Noi albinoi est un film beau et dépouillé qui touche sans rien dire, et montre sans raconter
Télérama
L'univers singulier d'un dadais islandais. Un précipité de délires à froid, un premier film détonant. (...) A ce coup de force scénaristique, filmé avec une rigueur magistrale, on mesurera la singularité d'un cinéaste qui est d'ores et déjà une des révélations de l'année.
Première
Révolte adolescente? Oui, mais que le réalisateur Dagur Kari, adepte des Simpson, sort de l'ordinaire en la ponctuant de de poésie enfantine ou en l'éclaboussant d'humour absurde.
Studio Magazine
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Chronic'art.com
Le cinéma scandinave, et plus largement nordique, est une enclave esthétique où affluent, sous couvert de particularismes locaux, les plus croupis des paradoxes : comique de l'insipidité et du pathétique, coups d'éclat flapis dans l'oeuf, goût pour un folklore de la laideur érigé en poésie du désastre (...) cette "petite fantaisie islandaise" en est le plus croûteux des exemples récents : une fable en forme de grande ratatouille de tout ce que ce cinéma-là a de pire à proposer.
Zurban
Car, si Dagur Kari, le réalisateur, a un talent, c'est bien celui de bâtir une ambiance, soumise à la rugosité du climat, à la difficulté de s'épanouir dans un univers clôt. Bardé de prix (à Angers,à Rouen, à Châtenay-Malabry), ce film compte nombre d'atouts pour séduire et révèle un réalisateur déjà parti au Danemark tourner son premier Dogme.