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Pour son premier long-métrage, Brice Cauvin (...) réussit à nous prendre par la main dans cette longue et minutieuse descente aux enfers des doutes (...) La grâce des tableaux de Venise par Turner n'est pas loin. Splendide.
La critique complète est disponible sur le site Elle
"De particulier à particulier" (...) révèle un ton original. Même si la folie de ces personnages déroute parfois le spectateur, leur flirt avec l'absurde et l'irrationnel constitue un divertissement ambitieux, dans la lignée des comédies de Sophie Fillières.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Pour son premier long métrage, Brice Cauvin opère déjà en jongleur confirmé, alternant les genres jusqu'à obtenir un objet filmique insaisissable, mais cohérent. Un sens du glissement narratif qui, sans aller jusqu'à l'abstraction, insufle à "De particulier à particulier" une vitalité toute... particulière.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le chemin pris par la relation de Marion et Philippe suit les coutures d'un patchwork certes peu commun, mais on aurait attendu que cette exploration gagne le tissu même du film, son coeur cinématographique.
Le traitement de l'intrigue est sec et les situations baignent dans la raideur. Pourtant les acteurs tentent d'amener un peu de folie douce à cette fable (...).
Curieux voyage, dont on perçoit l'originalité et les motivations, mais dont on rejette globalement la manière (...). Un parti pris excitant, mais mal maîtrisé, qui conduit vite à l'exaspération d'être trop baladé.
Le cinéaste tisse son intrigue avec de nombreux fils dans lesquels le spectateur se perd un peu (...) le film se retrouve tristement figé. Obscurité et austérité voilent le regard sur ce récit au sujet ambitieux, mais où l'émotion n'a pas toujours sa place.
On assiste (...) aux dérapages [de Hélène Fillières et Laurent Lucas] comme on jauge un pur exercice de style, à leurs retrouvailles tardives dans le désert syrien comme on feuillette Geo.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Elle
Pour son premier long-métrage, Brice Cauvin (...) réussit à nous prendre par la main dans cette longue et minutieuse descente aux enfers des doutes (...) La grâce des tableaux de Venise par Turner n'est pas loin. Splendide.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
"De particulier à particulier" (...) révèle un ton original. Même si la folie de ces personnages déroute parfois le spectateur, leur flirt avec l'absurde et l'irrationnel constitue un divertissement ambitieux, dans la lignée des comédies de Sophie Fillières.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
aVoir-aLire.com
Pour son premier long métrage, Brice Cauvin opère déjà en jongleur confirmé, alternant les genres jusqu'à obtenir un objet filmique insaisissable, mais cohérent. Un sens du glissement narratif qui, sans aller jusqu'à l'abstraction, insufle à "De particulier à particulier" une vitalité toute... particulière.
Cahiers du Cinéma
On apprécierait davantage le volume de sens de "Particulier à particulier" s'il relevait davantage le nez de son texte pour renifler l'alentour.
Fluctuat.net
Par [le] final, Brice Cauvin parvient in extremis à assurer une cohérence à son audacieux récit.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Inrockuptibles
Le chemin pris par la relation de Marion et Philippe suit les coutures d'un patchwork certes peu commun, mais on aurait attendu que cette exploration gagne le tissu même du film, son coeur cinématographique.
Libération
"De particulier à particulier" recèle un coeur secret (...).
Zurban
Le traitement de l'intrigue est sec et les situations baignent dans la raideur. Pourtant les acteurs tentent d'amener un peu de folie douce à cette fable (...).
Le Figaroscope
Non sans charme mais un peu lent.
Le Journal du Dimanche
Curieux voyage, dont on perçoit l'originalité et les motivations, mais dont on rejette globalement la manière (...). Un parti pris excitant, mais mal maîtrisé, qui conduit vite à l'exaspération d'être trop baladé.
MCinéma.com
Le cinéaste tisse son intrigue avec de nombreux fils dans lesquels le spectateur se perd un peu (...) le film se retrouve tristement figé. Obscurité et austérité voilent le regard sur ce récit au sujet ambitieux, mais où l'émotion n'a pas toujours sa place.
Positif
On assiste (...) aux dérapages [de Hélène Fillières et Laurent Lucas] comme on jauge un pur exercice de style, à leurs retrouvailles tardives dans le désert syrien comme on feuillette Geo.
Première
Sujet original mais écrasant qui, malgré des acteurs généreux, ne convainc que partiellement.
Score
[Un] film qui structurellement ressemble étrangement au très bon "La Moustache" mais qui n'en atteint jamais sa maîtrise.
TéléCinéObs
Et le film d'enchaîner les situations les plus saugrenues, jusqu'à un dénouement encore plus loufoque.
Télérama
[Le film] s'épuise vite dans un trop-plein de pistes, de tonalités et, surtout, d'intentions, si théoriquement intéressantes soient-elles.