Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
(...) grâce à d'excellents comédiens, et à une mise en scène stylisée, Grande école, sous des allures faussement policées, est un film percutant qui explore, avec acuité, ces régions troubles où se mêlent désir de pouvoir et pouvoir du désir.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Aden
par Philippe Piazzo
(...) au lieu de se mêler, les intentions se juxtaposent, devenant trop vite visibles, trop grossières. (...) Ce qui reste insubmersible, c'est la présence des jeunes comédiens. Ce que le film peut parfois avoir d'érotique et de vivant, c'est à eux qu'il le doit.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Télérama
par Pierre Murat
Robert Salis filme plutôt bien le désir, d'abord inconscient puis assumé. Il filme moins bien le plaisir (séquence kitsch des miroirs).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ciné Live
par Laurent Djian
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
(...) le récit s'arrête en route. Certes, il y a ce qu'il faut de discours lourdement politique. Mais le campus étant aussi " l'école de la vie ", on a droit aux traditionnels jeux de l'amour et du sexe, zestés d'une intrigue qui se voudrait perverse mais qui tombe à plat.
Le Monde
par Florence Colombani
(...) Robert Salis entend, dans un même élan, mettre à nu les mécanismes de la société française et ceux du désir. La tâche est trop lourde pour son cinéma, illustratif et pesant, comme pour ses personnages, dont l'intelligence supposée ne transparaît guère à l'écran.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par La Rédaction
Un scénario naïf, pétri d'invraisemblances ; des personnages bavards, une tentative de stylisation de scènes de cul discutable... Grande école ressemble à une version trash d'une sitcom AB productions.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Marc Kressmann
Grande école est un film qui court en permanence après son identité, à l'instar de son héros (...) Filmé scolairement dans des décors atroces, Grande école est surtout destiné aux mateurs amateurs : rarement on a vu autant de nudité frontale masculine au cinéma !
Positif
par Jean-Christophe Ferrari
Grande école est un roman-photo boursouflé (...)
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Christophe Narbonne
A lui seul, le personnage principal est une addition de poncifs (...) Salis s'attarde longuement sur les corps nus dans un style érotique soft qui rappelle les téléfilms de M6.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
aVoir-aLire.com
par Jennifer Homère
Toutes ces thèmes ont été maintes fois abordés, mais ici, ils prennent un aspect (involontairement) comique tant les répliques des comédiens semblent mécaniques et leur jeu figé. Pendant près de deux heures, le film semble flotter, comme s'il n'y avait pas de metteur en scène derrière la caméra (...)
TéléCinéObs
(...) grâce à d'excellents comédiens, et à une mise en scène stylisée, Grande école, sous des allures faussement policées, est un film percutant qui explore, avec acuité, ces régions troubles où se mêlent désir de pouvoir et pouvoir du désir.
Aden
(...) au lieu de se mêler, les intentions se juxtaposent, devenant trop vite visibles, trop grossières. (...) Ce qui reste insubmersible, c'est la présence des jeunes comédiens. Ce que le film peut parfois avoir d'érotique et de vivant, c'est à eux qu'il le doit.
Télérama
Robert Salis filme plutôt bien le désir, d'abord inconscient puis assumé. Il filme moins bien le plaisir (séquence kitsch des miroirs).
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaroscope
(...) le récit s'arrête en route. Certes, il y a ce qu'il faut de discours lourdement politique. Mais le campus étant aussi " l'école de la vie ", on a droit aux traditionnels jeux de l'amour et du sexe, zestés d'une intrigue qui se voudrait perverse mais qui tombe à plat.
Le Monde
(...) Robert Salis entend, dans un même élan, mettre à nu les mécanismes de la société française et ceux du désir. La tâche est trop lourde pour son cinéma, illustratif et pesant, comme pour ses personnages, dont l'intelligence supposée ne transparaît guère à l'écran.
Les Inrockuptibles
Un scénario naïf, pétri d'invraisemblances ; des personnages bavards, une tentative de stylisation de scènes de cul discutable... Grande école ressemble à une version trash d'une sitcom AB productions.
MCinéma.com
Grande école est un film qui court en permanence après son identité, à l'instar de son héros (...) Filmé scolairement dans des décors atroces, Grande école est surtout destiné aux mateurs amateurs : rarement on a vu autant de nudité frontale masculine au cinéma !
Positif
Grande école est un roman-photo boursouflé (...)
Première
A lui seul, le personnage principal est une addition de poncifs (...) Salis s'attarde longuement sur les corps nus dans un style érotique soft qui rappelle les téléfilms de M6.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
aVoir-aLire.com
Toutes ces thèmes ont été maintes fois abordés, mais ici, ils prennent un aspect (involontairement) comique tant les répliques des comédiens semblent mécaniques et leur jeu figé. Pendant près de deux heures, le film semble flotter, comme s'il n'y avait pas de metteur en scène derrière la caméra (...)