Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Fluctuat.net
par Gilles Lyon-Caen
Il (Matteo Garrone) nous livre un film fiévreux, de zones d'ombres en halos de détresse. L'étrangeté s'infiltre ici dans la forme du road movie, jusqu'à en diluer la couleur et les contours dans le fantastique.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
par Françoise MAUPIN
(...) Matteo Garrone sait insuffler un climat fantastique, dépasser le trivial et transformer ce polar minable en une fable vénéneuse.
Le Monde
par Isabelle Régnier
Le sentiment persiste d'avoir rencontré un talent original, un auteur doté d'un sens du cadre, d'une capacité remarquable à inventer des personnages, à restituer des atmosphères et des sensations.
Le Point
par La Rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Agnès Catherine POIRIER
Ce trio déjanté de misfits italiens nous emmène dans les profondeurs d'un rêve cauchemardesque dont on ne devine jamais l'issue et qui toujours nous tient en haleine. Matteo Garrone parle ici d'une Italie en décomposition que peu de cinéastes transalpins ont le courage de regarder en face.
MCinéma.com
par Guillaume Tion
A travers ce trio, et dans les décors dévastés d'une cité balnéaire grisâtre, L'étrange Monsieur Peppino joue sans cesse le décalage entre entre la normalité et la marge, entre le film de genre et le film d'auteur, ce qui le rend tout à fait original.
Positif
par Fabien Baumann
Matteo Garrone filme l'un avec la compassion et la tendresse charnelle d'un embaumeur. A l'autre, il réserve un étonnant et définitif fondu au noir. Bien sûr, il y a encore chez ce réalisateur (...) trop de couples qui courent sur la plage au son d'un saxophone. Mais son cinéma appareille pour de somptueux naufrages.
TéléCinéObs
par Bernard Ajour
(...) vertigineuse approche de la manipulation et de la dépendance qui révèle en son auteur un fantastique créateur d'atmosphère (...)
Aden
par La rédaction
Mais ce n'est pas l'étrangeté revendiquée du film, qui se poursuit au fil de paysages désolés et déformés, qui intrigue. Plutôt le regard tendre et fasciné du cinéaste pour des créatures dont il observe l'attirance et la répulsion simultanées.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
par Eugenio Renzi
Le résultat est alors un film aéré et pacifié, iconoclaste jusqu'à l'os, qui, du noir, malgré un double hommage à Psychose (...), accueille la couleur mais salue le suspense.
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
par La rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Les Inrockuptibles
par La rédaction
C'est assez réussi, avec une sorte de parallèle fructueux entre la confection d'animaux empaillés et les extérieurs stériles et plombés. Dommage qu'on n'en reste pas là. Car quand la machine à fiction se met réellement en route, quand une femme survient, on tombe dans les clichés de la fatalité habituelle.
Première
par Olivier Lemaire
Il y a des airs lynchiens dans le traitement suffocant de ce qui apparaissait comme une amitié naissante et qui sombre en fait comme un cauchemar. Peppino est à l'image des petits hommes de Mulholland Drive ou de Twin Peaks, paradoxalement inoffensif et menaçant.
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
aVoir-aLire.com
par Sébastien Tong
La psychologie des personnages sombre malheureusement bien vite dans le stéréotype et le prévisible (...). Reste malgré tout un film original, sorte de conte moderne sans prétention et pas forcément inintéressant
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Faute d'avoir mieux nourri le personnage du petit empailleur, le film cesse peu à peu de surprendre, et son étrangeté paraît forcée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Fluctuat.net
Il (Matteo Garrone) nous livre un film fiévreux, de zones d'ombres en halos de détresse. L'étrangeté s'infiltre ici dans la forme du road movie, jusqu'à en diluer la couleur et les contours dans le fantastique.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
(...) Matteo Garrone sait insuffler un climat fantastique, dépasser le trivial et transformer ce polar minable en une fable vénéneuse.
Le Monde
Le sentiment persiste d'avoir rencontré un talent original, un auteur doté d'un sens du cadre, d'une capacité remarquable à inventer des personnages, à restituer des atmosphères et des sensations.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
Ce trio déjanté de misfits italiens nous emmène dans les profondeurs d'un rêve cauchemardesque dont on ne devine jamais l'issue et qui toujours nous tient en haleine. Matteo Garrone parle ici d'une Italie en décomposition que peu de cinéastes transalpins ont le courage de regarder en face.
MCinéma.com
A travers ce trio, et dans les décors dévastés d'une cité balnéaire grisâtre, L'étrange Monsieur Peppino joue sans cesse le décalage entre entre la normalité et la marge, entre le film de genre et le film d'auteur, ce qui le rend tout à fait original.
Positif
Matteo Garrone filme l'un avec la compassion et la tendresse charnelle d'un embaumeur. A l'autre, il réserve un étonnant et définitif fondu au noir. Bien sûr, il y a encore chez ce réalisateur (...) trop de couples qui courent sur la plage au son d'un saxophone. Mais son cinéma appareille pour de somptueux naufrages.
TéléCinéObs
(...) vertigineuse approche de la manipulation et de la dépendance qui révèle en son auteur un fantastique créateur d'atmosphère (...)
Aden
Mais ce n'est pas l'étrangeté revendiquée du film, qui se poursuit au fil de paysages désolés et déformés, qui intrigue. Plutôt le regard tendre et fasciné du cinéaste pour des créatures dont il observe l'attirance et la répulsion simultanées.
Cahiers du Cinéma
Le résultat est alors un film aéré et pacifié, iconoclaste jusqu'à l'os, qui, du noir, malgré un double hommage à Psychose (...), accueille la couleur mais salue le suspense.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Les Inrockuptibles
C'est assez réussi, avec une sorte de parallèle fructueux entre la confection d'animaux empaillés et les extérieurs stériles et plombés. Dommage qu'on n'en reste pas là. Car quand la machine à fiction se met réellement en route, quand une femme survient, on tombe dans les clichés de la fatalité habituelle.
Première
Il y a des airs lynchiens dans le traitement suffocant de ce qui apparaissait comme une amitié naissante et qui sombre en fait comme un cauchemar. Peppino est à l'image des petits hommes de Mulholland Drive ou de Twin Peaks, paradoxalement inoffensif et menaçant.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
aVoir-aLire.com
La psychologie des personnages sombre malheureusement bien vite dans le stéréotype et le prévisible (...). Reste malgré tout un film original, sorte de conte moderne sans prétention et pas forcément inintéressant
Télérama
Faute d'avoir mieux nourri le personnage du petit empailleur, le film cesse peu à peu de surprendre, et son étrangeté paraît forcée.