Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Innocents est ainsi un film très étrange, qui vous empoigne au moment même où on croit qu'il est raté, qui décolle quand on est prêt à le lâcher. C'est une sorte de poème à la Apollinaire. On en voit d'abord la coquetterie, qui indiffère, puis qui garde un mystère hautain quand soudain une beauté surgit de ce mélange inédit.
La critique complète est disponible sur le site Aden
L'Express
par Jean-Pierre Dufreigne
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Jean Roy
On ne refait pas impunément son film le plus connu. Pourtant, là comme dans ses films antérieurs, c'est un équilibre fragile qui s'installe entre quête désespérée du plaisir et solitude, entre passion et pulsion, entre glorification et mortification. Dreamers est un beau film fragile.
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Ce qui fait échapper le film à la reconstitution simplette et la vénération simpliste est sa volonté de tenir la toile de fond soixante-huitarde à distance pour égrener ses éternelles obsessions.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Gérard Lefort
Sans nostalgie ni infatuation, un homme se penche sur son passé mais n'y sombre pas, par loyauté envers une version jeune de lui-même (...) The Dreamers, manuel de savoir-vivre autant que rêve éveillé, pense à nous. Son joli "moi" de mai est notre printemps préféré.
Première
par Christophe Narbonne
Nonobstant certaines scènes érotiques à la limite de la ringardise, Innocents... prolonge une réflexion ininterrompue sur la représentation et la symbolique du sexe - aliénant, destructeur, vital.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Christophe D'Yvoire
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guerand
(...) l'éblouissante Eva Green préfigure le personnage incarné par Maria Schneider. Quant à la fronde soixante-huitarde, elle n'est qu'un écrin historique destiné à intensifier l'éclat fulgurant de ces trois enfants perdus.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Louis Guichard
Innocents possède (...) le charme voluptueux et tire-au-flanc de ces récits qui relèguent au second plan la foule en colère et l'Histoire pour s'alanguir au calme, derrière une façade pierre de taille.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par François Bégaudeau
Le huis-clos. C'est l'enjeu véritable et le coeur d'Innocents (...) La cinéphilie se fait chair, le film trouve son lieu. Mais s'y tient au point d'oublier ce dont ce repli se voulait la correspondance (...) Un roman jamesien en ressort, qu'on est en droit d'apprécier.
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
S'il n'était signé trente ans plus tard, on pourrait considérer qu'Innocents, The Dreamers est un avant-goût du Dernier Tango à Paris en quelque sorte. Même propos, mais moins de force et de provocation.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Innocents est l'évocation maladroite, clicheteuse et superficielle de la cinéphilie des années 60, des prémisses de mai 68 à Paris et d'une "libération" sexuelle sur laquelle le film émet quelques doutes (...) Cela dit, Bertolucci force l'admiration par son indifférence au ridicule.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
(...) un film intéressant et élégant, mais qui manque de chair pour être un grand film.
Positif
par Albert Bolduc
Certes, le savoir-faire technique du réalisateur joue avec virtuosité d'un espace clos, (...) Mais la superficialité des personnages, l'occultation totale du politique et l'accumulation de fausses audaces nous maintiennent à distance d'une narration qui s'étire.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Télérama
par Jacques Morice
Aucune fièvre, aucun sentiment de présent : on baigne tout simplement dans une ribambelle de vignettes rétro, entre provoc toc et perversité de pacotille (...) Bertolucci, qui, rappelons-le au passage, n'a pas fait un bon film depuis au moins vingt ans (...) a perdu tout sens de ce qu'on appelle le style.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Sophie Lecerf
Précédé par une réputation sulfureuse, Innocents se révèle très rapidement être une approche artificielle et superficielle de l'éveil sexuel et politique de trois jeunes, dans la tourmente de mai 68.
Aden
Innocents est ainsi un film très étrange, qui vous empoigne au moment même où on croit qu'il est raté, qui décolle quand on est prêt à le lâcher. C'est une sorte de poème à la Apollinaire. On en voit d'abord la coquetterie, qui indiffère, puis qui garde un mystère hautain quand soudain une beauté surgit de ce mélange inédit.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
On ne refait pas impunément son film le plus connu. Pourtant, là comme dans ses films antérieurs, c'est un équilibre fragile qui s'installe entre quête désespérée du plaisir et solitude, entre passion et pulsion, entre glorification et mortification. Dreamers est un beau film fragile.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Ce qui fait échapper le film à la reconstitution simplette et la vénération simpliste est sa volonté de tenir la toile de fond soixante-huitarde à distance pour égrener ses éternelles obsessions.
Libération
Sans nostalgie ni infatuation, un homme se penche sur son passé mais n'y sombre pas, par loyauté envers une version jeune de lui-même (...) The Dreamers, manuel de savoir-vivre autant que rêve éveillé, pense à nous. Son joli "moi" de mai est notre printemps préféré.
Première
Nonobstant certaines scènes érotiques à la limite de la ringardise, Innocents... prolonge une réflexion ininterrompue sur la représentation et la symbolique du sexe - aliénant, destructeur, vital.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
(...) l'éblouissante Eva Green préfigure le personnage incarné par Maria Schneider. Quant à la fronde soixante-huitarde, elle n'est qu'un écrin historique destiné à intensifier l'éclat fulgurant de ces trois enfants perdus.
Télérama
Innocents possède (...) le charme voluptueux et tire-au-flanc de ces récits qui relèguent au second plan la foule en colère et l'Histoire pour s'alanguir au calme, derrière une façade pierre de taille.
Cahiers du Cinéma
Le huis-clos. C'est l'enjeu véritable et le coeur d'Innocents (...) La cinéphilie se fait chair, le film trouve son lieu. Mais s'y tient au point d'oublier ce dont ce repli se voulait la correspondance (...) Un roman jamesien en ressort, qu'on est en droit d'apprécier.
Le Figaroscope
S'il n'était signé trente ans plus tard, on pourrait considérer qu'Innocents, The Dreamers est un avant-goût du Dernier Tango à Paris en quelque sorte. Même propos, mais moins de force et de provocation.
Les Inrockuptibles
Innocents est l'évocation maladroite, clicheteuse et superficielle de la cinéphilie des années 60, des prémisses de mai 68 à Paris et d'une "libération" sexuelle sur laquelle le film émet quelques doutes (...) Cela dit, Bertolucci force l'admiration par son indifférence au ridicule.
MCinéma.com
(...) un film intéressant et élégant, mais qui manque de chair pour être un grand film.
Positif
Certes, le savoir-faire technique du réalisateur joue avec virtuosité d'un espace clos, (...) Mais la superficialité des personnages, l'occultation totale du politique et l'accumulation de fausses audaces nous maintiennent à distance d'une narration qui s'étire.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Télérama
Aucune fièvre, aucun sentiment de présent : on baigne tout simplement dans une ribambelle de vignettes rétro, entre provoc toc et perversité de pacotille (...) Bertolucci, qui, rappelons-le au passage, n'a pas fait un bon film depuis au moins vingt ans (...) a perdu tout sens de ce qu'on appelle le style.
aVoir-aLire.com
Précédé par une réputation sulfureuse, Innocents se révèle très rapidement être une approche artificielle et superficielle de l'éveil sexuel et politique de trois jeunes, dans la tourmente de mai 68.