Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Qu'il s'agisse des grandes scènes de batailles ou des démons intérieurs du petit hobbit, rongé par le pouvoir de l'Anneau, le réalisateur voit juste à chaque fois, avec un grand respect de l'oeuvre originale.
Le Retour du Roi, ultime volet d'un seul et même monument du cinéma, se pose sans ambages comme l'un des plus beaux films jamais réalisés. Une oeuvre d'émotion pure, un rêve de cinéma, l'expression d'une symbiose parfaite entre spectaculaire et intime.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Grand spectacle et émotions ne font qu'un dans un scénario d'une étonnante simplicité et d'une grande lisibilité (...) En dépit d'un démarrage un peu lent, et de rares effets spéciaux peu maîtrisés (...), Peter Jackson prouve une fois encore avec ce film sa maîtrise de réalisateur comme ses talents de conteur.
Le Retour du roi est un spectacle total où l'illusion est alimentée par une surenchère d'effets spéciaux qui nous vaut d'assister à des batailles de titans comme seul Cecil B. DeMille osa naguère en filmer.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les décors sont grandioses, la mise en scène de Peter Jackson époustouflante, les scènes de batailles superbes. (...) Bref, les trois heures quinze de spectacle passent vite, très vite.
La mégalomanie de Peter Jackson (...) lui permet de réussir quelques morceaux de bravoure qui trouveront sans doute plus de sens dans un film moins contraint par les nécessités de l'exploitation en salles.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Que dire de ce dernier épisode de l'adaptation de la saga culte de Tolkien, sinon qu'il est assez réussi dans son genre (celui de la littérature pour matheux, donc sans style)? (...) Seul ddéfaut évident : un dénouement très longuet qui accumule inutilement les fausses fins et les épilogues lacrymaux (ou censées l'être).
Avec ses péripéties et ses moments forts (Frodon contre une araignée géante, Légolas contre un éléphant numérique), ce troisième épisode conclut de manière satisfaisante le feuilleton de l'Anneau maléfique.
Le plaisir est garanti, quel que soit le niveau de " tolkienologie " du spectateur, s'il a le goût des rêves démesurés, s'il a juste assez d'ironie pour se régaler des flamboiements au premier degré. Et il en faut tout de même un peu pour tenir jusqu'à l'ultime épilogue, énième séance d'attendrissement embué d'une longue série de " fausses fins " grandiloquentes (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Au zénith de son talent, Peter Jackson livre un troisième volet d'une rare intensité, où tous les destins des personnages impliqués dans la communauté se croisent dans un final époustouflant. Le sens épique retrouvé, Peter Jackson aligne les morceaux de bravoure et des plans d'une rare beauté pour un spectacle qui rend ses lettres de noblesse au 7e art.
Si toutes les bonnes histoires ont une fin, certaines se prolongent au-delà du raisonnable, ici largement dépassé avec les 3 h 20 de cette ultime partie. C'est fort dommage car les trois premiers quarts du film sont plutôt réussis.
Jackson n'a toujours pas d'autre solution pour enjamber l'ampleur du récit que de faire courir en parallèle les actions, comme des sprinters dans des couloirs. A force de se cogner, les blocs narratifs s'unissent en épopée dérisoire. Tentant de retourner en force cette figure imposée, Jackson en annule pourtant toute efficacité.
Dire que ce troisième épisode est meilleur ou moins bon que les autres n'a guère de sens, puisque les intentions de Peter Jackson et les enjeux du film étaient fixés depuis longtemps. Les amateurs seront ravis (ça continue pareil), les autres s'ennuieront toujours autant (ça continue pareil).
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Douze heures après les premiers pas velus de Bilbo, le sort de l'"anneau" n'est toujours pas réglé. Loin de là : on s'en reprend d'un coup trois plombes et demie. Les garçonnets concernés en auront pour leur argent de Noël de leurs parents. Il y a du spectacle.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
MCinéma.com
Qu'il s'agisse des grandes scènes de batailles ou des démons intérieurs du petit hobbit, rongé par le pouvoir de l'Anneau, le réalisateur voit juste à chaque fois, avec un grand respect de l'oeuvre originale.
Positif
Le Retour du Roi, ultime volet d'un seul et même monument du cinéma, se pose sans ambages comme l'un des plus beaux films jamais réalisés. Une oeuvre d'émotion pure, un rêve de cinéma, l'expression d'une symbiose parfaite entre spectaculaire et intime.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Ecran Fantastique
Grand spectacle et émotions ne font qu'un dans un scénario d'une étonnante simplicité et d'une grande lisibilité (...) En dépit d'un démarrage un peu lent, et de rares effets spéciaux peu maîtrisés (...), Peter Jackson prouve une fois encore avec ce film sa maîtrise de réalisateur comme ses talents de conteur.
L'Obs
Le Retour du roi est un spectacle total où l'illusion est alimentée par une surenchère d'effets spéciaux qui nous vaut d'assister à des batailles de titans comme seul Cecil B. DeMille osa naguère en filmer.
Le Figaroscope
Les décors sont grandioses, la mise en scène de Peter Jackson époustouflante, les scènes de batailles superbes. (...) Bref, les trois heures quinze de spectacle passent vite, très vite.
Le Monde
La mégalomanie de Peter Jackson (...) lui permet de réussir quelques morceaux de bravoure qui trouveront sans doute plus de sens dans un film moins contraint par les nécessités de l'exploitation en salles.
Les Inrockuptibles
Que dire de ce dernier épisode de l'adaptation de la saga culte de Tolkien, sinon qu'il est assez réussi dans son genre (celui de la littérature pour matheux, donc sans style)? (...) Seul ddéfaut évident : un dénouement très longuet qui accumule inutilement les fausses fins et les épilogues lacrymaux (ou censées l'être).
Première
Avec ses péripéties et ses moments forts (Frodon contre une araignée géante, Légolas contre un éléphant numérique), ce troisième épisode conclut de manière satisfaisante le feuilleton de l'Anneau maléfique.
Télérama
Le plaisir est garanti, quel que soit le niveau de " tolkienologie " du spectateur, s'il a le goût des rêves démesurés, s'il a juste assez d'ironie pour se régaler des flamboiements au premier degré. Et il en faut tout de même un peu pour tenir jusqu'à l'ultime épilogue, énième séance d'attendrissement embué d'une longue série de " fausses fins " grandiloquentes (...).
aVoir-aLire.com
Au zénith de son talent, Peter Jackson livre un troisième volet d'une rare intensité, où tous les destins des personnages impliqués dans la communauté se croisent dans un final époustouflant. Le sens épique retrouvé, Peter Jackson aligne les morceaux de bravoure et des plans d'une rare beauté pour un spectacle qui rend ses lettres de noblesse au 7e art.
L'Humanité
Si toutes les bonnes histoires ont une fin, certaines se prolongent au-delà du raisonnable, ici largement dépassé avec les 3 h 20 de cette ultime partie. C'est fort dommage car les trois premiers quarts du film sont plutôt réussis.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Cahiers du Cinéma
Jackson n'a toujours pas d'autre solution pour enjamber l'ampleur du récit que de faire courir en parallèle les actions, comme des sprinters dans des couloirs. A force de se cogner, les blocs narratifs s'unissent en épopée dérisoire. Tentant de retourner en force cette figure imposée, Jackson en annule pourtant toute efficacité.
Chronic'art.com
Dire que ce troisième épisode est meilleur ou moins bon que les autres n'a guère de sens, puisque les intentions de Peter Jackson et les enjeux du film étaient fixés depuis longtemps. Les amateurs seront ravis (ça continue pareil), les autres s'ennuieront toujours autant (ça continue pareil).
Libération
Douze heures après les premiers pas velus de Bilbo, le sort de l'"anneau" n'est toujours pas réglé. Loin de là : on s'en reprend d'un coup trois plombes et demie. Les garçonnets concernés en auront pour leur argent de Noël de leurs parents. Il y a du spectacle.