Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Chronic'art.com
par Elysabeth François
Burr Steers possède un talent certain pour mettre en place des situations paradoxales, parfois osées, comme la scène de la mort de la mère filmée sous un angle presque burlesque. C'est grâce à cette impertinence qu'Igby pâlie les carences d'une mise en scène plutôt conventionnelle et s'avère au final une comédie indépendante américaine de bonne tenue.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Monde
par Thomas Sotinel
La mise en scène un peu précieuse, le montage enlevé font évoluer les personnages dans un monde dessiné comme une caricature précise et à peine exagérée des Etats-Unis de ce début de siècle. L'art du film, qui pourrait n'être qu'une vignette ironique, est de provoquer un intérêt pour le personnage central qui confine bientôt à l'attachement. En dépit de son irresponsabilité, on finit par ne vouloir que du bien à ce sale gosse de riches.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
(...) une satire à la fois drôle, désabusée mais souvent languissante qui vaut surtout pour les interprétations de Sarandon et compagnie.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Libération
par Didier Péron
Reste le casting, l'un des plus chromés qui se puisse concevoir pour un débutant intello comme Steers qui leur a mis en bouche des dialogues, mi-spirituels mi-verbeux, rédigés par ses soins.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
Pourtant doté d'un réel potentiel émotionnel, IGBY tombe alors dans les banals travers de la comédie dramatique à l'américaine et ses envolées psychologiques lassantes. Mais le film a le mérite de révéler au grand jour les talents d'un jeune comédien. Entouré de son écharpe rouge et jaune, Kieran Culkin fait inconsciemment penser à Harry Potter. Et comme le petit sorcier, il est promis au plus glorieux des avenirs.
Première
par Christian Jauberty
Mais la qualité du scénario (écrit par Burr Steers) et de l'interprétation (dominée par la remarquable performance de Kieran Culkin) justifie qu'on se laisse un tantinet agacer.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Bernard Achour
Le film en profite pour renouveler avec une effronterie salutaire et une gravité parfois poignante le genre bien essouflé du teenage movie.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Pierre Murat
Tous les comédiens (Susan Sarandon, Jeff Goldblum, Claire Danes), visiblement convaincus, aident leur réalisateur à réussir une "grande oeuvre". Le plus naturel est Kieran Culkin (frère de l'abominable Macaulay), qui fait d'Igby un ado poétique, perdu dans la cruauté du monde.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Un portrait d'ado qui n'échappe pas aux tics à la mode.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Zurban
par Eric Quéméré
D'autant que, malgré les cascades de musique FM chargées de faire diversion, la mise en scène s'avère être d'une étonnante indigence. Qu'allait faire Susan Sarandon dans cette galère?
Chronic'art.com
Burr Steers possède un talent certain pour mettre en place des situations paradoxales, parfois osées, comme la scène de la mort de la mère filmée sous un angle presque burlesque. C'est grâce à cette impertinence qu'Igby pâlie les carences d'une mise en scène plutôt conventionnelle et s'avère au final une comédie indépendante américaine de bonne tenue.
Le Monde
La mise en scène un peu précieuse, le montage enlevé font évoluer les personnages dans un monde dessiné comme une caricature précise et à peine exagérée des Etats-Unis de ce début de siècle. L'art du film, qui pourrait n'être qu'une vignette ironique, est de provoquer un intérêt pour le personnage central qui confine bientôt à l'attachement. En dépit de son irresponsabilité, on finit par ne vouloir que du bien à ce sale gosse de riches.
Le Figaroscope
(...) une satire à la fois drôle, désabusée mais souvent languissante qui vaut surtout pour les interprétations de Sarandon et compagnie.
Libération
Reste le casting, l'un des plus chromés qui se puisse concevoir pour un débutant intello comme Steers qui leur a mis en bouche des dialogues, mi-spirituels mi-verbeux, rédigés par ses soins.
MCinéma.com
Pourtant doté d'un réel potentiel émotionnel, IGBY tombe alors dans les banals travers de la comédie dramatique à l'américaine et ses envolées psychologiques lassantes. Mais le film a le mérite de révéler au grand jour les talents d'un jeune comédien. Entouré de son écharpe rouge et jaune, Kieran Culkin fait inconsciemment penser à Harry Potter. Et comme le petit sorcier, il est promis au plus glorieux des avenirs.
Première
Mais la qualité du scénario (écrit par Burr Steers) et de l'interprétation (dominée par la remarquable performance de Kieran Culkin) justifie qu'on se laisse un tantinet agacer.
TéléCinéObs
Le film en profite pour renouveler avec une effronterie salutaire et une gravité parfois poignante le genre bien essouflé du teenage movie.
Télérama
Tous les comédiens (Susan Sarandon, Jeff Goldblum, Claire Danes), visiblement convaincus, aident leur réalisateur à réussir une "grande oeuvre". Le plus naturel est Kieran Culkin (frère de l'abominable Macaulay), qui fait d'Igby un ado poétique, perdu dans la cruauté du monde.
Les Inrockuptibles
Un portrait d'ado qui n'échappe pas aux tics à la mode.
Zurban
D'autant que, malgré les cascades de musique FM chargées de faire diversion, la mise en scène s'avère être d'une étonnante indigence. Qu'allait faire Susan Sarandon dans cette galère?