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Mais c'est aussi et surtout une fidélité à l'esprit de la série, élément fondamental, qui permet une transition sans anicroche, ni fausse note entre la version pour la télévision et celle cinématographique.
En dehors de Matthew Lillard qui insuffle une énergie louable dans le personnage de Shaggy, les autres interprètes semblent surtout s'appliquer à ne pas faire de l'ombre à leur partenaire canin numérisé. La caravane passe.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'intrigue est brouillonne, l'humour gentiment crétin : pas de quoi fouetter un chien, mais l'occasion, pour parents nostalgiques et enfants surmenés, de se mettre un moment le cerveau en vacances...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Oscillant entre clins d'oeil très second degré et intrigue plus que basique à destination du jeune public, Scooby-Doo ne trouve jamais ses marques. En résulte un film bâtard, à mi-chemin entre une production MTV et un long-métrage Disney.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Entre dessin animé et film live, cette adaptation ne parvient pas à choisir son camp. Les mots fusent moins que les pets (...), les gags visuels sont bien évidemment en deçà de nos souvenirs télévisuels, le chien en image de synthèse est très bof-bof et le tout est servi par une connerie généralisée qui, à nouveau, nivelle les distractions par le bas, sans oublier un doublage dénué d'inspiration.
La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com
Le vrai plantage reste la version 3-D de Scooby, certes très bien doublé, mais vraiment très, très laid à regarder. Hollywood a bien fait parler un cochon, alors pourquoi pas un chien ?
En voulant bêtement faire vibrer la fibre nostalgique des éternels adolescents tout en cherchant à séduire les gosses, Raja Gosnell a a ccouché d'un film prétexte, rejeton infâme et bidon de Ghostbusters et POokemon, qui tente de vendre les pires horreurs en les faisant passer pour des chefs-d'oeuvre "arty".
L'Ecran Fantastique
Mais c'est aussi et surtout une fidélité à l'esprit de la série, élément fondamental, qui permet une transition sans anicroche, ni fausse note entre la version pour la télévision et celle cinématographique.
Le Parisien
"Scooby-Doo" ne laisse pas le temps aux neurones de s'ennuyer. C'est un saut à l'élastique dans la fantaisie débridée.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Première
En dehors de Matthew Lillard qui insuffle une énergie louable dans le personnage de Shaggy, les autres interprètes semblent surtout s'appliquer à ne pas faire de l'ombre à leur partenaire canin numérisé. La caravane passe.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
L'intrigue est brouillonne, l'humour gentiment crétin : pas de quoi fouetter un chien, mais l'occasion, pour parents nostalgiques et enfants surmenés, de se mettre un moment le cerveau en vacances...
Cahiers du Cinéma
Le film milite ouvertement pour le triomphe de l'Idiotie à l'intérieur d'une structure foutraque (...).
Chronic'art.com
Oscillant entre clins d'oeil très second degré et intrigue plus que basique à destination du jeune public, Scooby-Doo ne trouve jamais ses marques. En résulte un film bâtard, à mi-chemin entre une production MTV et un long-métrage Disney.
Cinopsis.com
Entre dessin animé et film live, cette adaptation ne parvient pas à choisir son camp. Les mots fusent moins que les pets (...), les gags visuels sont bien évidemment en deçà de nos souvenirs télévisuels, le chien en image de synthèse est très bof-bof et le tout est servi par une connerie généralisée qui, à nouveau, nivelle les distractions par le bas, sans oublier un doublage dénué d'inspiration.
MCinéma.com
Le vrai plantage reste la version 3-D de Scooby, certes très bien doublé, mais vraiment très, très laid à regarder. Hollywood a bien fait parler un cochon, alors pourquoi pas un chien ?
Mad Movies
En voulant bêtement faire vibrer la fibre nostalgique des éternels adolescents tout en cherchant à séduire les gosses, Raja Gosnell a a ccouché d'un film prétexte, rejeton infâme et bidon de Ghostbusters et POokemon, qui tente de vendre les pires horreurs en les faisant passer pour des chefs-d'oeuvre "arty".
TéléCinéObs
Les plus nostalgiques du dessin animé devraient en rester pantois. Et les autres s'enquiquiner ferme.