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L'argument lui-même est ténu, comme souvent chez Leconte, mais le charme opère, grâce à un sens de l'ambiance à la fois ironique et empli de nostalgie pour une époque bien plus fantasmée que reconstituée.
La critique complète est disponible sur le site Zurban
Une chose est sûre : il y a plein d'idées. Mais on a l'impression qu'elles sont toutes à côté de la plaque. Par exemple, raconter une simple et belle histoire d'amour comme si c'était tout à la fois un conte merveilleux (...) et une tragédie antique (...). Effet pompier et pompeux garanti.
On redoute à l'avance le poncif sonore du chat qui miaule pour renforcer l'ambiance conforme à l'image. Et, pourtant, il miaule. Dans la nuit sans fin du réalisme poétique, tous les effets sonores sont gris.
Narré sous forme de retours en arrière, ce qui n'est pas franchement ébouriffant, ce film répond avant tout à un souci décoratif - reconstitution luxueuse des lupanars, lumière chaude, chansonnettes -, très dans l'air du temps.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Ni documentaire sur la rude condition de la prostituée ni précipité existentiel, Rue des plaisirs est juste un joli travail d'artisan mélancolique, et on peut s'en satisfaire... comme s'en foutre.
La critique complète est disponible sur le site Première
Patrice Leconte (...) restitue avec une sensualité tendre l'époque houleuse de la fermeture des maisons closes. Seul bémol dans cette histoire douce-amère: l'intrigue policière à laquelle Marion la jolie prostituée est mêlée malgré elle en tombant dans les bras d'un type qui ne la mérite pas.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Conçu comme une sorte d'hommage au réalisme poétique des années 40, dont il reprend quelques motifs et situations célèbres, Rue des plaisirs est un film creux, un objet cinéphilique qui fleure bon le panégyrique rétro.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Un peu burlesque, un peu tragique, c'est un digest léger, un recyclage de tout ce qui a déjà été fait sur le sujet. Le plus cruel reste le leçon que s'inflige Leconte en diffusant un extrait de Panique de Duvivier.
Espérons que Patrice Leconte (et ses scénaristes) retrouve rapidement la belle inspiration qui le guidait dans des films comme (...) LA FILLE SUR LE PONT. Nous aurions aimé éprouver un peu du plaisir que nous laissaient présager le titre du film et la personnalité de ses protagonistes.
Rue des plaisirs saborde le désir par la frustration, évite de s'approcher trop près du sujet, s'enlise dans le mélo de roses trop sirupeux pour être amer.
La critique complète est disponible sur le site Novaplanet.com
Sacrifié ainsi à la mise en scène, élégante et vaine, le récit est atone. Privé de vie et de vérité : personnages comme des archétypes, péripéties minimales, rythme languissant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
C'est (...) un retour à l'époque de la querelle autour d'une "certaine tendance du cinéma français". Retour au cinéma de papa, aux machineries lourdes et bien léchées, aux films d'antiquaires, à peine sortie du four qu'ils sont déjà empaillés.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Zurban
L'argument lui-même est ténu, comme souvent chez Leconte, mais le charme opère, grâce à un sens de l'ambiance à la fois ironique et empli de nostalgie pour une époque bien plus fantasmée que reconstituée.
Aden
Une chose est sûre : il y a plein d'idées. Mais on a l'impression qu'elles sont toutes à côté de la plaque. Par exemple, raconter une simple et belle histoire d'amour comme si c'était tout à la fois un conte merveilleux (...) et une tragédie antique (...). Effet pompier et pompeux garanti.
Cahiers du Cinéma
On redoute à l'avance le poncif sonore du chat qui miaule pour renforcer l'ambiance conforme à l'image. Et, pourtant, il miaule. Dans la nuit sans fin du réalisme poétique, tous les effets sonores sont gris.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Narré sous forme de retours en arrière, ce qui n'est pas franchement ébouriffant, ce film répond avant tout à un souci décoratif - reconstitution luxueuse des lupanars, lumière chaude, chansonnettes -, très dans l'air du temps.
Première
Ni documentaire sur la rude condition de la prostituée ni précipité existentiel, Rue des plaisirs est juste un joli travail d'artisan mélancolique, et on peut s'en satisfaire... comme s'en foutre.
TéléCinéObs
Patrice Leconte (...) restitue avec une sensualité tendre l'époque houleuse de la fermeture des maisons closes. Seul bémol dans cette histoire douce-amère: l'intrigue policière à laquelle Marion la jolie prostituée est mêlée malgré elle en tombant dans les bras d'un type qui ne la mérite pas.
Chronic'art.com
Conçu comme une sorte d'hommage au réalisme poétique des années 40, dont il reprend quelques motifs et situations célèbres, Rue des plaisirs est un film creux, un objet cinéphilique qui fleure bon le panégyrique rétro.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Les Inrockuptibles
Un peu burlesque, un peu tragique, c'est un digest léger, un recyclage de tout ce qui a déjà été fait sur le sujet. Le plus cruel reste le leçon que s'inflige Leconte en diffusant un extrait de Panique de Duvivier.
MCinéma.com
Espérons que Patrice Leconte (et ses scénaristes) retrouve rapidement la belle inspiration qui le guidait dans des films comme (...) LA FILLE SUR LE PONT. Nous aurions aimé éprouver un peu du plaisir que nous laissaient présager le titre du film et la personnalité de ses protagonistes.
Novaplanet.com
Rue des plaisirs saborde le désir par la frustration, évite de s'approcher trop près du sujet, s'enlise dans le mélo de roses trop sirupeux pour être amer.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Sacrifié ainsi à la mise en scène, élégante et vaine, le récit est atone. Privé de vie et de vérité : personnages comme des archétypes, péripéties minimales, rythme languissant.
Urbuz
C'est (...) un retour à l'époque de la querelle autour d'une "certaine tendance du cinéma français". Retour au cinéma de papa, aux machineries lourdes et bien léchées, aux films d'antiquaires, à peine sortie du four qu'ils sont déjà empaillés.