Confessions d'un homme dangereux : Critique presse
Confessions d'un homme dangereux
Note moyenne
3,8
21 titres de presse
L'Express
Aden
Cahiers du Cinéma
Cinopsis.com
Ciné Live
Le Figaro
Le Figaroscope
Le Parisien
Le Point
Les Echos
Libération
MCinéma.com
Obejctif-Cinema.com
Première
Studio Magazine
TéléCinéObs
Télérama
Chronic'art.com
Le Monde
Mad Movies
L'Humanité
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Aden
par La rédaction
C'est donc avec pas mal d'humour et beaucoup de brio (le film impose un univers visuel fort) que l'acteur Clooney (ici au second plan) endosse le rôle de réalisateur et observe ces dédoublements de son personnage, jouant en permanence plusieurs partitions à la fois.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
par Clélia Cohen
Clooney (...) filme les émissions de Barris dans un style de pure reconstitution, et réussit à trouver la bonne distance envers son personnage, aussi aidé en cela par le talent de son acteur principal Sam Rockwell (une vraie trouvaille).
Cinopsis.com
par Benjamin d'Aoust
Enfin, ces quelques points négatifs ne doivent pas vous empêcher de prendre part à ce festif 'coktail mondain' à la crème sixties, où pétillent avec ferveur le thriller, la comédie de moeurs et le film noir. Délicieux quoique un brin bourratif.
La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Brillantissime, ce premier film de George Clooney (...). Les amateurs de pastiche et de virtuosité satirique seront ravis du scénario à reversibilité constante signé Charlie kaufman (Dans la peau de John Malkovich)
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
George Clooney était déjà un acteur incontournable. Il se révèle très bon metteur en scène.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Annie Coppermann
Un coup d'essai impressionnant !
Libération
par Antoine de Baecque
Depuis le fameux Man on the Moon de Milos Forman, sur un sujet proche, on n'avait pas vu film américain où le burlesque et la rage froide se marient avec autant de vérité.
MCinéma.com
par Stéphanie Tionnet
Plongée à la fois drôle et pathétique dans le monde de la télévision, son premier long métrage est un film stylé et énigmatique, sur un personnage qui l'est tout autant, campé par Sam Rockwell, stupéfiant.
Obejctif-Cinema.com
par Anne-Lise Landureau
(...) un premier film étonnant de maîtrise et de complexité, et plutôt réussi en regard de la difficulté d'entreprise que représentait le script (multiplicité des époques, des protagonistes, des univers).
La critique complète est disponible sur le site Obejctif-Cinema.com
Première
par Gérard Delorme
Pour un premier essai de réalisateur, Clooney assure comme un maître, s'accordant quelques fioritures stylistiques (l'illustration des différentes décénies) qui s'oublient facilement.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Juliette Michaud
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
Si Clooney se laisse parfois aller à faire du style, ses premiers pas derrière la caméra ne manquent en tout cas pas d'assurance. Chapeau.
Télérama
par Guillemette Olivier
Avec Confessions d'un homme dangereux, un bon film, Clooney prouve, à son insu, qu'il ne faut jamais fantasmer.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Jean-Sébastien Chauvin
Il y a quelque chose de "lounge", de "easy listening" dans Confessions d'un homme dangereux qui vient tout droit de Soderbergh et empêche parfois le film d'atteindre à une véritable dimension épique et cruelle (...) mais qui, dans le même temps, donne le sentiment de baigner dans une rêverie cotonneuse et paranoïaque ou la duplicité du personnage (présentateur et tueur) finit par se fondre dans un seul et même maelström : le spectacle.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Monde
par Thomas Sotinel
Les épisodes burlesques, le soin apporté aux pastiches visuels et musicaux (...) et l'élégance de la photographie font passer en douceur l'amertume de ce conte moral, énoncé avec une élégante froideur qui tient un peu le spectateur à distance.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Mad Movies
par Arnaud Bordas
Le résultat est plutôt sympathique, assez bien rythmé mais finalement assez démonstratif.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
L'Humanité
par Vincent Ostria
Quatre mois à peine après la sortie d'Arrête-moi si tu peux de Spielberg, cette première réalisation de l'acteur George Clooney fait un peu redite (...) un sujet de comédie potentiel, que Clooney a préféré traiter avec un sérieux papal.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Aden
C'est donc avec pas mal d'humour et beaucoup de brio (le film impose un univers visuel fort) que l'acteur Clooney (ici au second plan) endosse le rôle de réalisateur et observe ces dédoublements de son personnage, jouant en permanence plusieurs partitions à la fois.
Cahiers du Cinéma
Clooney (...) filme les émissions de Barris dans un style de pure reconstitution, et réussit à trouver la bonne distance envers son personnage, aussi aidé en cela par le talent de son acteur principal Sam Rockwell (une vraie trouvaille).
Cinopsis.com
Enfin, ces quelques points négatifs ne doivent pas vous empêcher de prendre part à ce festif 'coktail mondain' à la crème sixties, où pétillent avec ferveur le thriller, la comédie de moeurs et le film noir. Délicieux quoique un brin bourratif.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Brillantissime, ce premier film de George Clooney (...). Les amateurs de pastiche et de virtuosité satirique seront ravis du scénario à reversibilité constante signé Charlie kaufman (Dans la peau de John Malkovich)
Le Parisien
George Clooney était déjà un acteur incontournable. Il se révèle très bon metteur en scène.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Echos
Un coup d'essai impressionnant !
Libération
Depuis le fameux Man on the Moon de Milos Forman, sur un sujet proche, on n'avait pas vu film américain où le burlesque et la rage froide se marient avec autant de vérité.
MCinéma.com
Plongée à la fois drôle et pathétique dans le monde de la télévision, son premier long métrage est un film stylé et énigmatique, sur un personnage qui l'est tout autant, campé par Sam Rockwell, stupéfiant.
Obejctif-Cinema.com
(...) un premier film étonnant de maîtrise et de complexité, et plutôt réussi en regard de la difficulté d'entreprise que représentait le script (multiplicité des époques, des protagonistes, des univers).
Première
Pour un premier essai de réalisateur, Clooney assure comme un maître, s'accordant quelques fioritures stylistiques (l'illustration des différentes décénies) qui s'oublient facilement.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Si Clooney se laisse parfois aller à faire du style, ses premiers pas derrière la caméra ne manquent en tout cas pas d'assurance. Chapeau.
Télérama
Avec Confessions d'un homme dangereux, un bon film, Clooney prouve, à son insu, qu'il ne faut jamais fantasmer.
Chronic'art.com
Il y a quelque chose de "lounge", de "easy listening" dans Confessions d'un homme dangereux qui vient tout droit de Soderbergh et empêche parfois le film d'atteindre à une véritable dimension épique et cruelle (...) mais qui, dans le même temps, donne le sentiment de baigner dans une rêverie cotonneuse et paranoïaque ou la duplicité du personnage (présentateur et tueur) finit par se fondre dans un seul et même maelström : le spectacle.
Le Monde
Les épisodes burlesques, le soin apporté aux pastiches visuels et musicaux (...) et l'élégance de la photographie font passer en douceur l'amertume de ce conte moral, énoncé avec une élégante froideur qui tient un peu le spectateur à distance.
Mad Movies
Le résultat est plutôt sympathique, assez bien rythmé mais finalement assez démonstratif.
L'Humanité
Quatre mois à peine après la sortie d'Arrête-moi si tu peux de Spielberg, cette première réalisation de l'acteur George Clooney fait un peu redite (...) un sujet de comédie potentiel, que Clooney a préféré traiter avec un sérieux papal.