Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Légèreté et profondeur en un même point d'équilibre sont-ils le signe des chefs-d'œuvre ? Alors, dans sa simplicité lumineuse, le dernier film du doyen du cinéma (...) en est un.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Chronic'art.com
par Yann Gonzalez
(...) une oeuvre lumineuse et essentielle, exigeante mais, dans ce cas précis, étonnamment jubilatoire.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Obs
par Elodie Lepage
(...) un petit bijou d'émotion et de pudeur. Un grand Oliveira.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jean-Michel Frodon
Le film d'Oliveira est si beau, et le jeu de Piccoli est si beau, que les superlatifs viennent naturellement. Erreur ! Ces deux vieux farceurs sont bien au-delà de ça, dans un bonheur de conter, de penser et d'exister, rayonnant comme un projecteur de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Anne Coppermann
Manoel de Oliveira et Michel Piccoli ont tourné ensemble le film d'une amitié subtile, d'une connivence souriante. Un film léger et grave. Intelligent, aussi. Un vrai moment de grâce.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Frédéric Bonnaud
L'immense anoel de Oliveira brosse un autoportrait en acteur, avec un non moins immense Michel Piccoli comme partenaire de jeu. Car si Je rentre à la maison évoque la perte, le deuil et la vieillesse, c'est avec une vivacité et une malice d'enfant alerte.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Gérard Lefort
Un film est passé, il donne envie de rentrer à la maison. Car la maison, voyons, c'est toute l'enfance du monde.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
L'humour est présent et séduit tout autant que les émotions plus graves. La mise en scène est limpide et offre un espace de choix à un comédien immense. (...) Une oeuvre à savourer sans modération.
Synopsis
par Michel Eltchaninoff
(...) Oliveira est à la fois lucide et incroyablement inventif, et c'est bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Synopsis
Télérama
par Jacques Morice
Manoel de Oliveira démontre à 93 ans et en une heure et demie qu'on peut faire du cinéma simple comme bonjour, parfaitement lisible et émouvant, sans scénario ou presque. (...) En s'amusant comme un môme. En offrant enfin un plaisir de filmer incroyablement communicatif.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Urbuz
par Jean Philippe Tessé
Mieux que personne, Oliveira montre que le cinéma est aussi l'art d'apprendre à mourir (...). Je rentre à la maison est une oeuvre légère et aérienne, suspendue et traversée par une conception tranquillement hédoniste de la liberté.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Parisien
par Pierre Vavasseur et Alain Grasset
(...) une oeuvre juste, brute, simple, même pas désespérée, sur la fragilité des hommes.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Olivier de Bruyn
(...) Oliveira traite ici de la vieillesse et de l'usure - sujets qu'il connaît intimement - avec une minutie dans le détail aigre et un humour acide.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Aden
Légèreté et profondeur en un même point d'équilibre sont-ils le signe des chefs-d'œuvre ? Alors, dans sa simplicité lumineuse, le dernier film du doyen du cinéma (...) en est un.
Chronic'art.com
(...) une oeuvre lumineuse et essentielle, exigeante mais, dans ce cas précis, étonnamment jubilatoire.
L'Obs
(...) un petit bijou d'émotion et de pudeur. Un grand Oliveira.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Le film d'Oliveira est si beau, et le jeu de Piccoli est si beau, que les superlatifs viennent naturellement. Erreur ! Ces deux vieux farceurs sont bien au-delà de ça, dans un bonheur de conter, de penser et d'exister, rayonnant comme un projecteur de cinéma.
Les Echos
Manoel de Oliveira et Michel Piccoli ont tourné ensemble le film d'une amitié subtile, d'une connivence souriante. Un film léger et grave. Intelligent, aussi. Un vrai moment de grâce.
Les Inrockuptibles
L'immense anoel de Oliveira brosse un autoportrait en acteur, avec un non moins immense Michel Piccoli comme partenaire de jeu. Car si Je rentre à la maison évoque la perte, le deuil et la vieillesse, c'est avec une vivacité et une malice d'enfant alerte.
Libération
Un film est passé, il donne envie de rentrer à la maison. Car la maison, voyons, c'est toute l'enfance du monde.
MCinéma.com
L'humour est présent et séduit tout autant que les émotions plus graves. La mise en scène est limpide et offre un espace de choix à un comédien immense. (...) Une oeuvre à savourer sans modération.
Synopsis
(...) Oliveira est à la fois lucide et incroyablement inventif, et c'est bouleversant.
Télérama
Manoel de Oliveira démontre à 93 ans et en une heure et demie qu'on peut faire du cinéma simple comme bonjour, parfaitement lisible et émouvant, sans scénario ou presque. (...) En s'amusant comme un môme. En offrant enfin un plaisir de filmer incroyablement communicatif.
Urbuz
Mieux que personne, Oliveira montre que le cinéma est aussi l'art d'apprendre à mourir (...). Je rentre à la maison est une oeuvre légère et aérienne, suspendue et traversée par une conception tranquillement hédoniste de la liberté.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Parisien
(...) une oeuvre juste, brute, simple, même pas désespérée, sur la fragilité des hommes.
Première
(...) Oliveira traite ici de la vieillesse et de l'usure - sujets qu'il connaît intimement - avec une minutie dans le détail aigre et un humour acide.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr