Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Le Figaro
par Domnique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
C'est le couple le plus infernal de la comédie sentimentale. Clooney avec son charme à la Cary Grant, Catherine Zeta-Jones avec sa classe et son abat- tage dans la lignée de Katharine Hepburn, lui amoureux un rien macho, elle d'un cynisme réjouissant, sont irrésistibles.
Positif
par Jean-Loup Bourget
Les loufoqueries à la Sturges voisinent, comme chez Sturges, avec un dialogue scintillant, que Clooney et Zeta-Jones manient avec une virtuosité de bretteurs. Sous les éclats du baroque, c'est le classicisme de Hawks qui affleure.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télérama
par Pierre Murat (pour)
Dialogues vifs, brillants, impertinents. Rythme sans faille. (...) Avec un couple de rêve Catherine Zeta-Jones et, surtout, George Clooney , le duo Coen a rempli son pari : réussir un exercice de style avec style. Une comédie faussement lisse. Un séduisant cauchemar.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Sophie Lecerf
Et c'est parti pour un jeu de massacre sublime et hilarant, une heure et demi de retournements de situations rocambolesques, de gags tordants et de scènes d'anthologie (...)Progressivement, un grain de folie furieuse s'empare des personnages et du film, pour un bouquet final nocturne jouissif. Du grand Coen assurément...
Cahiers du Cinéma
par Mia Hansen-Love
Intolérable cruauté n'est pas superficiel, si l'on veut bien admettre que la consistance tient parfois à l'élégance d'un style, et que cet humour on ne peut plus américain (...) est l'héritier d'une tradition qui remonte aux origines (...) L'histoire a donné une richesse, une épaisseur à cet art de la distraction, art que les frères Cohen réinventent avec beaucoup d'adresse, mais aussi d'intelligence et de beauté.
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tesse
Ce dernier opus est sans doute le plus anecdotique dans le parcours de la fratrie Coen. (...) Intolérable cruauté est une comédie hollywoodienne presque comme une autre, avec une poignée de stars cabotines. Mais de bonne facture.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Fluctuat.net
par Agathe Moroval
(...) vraiment, c'est un régal. Peut-être pas un chef d'oeuvre intemporel, mais un film d'auteur(s) avec des trouvailles hilarantes.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Express
par Jean-Pierre Dufreigne
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Vincent Ostria
C'est digne des grands classiques hollywoodiens du genre (de Hawks, Wilder, McCarey), mais avec un bonus : la " Coen Touch ", c'est-à-dire les notations triviales grâce auxquelles les frères Coen font constamment rebondir l'hilarité.
L'Obs
par François Forestier
Il y a des scènes géniales (...) ils démontrent avec brio que le mariage, avec un peu de savoir-faire, peut réussir.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Les frères Coen ont abandonné les losers pour dépeindre deux prédateurs mordant dans la belle vie à pleines dents, mais restent friands d'irrévérence.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Intolérable cruauté est donc un film brilant, drôle, rythmé, qui tient toutes ses promesses de spectacle : scénario béton, acteurs brillantissimes, sens du récit indiscutable, mise en scène élégante et travaillée les Coen ne bâclent rien, se creusent la tête pour rendre la moindre scène intéressante, pour trouver une idée de mise en scène qui lui donnera du relief).
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Jean-Luc Brunet
Ce dixième film des frères Coen possède le charme des comédies romantiques américaines d'antan, mais avec un soupçon de cruauté en plus. Un registre dans lequel ils se sont fondus avec aisance, même si l'on a parfois du mal à retrouver la patte, le style des auteurs de Fargo ou Barton Fink.
Positif
par Thibaut Bérard
La dernière comédie des frères Coen est à l'image de son titre, heureusement exagérée. Tout a l'air de se dérouler comme une comédie traditionnelle américaine si ce n'est qu'à chaque scène 'hommage" s'ajoute un détail, un regard, celui des scénaristes, qui tout à coup change l'angle du propos.
Première
par Christophe Narbonne
Contrairement à son apparence de comédie purement féroce et trash (on pense à La Guerre des Rose), le nouveau Coen en dit aussi long sur les nouveaux rapports de force entre hommes et femmes que les screwball comedies d'Howard Hawks en disait sur l'american way of life des années 40.
La critique complète est disponible sur le site Première
Zurban
par Matthieu Dupont
Ils se moquent surtout de l'Amérique, dans ce qu'elle a de plus clinquant, de plus matérialiste, de plus superficiel, et de la bourgeoisie en général. Ils se moquent du mariage et de l'maour quand il se mêle de morale. (...) Bref, ils se moquent plus ou moins de nous, et c'est un bonheur.
Aden
par Philippe Piazzo
Trop gentils les frères Coen ? Chacun en prend pour son grade. Même l'amour est un angelot niais. Autant rire de cette Intolérable Cruauté.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Libération
par Didier Peron
La description des exténuantes activités de bronzage de femmes divorcées et richement dotées de la Côte ouest et la lutte à mort pour la suprématie professionnelle d'un guignol de prétoire, constituent les deux éléments dynamiques du film avec une hypothèse érotico-sentimentale sur leur possible résorption réciproque dans une union amoureuse digne de ce nom.
Télérama
par Marine Landrot (contre)
Au début, on ne s'affole pas. Les frères Coen vont bien nous les écorner, ces deux clichés de magazine de luxe, shampooinés de près, photographiés de loin. (...) Mais non, vogue la comédie romantique bourrée de fond de teint, lisse et figée, n'égratignant rien ni personne. Catherine Zeta-Jones a trop peur de se décoiffer pour bouger. George Clooney bâille aux corneilles en montrant ses dents blanches.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
C'est le couple le plus infernal de la comédie sentimentale. Clooney avec son charme à la Cary Grant, Catherine Zeta-Jones avec sa classe et son abat- tage dans la lignée de Katharine Hepburn, lui amoureux un rien macho, elle d'un cynisme réjouissant, sont irrésistibles.
Positif
Les loufoqueries à la Sturges voisinent, comme chez Sturges, avec un dialogue scintillant, que Clooney et Zeta-Jones manient avec une virtuosité de bretteurs. Sous les éclats du baroque, c'est le classicisme de Hawks qui affleure.
Télérama
Dialogues vifs, brillants, impertinents. Rythme sans faille. (...) Avec un couple de rêve Catherine Zeta-Jones et, surtout, George Clooney , le duo Coen a rempli son pari : réussir un exercice de style avec style. Une comédie faussement lisse. Un séduisant cauchemar.
aVoir-aLire.com
Et c'est parti pour un jeu de massacre sublime et hilarant, une heure et demi de retournements de situations rocambolesques, de gags tordants et de scènes d'anthologie (...)Progressivement, un grain de folie furieuse s'empare des personnages et du film, pour un bouquet final nocturne jouissif. Du grand Coen assurément...
Cahiers du Cinéma
Intolérable cruauté n'est pas superficiel, si l'on veut bien admettre que la consistance tient parfois à l'élégance d'un style, et que cet humour on ne peut plus américain (...) est l'héritier d'une tradition qui remonte aux origines (...) L'histoire a donné une richesse, une épaisseur à cet art de la distraction, art que les frères Cohen réinventent avec beaucoup d'adresse, mais aussi d'intelligence et de beauté.
Chronic'art.com
Ce dernier opus est sans doute le plus anecdotique dans le parcours de la fratrie Coen. (...) Intolérable cruauté est une comédie hollywoodienne presque comme une autre, avec une poignée de stars cabotines. Mais de bonne facture.
Fluctuat.net
(...) vraiment, c'est un régal. Peut-être pas un chef d'oeuvre intemporel, mais un film d'auteur(s) avec des trouvailles hilarantes.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
C'est digne des grands classiques hollywoodiens du genre (de Hawks, Wilder, McCarey), mais avec un bonus : la " Coen Touch ", c'est-à-dire les notations triviales grâce auxquelles les frères Coen font constamment rebondir l'hilarité.
L'Obs
Il y a des scènes géniales (...) ils démontrent avec brio que le mariage, avec un peu de savoir-faire, peut réussir.
Le Monde
Les frères Coen ont abandonné les losers pour dépeindre deux prédateurs mordant dans la belle vie à pleines dents, mais restent friands d'irrévérence.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Intolérable cruauté est donc un film brilant, drôle, rythmé, qui tient toutes ses promesses de spectacle : scénario béton, acteurs brillantissimes, sens du récit indiscutable, mise en scène élégante et travaillée les Coen ne bâclent rien, se creusent la tête pour rendre la moindre scène intéressante, pour trouver une idée de mise en scène qui lui donnera du relief).
MCinéma.com
Ce dixième film des frères Coen possède le charme des comédies romantiques américaines d'antan, mais avec un soupçon de cruauté en plus. Un registre dans lequel ils se sont fondus avec aisance, même si l'on a parfois du mal à retrouver la patte, le style des auteurs de Fargo ou Barton Fink.
Positif
La dernière comédie des frères Coen est à l'image de son titre, heureusement exagérée. Tout a l'air de se dérouler comme une comédie traditionnelle américaine si ce n'est qu'à chaque scène 'hommage" s'ajoute un détail, un regard, celui des scénaristes, qui tout à coup change l'angle du propos.
Première
Contrairement à son apparence de comédie purement féroce et trash (on pense à La Guerre des Rose), le nouveau Coen en dit aussi long sur les nouveaux rapports de force entre hommes et femmes que les screwball comedies d'Howard Hawks en disait sur l'american way of life des années 40.
Zurban
Ils se moquent surtout de l'Amérique, dans ce qu'elle a de plus clinquant, de plus matérialiste, de plus superficiel, et de la bourgeoisie en général. Ils se moquent du mariage et de l'maour quand il se mêle de morale. (...) Bref, ils se moquent plus ou moins de nous, et c'est un bonheur.
Aden
Trop gentils les frères Coen ? Chacun en prend pour son grade. Même l'amour est un angelot niais. Autant rire de cette Intolérable Cruauté.
Libération
La description des exténuantes activités de bronzage de femmes divorcées et richement dotées de la Côte ouest et la lutte à mort pour la suprématie professionnelle d'un guignol de prétoire, constituent les deux éléments dynamiques du film avec une hypothèse érotico-sentimentale sur leur possible résorption réciproque dans une union amoureuse digne de ce nom.
Télérama
Au début, on ne s'affole pas. Les frères Coen vont bien nous les écorner, ces deux clichés de magazine de luxe, shampooinés de près, photographiés de loin. (...) Mais non, vogue la comédie romantique bourrée de fond de teint, lisse et figée, n'égratignant rien ni personne. Catherine Zeta-Jones a trop peur de se décoiffer pour bouger. George Clooney bâille aux corneilles en montrant ses dents blanches.