Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Tatouage est un bel exemple de cette modernité de velours, intégrant à une mise en scène rigoureusement classique, marquée par l'horizontalité, des figures anormales et retorses. (...) Magnificence des compositions, amplitude du découpage, transparence des changements d'axe à 180°. La lente fluidité du style de Masumura s'oppose à la dureté des personnages (...) pour créer une tension sourde, sans point de fuite, traversée par de très fines ruptures (...).
Les Inrockuptibles
par Olivier Père
Jamais un cinéaste, avant ou après Tatouage, n'a décrit avec autant de perversité les mécanismes du mal et de l'amour fou : plus qu'un film, un soleil noir.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Samuel Douhaire
Dans la Femme de Seisaku, précédent bijou de Masumura sorti l'été dernier, le mélodrame apportait une (timide) lueur d'espoir. Tatouage se révèle bien plus radical, le cinéaste poussant ses choix stylistiques à leur paroxysme.
Rock & Folk
par Christophe Lemaire
omme à son habitude, Masumura se lance dans des délires érotiques d'une beauté graphique inouïe -chaque plan du film devrait être exposé au Louvre- prétexte à dépeindre un caractère féminin fort.
Télérama
par François Gorin
Une nouvelle perle de la filmographie de Masumura.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Addison de Witt
L'un des films les plus graphiquement sauvages de Masumura (...) Le raffinement extrême de l'image, signée Miyazaki (...), pare le Cinémascope de magnifiques couleurs.
Première
par Gérard Delorme
Inédit en salles, ce film typique de la fureur libératrice des années 60 a été éclipsé par l'Ange rouge et La bête aveugle, deux films plus frappants d'un même auteur obsédé par le thème de la femme à la fois soumise et dominatrice.
La critique complète est disponible sur le site Première
Score
par Anthony Wong
Une bonne occasion pour vérifier que le cinéma japonais des années 60, malgré son rythme lent typique, était parmi les plus captivant. (...) Tout impressionne et semble toujours profondément contemporain. Un beau film.
La critique complète est disponible sur le site Score
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Un poème sulfureux où s'imposent le sens du cadre de Masumura, l'audace de ses perspectives et le modernisme de son montage.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
Tatouage est un bel exemple de cette modernité de velours, intégrant à une mise en scène rigoureusement classique, marquée par l'horizontalité, des figures anormales et retorses. (...) Magnificence des compositions, amplitude du découpage, transparence des changements d'axe à 180°. La lente fluidité du style de Masumura s'oppose à la dureté des personnages (...) pour créer une tension sourde, sans point de fuite, traversée par de très fines ruptures (...).
Les Inrockuptibles
Jamais un cinéaste, avant ou après Tatouage, n'a décrit avec autant de perversité les mécanismes du mal et de l'amour fou : plus qu'un film, un soleil noir.
Libération
Dans la Femme de Seisaku, précédent bijou de Masumura sorti l'été dernier, le mélodrame apportait une (timide) lueur d'espoir. Tatouage se révèle bien plus radical, le cinéaste poussant ses choix stylistiques à leur paroxysme.
Rock & Folk
omme à son habitude, Masumura se lance dans des délires érotiques d'une beauté graphique inouïe -chaque plan du film devrait être exposé au Louvre- prétexte à dépeindre un caractère féminin fort.
Télérama
Une nouvelle perle de la filmographie de Masumura.
Zurban
L'un des films les plus graphiquement sauvages de Masumura (...) Le raffinement extrême de l'image, signée Miyazaki (...), pare le Cinémascope de magnifiques couleurs.
Première
Inédit en salles, ce film typique de la fureur libératrice des années 60 a été éclipsé par l'Ange rouge et La bête aveugle, deux films plus frappants d'un même auteur obsédé par le thème de la femme à la fois soumise et dominatrice.
Score
Une bonne occasion pour vérifier que le cinéma japonais des années 60, malgré son rythme lent typique, était parmi les plus captivant. (...) Tout impressionne et semble toujours profondément contemporain. Un beau film.
TéléCinéObs
Un poème sulfureux où s'imposent le sens du cadre de Masumura, l'audace de ses perspectives et le modernisme de son montage.