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Au final, "Gianni et les femmes" se situe à la lisière du Woody Allen des débuts et des comédies italiennes grinçantes des années 1970. Et il donne envie de souhaiter une longue vie, pleine de films, à ce sacré Gianni...
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
"Le Déjeuner du 15 août" (2008) avait permis de découvrir ce personnage malmené par la gentféminine dont le charme porte une comédie à la saveur d'amaretto.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Si le récit épouse le rythme un peu flapi de son héros du troisième âge, il n'en reste pas moins fertile en gags blancs du plus bel effet : cette neutralité tranquille et solaire, cette humilité burlesque au charme très romain entêtent durablement.
Si la fin de "Gianni et les femmes" fera pester les féministes convaincu(e)s, les petites répliques drôles disséminées ça et là, la présence sulfureuse d'Aylin Prandi en font un film mignon et sans prétention. Mais n'en aurait-il pas justement fallu un tout petit peu plus?
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Il y a du charme, mais moins que dans "Le Déjeuner du 15 août", du sourire, mais moins également, de l'ironie, mais moins encore. Bref, Gianni Di Gregorio a pris le même moule et la surprise manque. On veut bien dire encore oui mais, la prochaine fois, on sévit.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Une fin en demi-teinte laisse pourtant entrevoir en ce film flottant la chronique d'un renoncement, l'acceptation de l'âge qui rendrait transparents les hommes dans le regard des femmes.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Rien à applaudir question cinéma, mais on pourra trouver quelques saveurs dans les problèmes de coeur auxquels il se soumet, sous le regard d'une famille et d'amis tous très attachants. Comme lui.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Le film présente les mêmes qualités de fraîcheur, d'humour et d'observation sur une certaine vie romaine nonchalante que le précédent, mais le manque de renouvellement des personnages conduit à une oeuvre en retrait, où l'effet de surprise ne joue plus, où tout paraît un peu convenu.
La critique complète est disponible sur le site Positif
(...) une jolie comédie qui vaut moins par son tempo (à l'image de ce brave Gianni, particulièrement ramolli) que pour sa petite atmosphère où truculence à l'italienne et érotisme sous-jacent coexistent dans une belle harmonie.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Il ( Gianni Di Gregorio) a le tort d'inscrire son propos dans une veine "autofictionelle" un peu molle plutôt que dans celle de la comédie-féroce à l'italienne.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Inrockuptibles
Ni hilarant ni branché, le ton doux-amer de Di Gregorio est irrésistible.
L'Obs
Il y a quelque chose de sucré-salé, de charmant et de cruel dans "Gianni et les femmes".
Le Figaroscope
Gianni Di Gregorio est le héros, fragile, émouvant de cette comédie douce-amère baignée d'humour tendre et de mélancolie.
Le Monde
"Gianni et les femmes" accomplit une performance relativement rare : que le second épisode d'un film à succès soit à la hauteur du précédent.
Le Parisien
Au final, "Gianni et les femmes" se situe à la lisière du Woody Allen des débuts et des comédies italiennes grinçantes des années 1970. Et il donne envie de souhaiter une longue vie, pleine de films, à ce sacré Gianni...
Le Point
voir lepoint.fr
Marianne
Charmeur et désenchanté.
20 Minutes
"Le Déjeuner du 15 août" (2008) avait permis de découvrir ce personnage malmené par la gentféminine dont le charme porte une comédie à la saveur d'amaretto.
Cahiers du Cinéma
Si le récit épouse le rythme un peu flapi de son héros du troisième âge, il n'en reste pas moins fertile en gags blancs du plus bel effet : cette neutralité tranquille et solaire, cette humilité burlesque au charme très romain entêtent durablement.
Excessif
Si la fin de "Gianni et les femmes" fera pester les féministes convaincu(e)s, les petites répliques drôles disséminées ça et là, la présence sulfureuse d'Aylin Prandi en font un film mignon et sans prétention. Mais n'en aurait-il pas justement fallu un tout petit peu plus?
L'Express
Il y a du charme, mais moins que dans "Le Déjeuner du 15 août", du sourire, mais moins également, de l'ironie, mais moins encore. Bref, Gianni Di Gregorio a pris le même moule et la surprise manque. On veut bien dire encore oui mais, la prochaine fois, on sévit.
L'Humanité
Un Emmanuel Mouret version senior.
La Croix
Une fin en demi-teinte laisse pourtant entrevoir en ce film flottant la chronique d'un renoncement, l'acceptation de l'âge qui rendrait transparents les hommes dans le regard des femmes.
Le Journal du Dimanche
En surfant sur ses acquis, l'originalité n'est plus de mise. Reste que Di Gregorio sait raconter des histoires.
Metro
Entre la fiction et la réalité, le film est à l'image de son héros : un peu gauche mais plutôt sympa.
Ouest France
Rien à applaudir question cinéma, mais on pourra trouver quelques saveurs dans les problèmes de coeur auxquels il se soumet, sous le regard d'une famille et d'amis tous très attachants. Comme lui.
Paris Match
Une comédie italienne amusante, malgré quelques rhumatismes.
Positif
Le film présente les mêmes qualités de fraîcheur, d'humour et d'observation sur une certaine vie romaine nonchalante que le précédent, mais le manque de renouvellement des personnages conduit à une oeuvre en retrait, où l'effet de surprise ne joue plus, où tout paraît un peu convenu.
TéléCinéObs
(...) une jolie comédie qui vaut moins par son tempo (à l'image de ce brave Gianni, particulièrement ramolli) que pour sa petite atmosphère où truculence à l'italienne et érotisme sous-jacent coexistent dans une belle harmonie.
Télérama
Drague, préretraite et nonchalance : une comédie jouissive aux accents anti-Berlusconi.
Première
Il ( Gianni Di Gregorio) a le tort d'inscrire son propos dans une veine "autofictionelle" un peu molle plutôt que dans celle de la comédie-féroce à l'italienne.