Note moyenne
3,3
17 titres de presse
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L'Obs
(...) Au cynisme désabusé, le tandem Vega privilégie l'humanité, la mélancolie et l'ironie. Qui, alliés ici à un sens envoûtant de la mise en scène, font des étincelles.
L'Humanité
C'est sans compter sans l'humour décalé des frères Vega, leur sens du tragique et de l'absurde mêlés en plans impeccables dans ce film subtil.
La Croix
(...) ce film péruvien joue avec une belle sobriété sur l'espoir de voir s'humaniser un prêteur sur gages.
Le Monde
(...) au fil des minutes, "Octubre" fait entendre une autre musique, polyphonique, qui bruisse de la rumeur de toute une ville, Lima, qui laisse s'épanouir des personnages romanesques.
Le Point
Voir la critique sur Le Point.fr
Les Inrockuptibles
On retrouve (...) dans "Octubre" un sens du plan fixe, de l'humour tragilaconique et du burlesque à mèche lente (...).
Télérama
Dès ce premier film, les frères Vega révèlent un style visuel, un sens du rythme originaux. Et un regard à la fois tendre et caustique sur des solitaires qui, à l'image de toute la ville, semblent attendre du destin - ou du Seigneur des miracles - un secours qui ne vient jamais.
Brazil
"Octubre" révèle une dimension poétique qui donne à cette comédie l'aspect d'un conte moderne où les miracles de notre quotidien ont remplacé les légendes d'antan. Un premier film attachant et très maitrisé.
Critikat.com
Sans détacher leur film de son substrat social, les cinéastes s'attachent avant tout au ressenti des personnages. Intention tout entière portée par une mise en scène très originale : sobriété, économie de dialogue, précision du cadre, déplacements du point de vue...
Excessif
Enchanteur avec un rien.
Le Figaroscope
Premier film de deux frères péruviens, Daniel et Diego Vega, Octubre distille une espèce de burlesque à froid bizarre. Ces nouveaux venus ont un style, c'est sûr. Leur portrait d'égoïste qui laisse passer la vie capte l'attention, même si on reste finalement un peu sur sa faim.
Paris Match
(...) Ce film déprimé ressemble à une auto démodée mais conduite avec affection.
Première
Premier long (...) d'une beauté picturale constante mais (...) l'espace ordonné et hiérarchisé de l'univers du prêteur contredisent sans cesse le coeur du propos.
Studio Ciné Live
Voir le site StudioCine Live.
TéléCinéObs
(...) Bien troussé, émouvant et plein d'humilité, le film creuse peu à peu son propre sillon.
Cahiers du Cinéma
Comme ses semblables, le film n'est pas mal fichu, (...) Mais c'est comme s'il ne visait qu'un standard, une norme imaginaire de cinéma d'auteur.
Positif
Les frères Vega nimbent (...) leur conte d'automne d'un halo chrétien (...) qui reste parfaitement opaque à qui n'a aucune religion.