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Si ce second opus ne bénéficie plus de l'effet de surprise, il reste avide de transgressions. On guette une fois de plus les dérapages des personnages et l'incontournable diaporama du générique de fin.
Rien à applaudir question cinéma, mais on pourra trouver quelques saveurs dans les problèmes de coeur auxquels il se soumet, sous le regard d'une famille et d'amis tous très attachants. Comme lui.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Certes, le scénario est la copie conforme du premier Certes, l'humour est toujours scabreux Certes, les ficelles commerciales sont évidentes. (...) Néanmoins, ce deuxième enterrement de vie de garçon avec amnésies éthylique à la clé, transposé à Bankock reste un grand moment de cinéma potache.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
"Very Bad Trip 2" s'adresse aux inconditionnels du premier volet qui sont prêts à payer pour revoir le même film... en moins bien, en moins drôle, et sans le moindre effet de surprise.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Malgré un début qui semblait vouloir dépasser les frasques du premier opus, "Very Bad Trip 2" n'est finalement qu'une pâle copie du premier volet. Un film sympathique qui se laisse regarder, souvent drôle, beaucoup plus trash et plus provoc aussi, mais qui, effet de surprise en moins, finit par s'engluer dans une facilité malheureusement prévisible. Un verre, ça va, deux verres, bonjour les dégâts ?
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Ce "Very Bad Trip 2" fonctionne sur une stricte reprise de la situation de base, l'humour s'appuyant en partie de cette impression de répétition. Ce qui arrachait des rires dans le premier volet apparaît ici nettement plus poussif.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Là aussi commencent les difficultés d'écriture, le film cédant à la comédie d'action qui oublie les vrais nids comiques : peu importe les péripéties, seuls devraient compter ces moments de sidération où nos héros se découvrent avoir fait des choses qu'ils se croyaient incapables de faire
On prend les mêmes et on recommence, la surprise en moins... jusqu'aux photos du générique de fin, qui laissent imaginer à quel point on aurait pu/dû s'amuser.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Todd Phillips livre un sosie outrancier du premier volet, et se ressaisit sans honte de toutes ses bonnes idées, cette fois désamorcées par un mépris de son public. Il y développe même un certain sens de l'autosatisfaction en se lançant à lui-même quelques hommages grinçants.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
"Very Bad Trip 2" pâtit d'une cruelle absence d'idée, autre que celle de transposer la même trame à l'autre bout du monde, en Asie. (...) Indigent, le scénario, exactement comme celui du modèle original, repose ainsi sur une intrigue policière poussive, prétexte à un parcours du combattant émaillé de souvenirs douloureux relatifs aux faits et gestes imbibés des garçons. Mais, à deux ou trois situations scabreuses et répliques près, tout patine.
La critique complète est disponible sur le site Libération
20 Minutes
La surprise en moins, le résultat est toujours aussi drôle.
Positif
Le film n'innove en rien une formule qui a fait recette, mais il est tout de même très drôle.
Le Journal du Dimanche
Si ce second opus ne bénéficie plus de l'effet de surprise, il reste avide de transgressions. On guette une fois de plus les dérapages des personnages et l'incontournable diaporama du générique de fin.
Metro
(...) Tout dérape de nouveau dans cette suite dont la structure est quasi identique à celle de l'original, sinon le cadre.
Ouest France
Rien à applaudir question cinéma, mais on pourra trouver quelques saveurs dans les problèmes de coeur auxquels il se soumet, sous le regard d'une famille et d'amis tous très attachants. Comme lui.
Télérama
Certes, le scénario est la copie conforme du premier Certes, l'humour est toujours scabreux Certes, les ficelles commerciales sont évidentes. (...) Néanmoins, ce deuxième enterrement de vie de garçon avec amnésies éthylique à la clé, transposé à Bankock reste un grand moment de cinéma potache.
Excessif
"Very Bad Trip 2" s'adresse aux inconditionnels du premier volet qui sont prêts à payer pour revoir le même film... en moins bien, en moins drôle, et sans le moindre effet de surprise.
Filmsactu
Malgré un début qui semblait vouloir dépasser les frasques du premier opus, "Very Bad Trip 2" n'est finalement qu'une pâle copie du premier volet. Un film sympathique qui se laisse regarder, souvent drôle, beaucoup plus trash et plus provoc aussi, mais qui, effet de surprise en moins, finit par s'engluer dans une facilité malheureusement prévisible. Un verre, ça va, deux verres, bonjour les dégâts ?
Le Figaroscope
Comme une impression de déjà-vu.
Le Monde
Ce "Very Bad Trip 2" fonctionne sur une stricte reprise de la situation de base, l'humour s'appuyant en partie de cette impression de répétition. Ce qui arrachait des rires dans le premier volet apparaît ici nettement plus poussif.
Les Inrockuptibles
Là aussi commencent les difficultés d'écriture, le film cédant à la comédie d'action qui oublie les vrais nids comiques : peu importe les péripéties, seuls devraient compter ces moments de sidération où nos héros se découvrent avoir fait des choses qu'ils se croyaient incapables de faire
Ouest France
(...) On retrouve le même canevas, l'effet de surprise et de découverte en moins.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live
Télérama
On prend les mêmes et on recommence, la surprise en moins... jusqu'aux photos du générique de fin, qui laissent imaginer à quel point on aurait pu/dû s'amuser.
Critikat.com
Todd Phillips livre un sosie outrancier du premier volet, et se ressaisit sans honte de toutes ses bonnes idées, cette fois désamorcées par un mépris de son public. Il y développe même un certain sens de l'autosatisfaction en se lançant à lui-même quelques hommages grinçants.
Le Point
voir lepoint.fr
Libération
"Very Bad Trip 2" pâtit d'une cruelle absence d'idée, autre que celle de transposer la même trame à l'autre bout du monde, en Asie. (...) Indigent, le scénario, exactement comme celui du modèle original, repose ainsi sur une intrigue policière poussive, prétexte à un parcours du combattant émaillé de souvenirs douloureux relatifs aux faits et gestes imbibés des garçons. Mais, à deux ou trois situations scabreuses et répliques près, tout patine.