Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
Marianne
par Danièle Heymann
Comme toujours chez Sofia Coppola, la musique (...) est chic et planante. Elle ajoute à ce "Somewhere" ce "quelque part" où strass et stress se conjuguent joliment, ce film distrayant mais pas seulement, un quelque chose qui lui va bien au teint.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Positif
par Eithne O'Neill
Passée maître du non-dit, de la justesse du décor, de l'éloquence gestuelle, d'un parallélisme ironique, la cinéaste contraste l'insouciance des plaisirs avec l'intensité des chagrins tus.
La critique complète est disponible sur le site Positif
20 Minutes
par Caroline Vié
Stephen Dorff, touchant en grand enfant, trouve une partenaire craquante en Elle Fanning, bambine au regard profond. Leur bonheur (...) réjouit à la façon d'un rayon de soleil dans l'univers artificiel que la cinéaste décrit avec acuité.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Brazil
par Johan Girard
Avec douceur et ironie, Sofia Coppola broie le système hollywoodien et hache menu la star de ciné telle qu'on la conçoit aujourd'hui. "Somewhere" décrit la partie immergée de l'iceberg hollywoodien.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
Sofia Coppola filme avec une extrême pudeur et une grande délicatesse de sentiments, ces petits gestes qui font tout.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
"Somewhere" est le film le plus minimaliste de Sofia Coppola, le plus osé aussi, tant pour le sujet que sa forme.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Axelle Ropert
Le monde de Sofia Coppola, toujours plus vaporeux, décoloré, et serti de moments de grâce qui n'appartiennent qu'à elle.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Metro
par Jérôme Vermelin
Grâce à une mise en scène ultrasobre, limite documentaire, Sofia Coppola fait rejaillir le comique — et la vacuité — d'un personnage qu'on a toutefois du mal à détester. La faute au trop rare Stephen Dorff, irrésistible.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Pour: Voir le site StudioCine Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Louis Guichard
De l'art de faire, avec du vide, le plein de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Cette capacité à la suspension pure n'a plus cours dans "Somewhere", dont la narration demeure rivée au point de gravité un peu absurde de son héros. Il n'est pas interdit d'y voir un point de non-retour. Mais cette capacité à continuer d'avancer malgré un matériau si restreint, sans rien céder sur le terrain de sa belle lucidité, peut aussi forcer l'admiration.
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
Sofia Coppola attache visiblement peu d'importance au récit, voire à l'histoire que son film feint de raconter, mais démontre une grande justesse lorsqu'il s'agit de décrire l'infantilisation de ce personnage adulé (...).
La critique complète est disponible sur le site Charlie Hebdo
Elle
par Françoise Delbecq
Cet homme qui tourne en rond nous fait tourner la tête.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Humanité
par Jean Roy
Y aurait-il un souffle autobiographique là-dedans ? Le film se garde bien de répondre à la question mais séduit par ses qualités formelles.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Ouest France
par La rédaction
Si elle n'a pas toujours l'inspiration très originale, on lui voit le regard aiguisé, malicieux et ironique pour filmer des personnages assez vains et vides, dans des pratiques complaisantes et superficielles.
Première
par Stéphanie Lamome
Sofia Coppola arrive à capter l'atmosphère déliquescente d'un Los Angeles où les heures, les distances et le soleil ne comptent plus.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Viviane Pescheux
Plus masculin que paternel, ce portrait, signé Sofia Coppola (...), a reçu le Lion d'or à Venise. Pour la photo, superbe, et la B.O. de Phoenix, probablement.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
Nourri de souvenirs d'enfance, opaque et pénétrant, "Somewhere" agit comme un cocktail pernicieux, doux, fort et entêtant. On en sort submergé de mélancolie douce.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
La Croix
par Arnaud Schwartz
Tout en poursuivant dans la veine d'une oeuvre marquée par les états languissants et les flottements de l'adolescence, "Somewhere" déçoit.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Ici, tout est dans le "presque rien" qui se prend pour "déjà tout", ce "quelque part" (somewhere) qui ne mène... nulle part.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Marie Sauvion
(...) miss Coppola passe en mode minimaliste avec cette histoire de déprime à Los Angeles.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Philippe Azoury
Partout, quelque chose de comateux marque le film d'une mollesse désinvolte. Ce n'est finalement que quand le film se risque dans un territoire où on l'attend le moins (...) qu'il se réveille de son propre programme.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Critikat.com
par Fabien Reyre
Le charme de "Lost in Translation" et de "Marie-Antoinette" (...) a disparu pour faire place à un mélo neurasthénique et pataud, désespérément ennuyeux et ridicule.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur l'Express.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Le tableau qu'elle dessine de l'ennui n'est pas ennuyeux. (...) Seulement, cet ennui-là se nomme aussi vacuité, et pour ce qui est de paraître vain, "Somewhere" en effet ne va autre part que nulle part.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Contre: Voir le site StudioCine Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Marianne
Comme toujours chez Sofia Coppola, la musique (...) est chic et planante. Elle ajoute à ce "Somewhere" ce "quelque part" où strass et stress se conjuguent joliment, ce film distrayant mais pas seulement, un quelque chose qui lui va bien au teint.
Positif
Passée maître du non-dit, de la justesse du décor, de l'éloquence gestuelle, d'un parallélisme ironique, la cinéaste contraste l'insouciance des plaisirs avec l'intensité des chagrins tus.
20 Minutes
Stephen Dorff, touchant en grand enfant, trouve une partenaire craquante en Elle Fanning, bambine au regard profond. Leur bonheur (...) réjouit à la façon d'un rayon de soleil dans l'univers artificiel que la cinéaste décrit avec acuité.
Brazil
Avec douceur et ironie, Sofia Coppola broie le système hollywoodien et hache menu la star de ciné telle qu'on la conçoit aujourd'hui. "Somewhere" décrit la partie immergée de l'iceberg hollywoodien.
Le Figaroscope
Sofia Coppola filme avec une extrême pudeur et une grande délicatesse de sentiments, ces petits gestes qui font tout.
Le Monde
"Somewhere" est le film le plus minimaliste de Sofia Coppola, le plus osé aussi, tant pour le sujet que sa forme.
Les Inrockuptibles
Le monde de Sofia Coppola, toujours plus vaporeux, décoloré, et serti de moments de grâce qui n'appartiennent qu'à elle.
Metro
Grâce à une mise en scène ultrasobre, limite documentaire, Sofia Coppola fait rejaillir le comique — et la vacuité — d'un personnage qu'on a toutefois du mal à détester. La faute au trop rare Stephen Dorff, irrésistible.
Studio Ciné Live
Pour: Voir le site StudioCine Live.
Télérama
De l'art de faire, avec du vide, le plein de cinéma.
Cahiers du Cinéma
Cette capacité à la suspension pure n'a plus cours dans "Somewhere", dont la narration demeure rivée au point de gravité un peu absurde de son héros. Il n'est pas interdit d'y voir un point de non-retour. Mais cette capacité à continuer d'avancer malgré un matériau si restreint, sans rien céder sur le terrain de sa belle lucidité, peut aussi forcer l'admiration.
Charlie Hebdo
Sofia Coppola attache visiblement peu d'importance au récit, voire à l'histoire que son film feint de raconter, mais démontre une grande justesse lorsqu'il s'agit de décrire l'infantilisation de ce personnage adulé (...).
Elle
Cet homme qui tourne en rond nous fait tourner la tête.
L'Humanité
Y aurait-il un souffle autobiographique là-dedans ? Le film se garde bien de répondre à la question mais séduit par ses qualités formelles.
Ouest France
Si elle n'a pas toujours l'inspiration très originale, on lui voit le regard aiguisé, malicieux et ironique pour filmer des personnages assez vains et vides, dans des pratiques complaisantes et superficielles.
Première
Sofia Coppola arrive à capter l'atmosphère déliquescente d'un Los Angeles où les heures, les distances et le soleil ne comptent plus.
Télé 7 Jours
Plus masculin que paternel, ce portrait, signé Sofia Coppola (...), a reçu le Lion d'or à Venise. Pour la photo, superbe, et la B.O. de Phoenix, probablement.
TéléCinéObs
Nourri de souvenirs d'enfance, opaque et pénétrant, "Somewhere" agit comme un cocktail pernicieux, doux, fort et entêtant. On en sort submergé de mélancolie douce.
La Croix
Tout en poursuivant dans la veine d'une oeuvre marquée par les états languissants et les flottements de l'adolescence, "Somewhere" déçoit.
Le Journal du Dimanche
Ici, tout est dans le "presque rien" qui se prend pour "déjà tout", ce "quelque part" (somewhere) qui ne mène... nulle part.
Le Parisien
(...) miss Coppola passe en mode minimaliste avec cette histoire de déprime à Los Angeles.
Libération
Partout, quelque chose de comateux marque le film d'une mollesse désinvolte. Ce n'est finalement que quand le film se risque dans un territoire où on l'attend le moins (...) qu'il se réveille de son propre programme.
Critikat.com
Le charme de "Lost in Translation" et de "Marie-Antoinette" (...) a disparu pour faire place à un mélo neurasthénique et pataud, désespérément ennuyeux et ridicule.
L'Express
Voir la critique sur l'Express.fr
L'Obs
Le tableau qu'elle dessine de l'ennui n'est pas ennuyeux. (...) Seulement, cet ennui-là se nomme aussi vacuité, et pour ce qui est de paraître vain, "Somewhere" en effet ne va autre part que nulle part.
Studio Ciné Live
Contre: Voir le site StudioCine Live.